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La France manque cruellement de développeurs notamment pour du Ecommerce spécifique

Aujourd'hui je constate que malgré de nombreuses écoles du numérique en France, il est compliqué de trouver des développeurs qualifiés pour des domaines d'activité en Ecommerce qui peuvent être plus spécifiques que d'autres.

En effet, une simple boutique en ligne sous Prestashop pourra trouver facilement des développeurs pour améliorer les fonctionnalités de son site Ecommerce. A contrario, lorsque l'on est sur du spécifique pur en PHP par exemple il convient de trouver des talents qui sauront sortir des cases CMS et Framework. Trouver ces talents s'avère compliqué. Je suis persuadé que le stage, puis l'alternance avant l'embauche définitive est la meilleure solution pour former les développeurs à ces besoins spécifiques dans certaines activités Ecommerce.

Là est toute la difficulté, mais l'on peut légitiment se poser la question suivante : Pourquoi ne pas être parti d'un CMS ou d'un Framework pour faire son site Ecommerce ?

La réponse est très simple, tout dépend des besoins initiaux en matière de fonctionnalités et de produits. Il est clair qu'un site qui vend des produits sans particularités significatives qui cherche simplement à proposer des biens physiques sur internet avec un catalogue n'a pas vocation à sortir d'un Prestashop. Cela sera bien suffisant pour lui notamment avec les nombreux modules complémentaires proposés par Prestashop.

Si le Site Ecommerce souhaite aller encore au delà, il trouvera sans problème des développeurs, même juniors qualifiés et formés à Prestashop. Aujourd'hui pour avoir contacté bon nombre d'écoles en région Nantaise qui forment des développeurs, force est de constater qu'ils sont effectivement formés sur ces CMS et autres framework.

Quid du langage ? Un vrai développeur est selon moi une personne qui sait coder en dehors d'un Framework ou d'un CMS lambda.

La France manque cruellement de développeurs notamment pour du Ecommerce spécifique

Je crois que les écoles devrait commencer par expliquer le langage avant de présenter les CMS et les Framework qui doivent venir uniquement dans un second temps. C'est comme si aujourd'hui on leur proposait de lire un livre en Anglais sans avoir apprit la langue initialement.

Nos besoins chez DOTNET sont perpétuels en matière de développements et le choix de ne pas être parti sur un CMS est simple, il n'existait rien qui nous permettant de créer nos sites Ecommerce c'est pourquoi il a fallut partir d'une page blanche. Ce fût un choix qui m'a paru un peu risqué au départ mais je m'aperçois au fil des mois qu'il ne l'était pas et notre indépendance et notre avance technologique se vérifient aujourd'hui au quotidien.

Clairement tout passe par l'immersion dans nos lignes de code, dans la résolution de problématiques et des débugages.

L'apprentissage par l'expérience du terrain du simplement.

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Nouvelle version du site Ecommerce Fiche-Paie.net, site de services BtoB

Ce ne fût pas simple encore une fois pour sortir cette nouvelle version de Fiche-Paie.net qui devait d'ailleurs voir le jour en partie au mois d'Août. Seulement nous avions pris du retard et ce n'était pas notre intention que de sortir une nouvelle version du logiciel de création de fiches de paie qui ne soit pas à la hauteur des attentes de nos clients professionnels.

Sur cette nouvelle version vous pouvez y constater une refonte graphique assez globale toujours en responsive même si aujourd'hui le mobile et la tablette sont très loin derrière le desktop sur nos activités.

DOTNET sort donc la V2.1 de son service de génération de fiche de paie mais cette nouvelle version ne s'arrête pas seulement à une simple refonte graphique bien entendu.

Fiche-Paie.net en version V2.1

Fiche-Paie.net en version V2.1

Nous voulions avant tout une refonte ergonomique qui soit plus user-friendly pour l'utlisateur. C'est ce que nous avons fait tout comme la mise en place de différentes fonctionnalités afin d'accroître la satisfaction client qui est au coeur de la stratégie de et permet d'augmenter notre taux de repeat business.

Aujourd'hui c'est le seul logiciel de génération de bulletin de salaire véritablement sûr, juste et immédiat en matière de délivrance de fiches de paie.

En terme de fonctionnalité, les clients peuvent retrouver le chargement automatique des données qu'il s'agisse de l'entreprise ou du/des salariés afin de leur simplifier leur gestion quotidienne dans l'édition de leurs fiches de paie. La facture n'est plus envoyée par mail mais disponible directement depuis le compte client.

Régulièrement nous proposerons des avantages tarifaires pour les clients fidèles à travers des opérations ponctuelles mais aussi un suivi plus personnalisé pour chaque client.

En effet la création de fiches de paie révèle parfois des interrogations de la part de certains clients, nous souhaitons apporter le plus de réponses possibles à nos clients.

Je vous laisse découvrir la nouvelle version du site en suivant ce lien, n'hésitez pas à me faire part de vos remarques.

Découvrez la vidéo de démonstration de notre logiciel de paie en ligne :

 

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Interview de Franck GERVAIS CEO Voyages-Sncf.com

Voyages-Sncf.com

Voyages-Sncf.com

« De passage sur Nantes, j'ai pu rencontrer Franck GERVAIS, CEO de Voyages-sncf.com pour échanger autour du e-commerce et du digital… Retour sur cette rencontre :

Stéphane ALLIGNE : Bonjour Franck, est-ce que vous pouvez vous présenter brièvement et nous parler, notamment, de votre parcours ? A 37 ans, vous êtes Directeur Général de Voyages-sncf.com : c’est jeune !

