CatégorieE-commerceRéférencement (SEO)

[SEO] Le saviez-vous ? Les réseaux sociaux peuvent avoir un impact très positif sur le SEO… mais attention à la chute

Les sempiternels débats sur le SEO amènent les référenceurs à continuellement tester, optimiser et corriger leurs actions. Une occasion d'évoquer l'impact des réseaux sociaux sur le SEO d'un site web.

Tout d'abord ne nous y trompons pas, ce n'est pas parce que vous mettrez un post sur Facebook avec des "#" hashtags et l'url du site internet que vous sortirez comme par magie dans le triangle d'or sur Google. Restons sérieux.

[SEO] Le saviez-vous ? Les réseaux sociaux peuvent avoir un impact très positif sur le SEO... mais attention à la chute

A contrario, une page d'un site web relayée et partagée sur les réseaux sociaux comme Facebook par exemple fera bondir le SEO sur ladite page qui se positionnera alors facilement dans les premiers résultats de recherche sur Google.

Il ne s'agit pas de 10 ou 15 partages mais de plusieurs milliers. Les partages influent sur les visites directes mais finalement très peu au regard des visites générées par le nouveau positionnement sur Google résultant de ceux-ci. (Attention toutefois au taux de rebond).

Ces résultats sont totalement éphémères et ne durent au final que le temps où l'intérêt des lecteurs se focalise dessus.

Pour résumer simplement, c'est une sorte de Google Booming de très mauvaise qualité.

C'est difficilement maîtrisable et même dangereux au regard des fake news qui circulent abondamment sur Facebook par exemple. Ces dernières sont relayées par une communauté d'abrutis qui pensent que ce réseau social véhicule la sainte parole anti-système, dénuée de toute influence partisane et boivent les bêtises qui y sont postées chaque jour par des influenceurs sortis tout droit du film Idiocracy.

Comme dans chaque chose, il y a le bon et le moins bon. Là, c'est plutôt le très mauvais. Une stratégie SEO ne se construit pas sur l'instantanéité mais sur une vision durable.

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

[GEEK DETENDU] NETFLIX va (enfin) ouvrir un bureau en France

[GEEK DETENDU] NETFLIX va (enfin) ouvrir un bureau en France

C’est lors de sa visite à Paris sur le tournage d’une série que Reed Hasting a annoncé l’ouverture prochaine d’un bureau de Netflix en France.

Il faut dire qu’avec plus de 3,5 millions de clients en France et un C.A de plus 40 Millions d’euros dans l’hexagone il était temps que la société s’implante enfin dans notre pays.

3,5 millions de clients en France

Par ailleurs, Netflix ne propose pas de service clientèle en France ce qui n'est pas pratique. Les consommateurs espèrent (au delà des annonces de nouvelles séries, films et documentaires) pouvoir davantage interagir avec les services en charge de la programmation.

La série Française "Marseille" n'était pas un échec, "c'est une bonne série" juge d'ailleurs Reed Hasting. Le plus gros succès de Netflix en France reste la série "La Casa de Papel" qu'il cherche à reproduire car le succès fût réellement international.

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

[ECOMMERCE] Amazon envisagerait (très sérieusement) de s’installer à côté de Nantes (44)

Nantes, et sa région auraient été choisis par Amazon, le géant du E-commerce mondial pour installer une base logistique de plus de 120 000 Mètres carrés juste à côté de la métropole.

C’est Grandchamp des fontaines où se trouve notamment Materiel.net (groupe LDLC) qui aurait été sélectionnée par la pieuvre de Seattle.

A la clé des emplois bien entendu et une image de marque pour la région. OVH avait déjà choisie Nantes, capitale Française du numérique pour implanter l’un de ses bureaux.

Amazon n’a pas de plateforme dans l’Ouest de la France. Nantes est située idéalement, avec son aéroport (sans doute sous-dimensionné pour l’arrivée d’Amazon) et sa proximité avec la Bretagne.

120 000 Mètres carrés juste à côté de la métropole Nantaise.

Par ailleurs la plateforme Colissimo du Rheu (35) est stratégique même si vraisemblablement elle ne suffira pas à absorber les nouveaux flux du leader du Ecommerce Mondial.

[ECOMMERCE] Amazon envisagerait (très sérieusement) de s'installer à côté de Nantes (44)

Et les écolos, les syndicats et autres hippies Zadistes dans tout cela ?

Ils commencent à se plaindre comme tout bon Français qui pleure avant d'avoir mal…La complainte du caliméro avant même que ne soit donné le premier coup de pelle. Mais ça c'est une autre histoire.

Affaire à suivre.

Source : Ouest France du 26/09/2018

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

[ECOMMERCE] Le saviez-vous ? Allobebe (groupe H3M) prend un nouveau départ avec un manager de transition

[ECOMMERCE] Le saviez-vous ? Allobebe (groupe H3M) prend un nouveau départ avec un manager de transition

C'est l'arrivée de Olivier GIMPEL à la tête de l'enseigne leader de la puériculture en ligne qui sonne le renouveau d'Allo Bébé.

Suite au dépôt de bilan du groupe CDM de Pierre Lallier, c'est H3M qui a reprit les actifs du groupe basé à Saint-Martin-Boulogne (Pas de Calais).

Olivier GIMPEL passé par les 3 Suisses mais également Verbaudet (Redcats) a été embauché comme manager de transition pour relancer la marque auprès des consommateurs.

il n'est jamais simple de relancer une activité Ecommerce lorsque pendant 17 jours le site a été inaccessible au grand public.

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

[ECOMMERCE] Oscaro lève 30 Millions d’euros, Autodistribution à la manoeuvre ?

 

Ce blog relatait le rapprochement possible entre Oscaro et Autodistribution depuis le mois de Janvier dernier (lire l’article intégral ici).

Or d’après cet article des Echos paru hier, Autodistribution entrerait au capital d’Oscaro.

Oscaro et son PDG, Pierre-Noël LUIGGI communiquent d’ailleurs sur cette levée de fonds de 30 Millions d’euros au travers d’une annonce publiée sur le site d’Ecommerce.

[ECOMMERCE] Oscaro lève 30 Millions d'euros, Autodistribution à la manoeuvre ?

« nous avons une vision différente des autres sites e-commerce, nous ne considérons pas les consommateurs comme des gentils moutons"

Pierre-Noël LUIGGI – PDG d'Oscaro

Une phrase du PDG d'Oscaro, qui laisse un peu perplexe … Les clients apprécieront.

MAJ du 19/09/2018 : Autodistribution confirme sa prise de participation dans Oscaro.

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

[ECOMMERCE – RETAIL] LDLC.com ouvre 2 magasins en Espagne

Le groupe Français LDLC.com, propriétaire du Nantais Materiel.net continue son développement avec l'ouverture de 2 magasins physiques en Espagne. L'un de 600 M2 ouvrira à Barcelone et l'autre de 900 M2 à Madrid.

[ECOMMERCE - RETAIL] LDLC.com ouvre 2 magasins en Espagne

Dans un premier temps la version Espagnole du site Ecommerce ouvrira en Octobre prochain. Les axes de développement Espagnols sont pilotés par un Country Manager, Marc Rodriguez Chuet passé entre autre par Vente-Privée.

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

[UP AND DOWN] Free perd plus de 200 000 abonnés…et Alors ?

Free vient de publier ses résultats pour le second trimestre et perd 200 000 abonnés dans le mobile. La perte de clients, ce n'est pas l'unique facteur de la bonne marche ou non d'une entreprise.

Free perd peut-être 200 000 clients dans le mobile mais assure une rentabilité importante et en croissance avec 37,3% d'EBITDA vs N-1 à 36,4% sur le premier semestre. C'est le point le plus important.

[UP AND DOWN] Free perd plus de 200 000 abonnés...et Alors ?

Toutefois, Free voit également disparaître près de 40 000 abonnés cumulés depuis le début de l'année sur le fixe ce qui dénote une certaine lassitude du consommateur pour la marque.

Rien d'exceptionnel cependant, Free commercialise une box créée il y a 7 ans, elle est devenue un peu obsolète pour le consommateur et termine par conséquent son cycle de vie comme tout produit.

Puis la stratégie du groupe à faire passer ses clients à la fibre (734 000) est de très bon augure car cela améliore considérablement l'expérience client.

Enfin, Free sortira en Octobre la FreeBox V7, un évènement attendu par les professionnels du secteur et les fans de la marque.

Source ici

CatégorieE-commerceMédiocrité & Contentieux

[TRANSPORT] 21% des gros colis arrivent endommagés, pire 15% n’arrivent jamais, que font les transporteurs ?

L’étude en question a été faite par Uship sur le marché Américain et les résultats sont très pertinents car se sont les consommateurs eux-mêmes qui ont été sollicités pour rapporter leur expérience en matière de livraison Ecommerce.

Ainsi, il ressort qu’en moyenne sur 100 colis de gros gabarits réceptionnés par leurs destinataires, 21 étaient endommagés. (L’étude parle notamment de colis de grandes tailles comme des canapés, du mobilier, de l’électroménager..etc..).

L’autre point important est que 15% des colis expédiés ne seraient jamais parvenus à leur destinataire !

Le ratio est juste colossal et la frustration du client tout autant !

[TRANSPORT ECOMMERCE] 21% des gros colis arrivent endommagés, pire 15% n'arrivent jamais, que font les transporteurs ?

28% des consommateurs hésitent à acheter des articles volumineux sur les sites Ecommerce à cause des potentiels soucis de livraison.

Par ailleurs,

16% des clients affirment avoir été livrés à eux-mêmes pendant tout le processus de transport, sans suivi, sans possibilité d’avoir un interlocuteur pour préciser un horaire de livraison etc….

15% d’entre eux indiquent avoir manqués une journée de travail pour recevoir leur commande. Il paraît peu probable de se faire livrer un canapé dans un point relais ou encore sur son lieu de travail, par conséquent la prise de rendez-vous à domicile avec un transporteur est indispensable. Pourtant celle-ci est généralement complexe et les consignes données par le destinataire à l’intention du livreur pas vraiment respectées, notamment le fait de passer un coup de fil avant d’arriver.

Résultat 28% des consommateurs hésitent à acheter des articles volumineux sur les sites Ecommerce à cause des potentiels soucis de livraison.

En même temps, il ne faut pas se mentir, certains transporteurs ont de véritables lacunes en la matière et pas forcément uniquement sur les gros articles à transporter. Je parlais récemment de Chronopost, mais les autres transporteurs aussi provoquent la colère des consommateurs (je vous laisse consulter les commentaires) :

Quelques exemples d’appréciations clients ici et et pourquoi pas ici également concernant certaines enseignes de transport, confirment la frustration des destinataires, de voir des abrutis indiquer qu’ils se sont présentés pour une livraison sans que cela soit le cas.

Comme quoi il existent encore de belles pistes de progression en Ecommerce si les transporteurs décident d’améliorer la gestion des colis qui leur sont remis et écoutent enfin les consignes données par les destinataires.

Car le transport est l’un des principaux problèmes en Ecommerce, il est un maillon de la chaîne indissociable de la réussite de l’expérience client dans son ensemble.

Vous pouvez avoir le plus beau, le plus rapide et le plus ergonomique des sites Ecommerce ; les meilleurs prix, le plus empathique des services clients et la chaîne logistique la plus éprouvée, si le transport n’est pas à la hauteur des attentes de votre client alors tout cela n’aura servi à rien.

[TRANSPORT ECOMMERCE] 21% des gros colis arrivent endommagés, pire 15% n'arrivent jamais, que font les transporteurs ?

La véritable question réside déjà dans le fait que pour toute enseigne de Ecommerce la prestation du transporteur restera la dernière chose dont se souviendra son client : comment faire pour qu’elle soit inoubliable ? (dans le bon sens;-)

Certainement pas en choisissant des transporteurs dont les employés négligent tant l’expéditeur que le destinataire final par une prestation de livraison déplorable et bâclée.

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

[ECOMMERCE] Un Maire LR veut taxer le Ecommerce parce qu’il « consomme de l’espace public ».

C'est un article dans les Echos un peu passé inaperçu qui vient de paraître à propos du Ecommerce.

Entre la FEVAD qui était bien occupée à nous sortir les chiffres du Ecommerce de 2017 pour 2018 (ça bosse dur 😉 et la plupart des décideurs encore en congés, il aurait été facile de ne pas y prêter attention. Et pourtant …

C'est Monsieur David LISNARD Maire LR de Cannes qui nous écrit un bel article démagogique sur les centres villes désertés par les consommateurs au profit des sociétés de Ecommerce. Le sempiternel discours du politique, qui, proche de ses administrés à serrer les mains des retraités sur le marché du samedi matin est déconnecté de la réalité des secteurs concernés.

Remettons un peu les choses à leur place et la réalité du terrain au coeur du débat qui n'a pas vraiment lieu d'être, il faut bien le dire.

D'une part renvoyer le Retail et le Ecommerce dos à dos est stupide car ils sont parfaitement complémentaires. C'est un conflit passé des Ecommerçants de la première heure qui n'existe plus aujourd'hui. Preuve en est les nombreux acteurs du Ecommerce qui ont ouvert des magasins, puis des concentrations Ecommerce/retail telles Casino qui a racheté Cdiscount, Monoprix avec Sarenza..et c'est sans compter les drives et autres click and collect…etc..

D'autre part, il est prépondérant de s'interroger sur l'utilité d'une nouvelle taxe concernant la distribution Ecommerce ou traditionnelle car d'une manière ou d'une autre, les politiques peuvent raconter ce qu'ils veulent, c'est le consommateur final qui paiera.

Il faut cesser de mentir. Lorsqu'on nous parle de taxation en "pied de facture" ou autre, cela ne change rien, les marges ne sont pas extensibles. Une entreprise est comme une grande baignoire dans laquelle on déverse les charges, à un moment si l'on en rajoute trop, ça déborde !

[ECOMMERCE] Un Maire LR veut taxer le Ecommerce parce qu'il "consomme de l'espace public".

Dans l'article en question (à lire là : lien) Monsieur David LISNARD nous dit que :

"Une […] conséquence du développement du commerce électronique porte sur la consommation sans contrepartie de l'espace public induite par les opérations de livraison. En 2017, 505 millions de colis ont été livrés à partir d'achats réalisés sur Internet et par vente à distance. Ce volume de marchandises considérable emprunte quotidiennement des voiries que les collectivités aménagent et entretiennent grâce aux impôts acquittés par les contribuables locaux."

Effectivement, les véhicules de livraison utilisent les routes communales et autres départementales pour livrer les articles commandés. Quoi de plus normal puisque ce sont ces contribuables locaux qui ont commandés et qui s'acquittent des impôts de leur ville et de leur territoire.

Comprenons d'abord les raisons du consommateur de faire ses achats en ligne.

Le consommateur a fait le choix de commander ses articles sur internet plutôt que de se rendre en centre ville car généralement il ne trouve pas où se garer ou encore parce que ses achats peuvent être volumineux, les transports en commun n'étant pas la réponse adaptée dans ce cas là.

Il n'a plus envie de galèrer avec ses achats, il en a marre d'être contraint de tourner encore et toujours pour trouver une place de stationnement et de s'acquitter ensuite des frais qui s'y rapportent au plus grand bonheur de la mairie.

Cas concret :

1. Le CONSOMMATEUR commande donc ses articles sur internet et paye les frais de livraison le cas échéant, (il paye donc le service de livraison de la société de transport qui elle-même paie les péages, la CFE, les impôts locaux et autres joyeusetés tout comme ses salariés locaux).

2. Le CONSOMMATEUR paye bien entendu chaque année ses impôts locaux (entretien des routes, des parties communes propres à chaque ville, l'espace public…etc …)

3. ET DONC, Il devrait en plus payer une taxe complémentaire pour se faire livrer à son domicile sous prétexte que sa commande "consomme de l'espace public" !

Cela n'a pas de sens et cela revient à une double imposition pour la même chose.

Premièrement taxer le Ecommerce au seul prétexte de la désertification des centres villes revient à mettre nos responsables politiques devant leur pitoyable bilan en matière d'urbanisme.

Entre le tarif des places de stationnement, la difficulté pour trouver un emplacement où se garer, le choix délibéré d'avoir des banques et assurances au pied des immeubles au détriment des petits commerces, il ne faut pas s'étonner que les consommateurs aient fui les centres-villes.

Deuxièmement, le Ecommerce permet notamment de rompre l'isolement de personnes à mobilité réduite. Certaines personnes n'avaient plus accès à la culture car elles ne pouvaient plus se rendre à la librairie du centre ville, elles trouvent leur salut en se faisant livrer des livres par exemple directement à leur domicile et leur droit d'accès à la culture est à nouveau respecté.

Troisièmement, la réponse aux problématiques d'un secteur n'est pas la taxation d'un autre. Le consommateur a fait le choix de consommer sur internet, il ne le fait pas forcément pour le prix, mais pour la simplicité d'achat, la rapidité de la livraison et sa capacité à récupérer sa commande rapidement.

Taxer le Ecommerce, n'enverra pas pour autant le consommateur vers le petit commerce.

C'est aux enseignes du retail de se renouveler en matière d'offre et de services. La grande distribution en est un parfait exemple avec l'ouverture massive des drives. Elle s'est adaptée aux consommateurs.

C'est à nos dirigeants politiques locaux de rendre plus attractifs les centres villes en facilitant l'accès aux consommateurs et aux commerces. L'idée de baisser les taxes pour ces derniers est excellente dans la mesure où la mise en concurrence d'un emplacement commercial ne privilégie pas le plus offrant. En effet le petit commerce serait certain de perdre face aux banques et assurances disposant de davantage de moyens.

C'est également à nos élus territoriaux de savoir attirer dans leur localité les sociétés de Ecommerce et leurs milliers d'emplois crées chaque année localement. Le discours de Monsieur LISNARD est pourvue d'une facilité déconcertante de prendre le problème à l'envers.

Une chose est certaine : Taxer le Ecommerce, n'enverra pas pour autant le consommateur vers le petit commerce.

Puis n'oublions pas qu'un site Ecommerce c'est aussi et surtout une entreprise comme n'importe laquelle, implantée elle aussi dans une localité ! Elle s'acquitte évidemment des mêmes taxes que ses homologues du retail et emploie des salariés localement. Stigmatiser l'une ou l'autre n'a véritablement aucun sens.

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[ECOMMERCE] Découvrez les Chiffres clés du Ecommerce pour 2018

Comme chaque année la FEVAD (Fédération Française de la Vente à Distance) publie les chiffres du Ecommerce. Voici un résumé des données importantes à retenir :

[ECOMMERCE] Découvrez les Chiffres clés du Ecommerce pour 2018

A. On constate une croissance du C.A de plus de +14% sur 2017 vs 2016 à un peu plus de 83 Milliards d’euros de C.A.
 

B. 21% du C.A est réalisé sur mobile
 

C. 85% des internautes sont des cyberacheteurs
 

D. 37,5 Millions de Français achètent sur internet
 

E. 182 000 Sites Ecommerce actifs sont dorénavant dénombrés en France, pour rappel en 2011 il y avait 49 000 sites marchands
 

F. Top 5 des sites les plus visités en France (sans aucune surprise !) :

1-Amazon
2-Cdiscount
3-Fnac
4-Vente-Privee
5-Oui.sncf

G. Taille moyenne des sites Ecommerce :

77% des sites Ecommerce réalisent – de 100K€ par an

18% réalisent entre 100K€ et 1 Million d’euros par an

4,3% des sites marchands réalisent entre 1 Million et 10 Millions d’euros de C.A annuel

0,6% des boutiques réalisent plus de 10 Millions d’euros de C.A par an

Rappelons toutefois que Chiffre d’Affaires ne signifie pas forcément « bénéfices » : 35% des TPE/PME sont déficitaires dans leur activité Ecommerce.
 

H. Le volume d’affaires des places de marché progresse de +15%
 

I. 29% des internautes achètent entre 2 et 3 fois par mois

J. 505 Millions de colis ont été traités en 2017 soit une croissance de +10,5% vs 2016

K. 53% des entreprises de plus de 10 salariés réalisent des achats sur internet

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