Franck GERVAIS : Bonjour Stéphane ! Pour ma part, j’ai toujours travaillé dans le secteur du transport et du voyage ; j’ai une formation d’ingénieur au départ et j’ai commencé par travailler dans l’aéroport de Nice. Sur place, je voulais voir ce qu’on pouvait développer en termes de business et autour du trafic de cet aéroport. On abordait des problématiques telles que l’anticipation des goulets d’étranglement et on trouvait des solutions pour développer l’aéroport et résoudre les problèmes : développer les capacités des pistes, la capacité de stationnement etc…

J’ai donc toujours suivi le secteur du transport jusqu’à devenir Directeur Général de Thalys quelques années avant d’être nommé chez Voyages-sncf.com. (Thalys) reste une entreprise assez connue, bien que petite, parce que c’est 25 trains, très orientée à l’international, très digitale ; Thalys était d’ailleurs précurseur en termes de digital ; ce sont les premiers à avoir mis en place le e-billet, à développer le WiFi à bord des trains en 2008 et à compenser financièrement les cas de train en retard, même avec le digital.

C'était un laboratoire à grande échelle parce que l'on parle d'une société qui fait 7 millions de passagers par an, 450 millions d'euros de chiffre d'affaires mais qui possède un vrai laboratoire de relation client digitale ; c’est également un e-commerçant sur son propre site et une partie de la distribution est attribuée à Voyages-sncf.com qui est le principal distributeur en France. C’est ainsi que j’ai fait la « migration naturelle » vers Voyages-sncf.com qui est l’un des plus belles maisons en la matière ! Les comparables sont plutôt des vrais e-commerçants comme Vente-privée.com ou Cdiscount sauf que notre objectif commercial est de vendre des voyages sous la forme, essentiellement, de billets de train.

SA : Alors j'ai regardé sur Société.com, j'ai pris le numéro de siret présent sur le site Voyages-Sncf et j'ai redescendu le compte de résultat et là je lis 155 millions d'euros de Chiffre d'affaires. Or Voyages-Sncf revendique 4 milliards d'euros de Chiffre d'Affaires. Quel est le parallèle entre ces 155 millions d'euros de Chiffre d'Affaires et les 4 milliards annoncés ?

FG : En réalité, les 4,3 Milliards c'est le volume d'affaires, à savoir, c'est le volume de transactions que nous vendons. Un billet à 100 € c’est un coût de 100 €. Après, comme toute agence de voyages inscrite au registre du SNAC (Syndicat National des Agences de Voyages), nous avons une rémunération avec un système de commissions, d’incentive : c’est d’ici qu’est tiré le chiffre d’affaires. En tant qu’e-commerçant, on résonne donc en termes de volume d’affaires, le chiffre d’affaires n’étant pas l’aspect le plus important. Le volume d’affaires, en revanche, est notre élément thermométrique, le « comparable » qui nous place comme le 1er e-commerçant en volume d’affaires en France, loin devant Vente-privée.com.

SA : J'ai vu sur le site que j'ai un peu décortiqué quand même, pour regarder… ça va jusque à la croisière maintenant ?

FG : Vol, hôtel, croisières…

SA : 13% de rentabilité nette c'est plutôt pas mal pour une entreprise, notamment en e-commerce, comment l'expliquez-vous ?

FG : La rentabilité n’est pas pour nous un critère clé ; notre but, c’est de développer le tourisme et de montrer tous les intérêts que revêt un voyage et, au-delà de ça, d’inventer un nouveau voyage… Un nouveau voyage sur lequel le digital tient une place prépondérante et renforce en profondeur une expérience humaine qui vient s’insérer et facilité la vie de l’internaute. C’est ici que se situe l’important : comment être et rester un contributeur clé du tourisme en France. C’est pour cela que l’on travaille autour d’une thématique très importante (et innovante) : le Smart Tourisme.

Nous avons des partenariats avec beaucoup d’acteurs du tourisme en France, quelle que soit leur taille. Eux connaissent parfaitement leur destination, les différents attraits touristiques, toutes les verticales qu’ils peuvent développer pour attirer les touristes ; ils savent également qui sont les touristes et voyageurs qui viennent visiter leur région. Sont-ils plutôt français, européens… Plutôt jeunes, plutôt séniors. Avec ce contenu qu’ils nous transmettent, nous sommes capables de les accompagner sur des visions globales du marché existant. En agrégeant tout un tas d’informations à ce sujet, nous proposons ainsi du contenu précis sur la destination, comment s’y rendre, à quel prix et à quel moment… Nous montrons ensuite cela à nos usagers de manière personnalisée, sur le device adapté et au bon moment ; grâce à notre base de données, on se sert ensuite du big data pour améliorer leur expérience client : proposer du contenu à destination, la météo – où fait-il beau ce week-end ? etc… Par exemple, en ce moment, nous envoyons des notifications push aux utilisateurs pour dire s’il fait beau à Nantes et inciter, avec des prix de dernière minute, à se rendre sur la destination proposée. Un vendredi soir, vous recevez ainsi une notification push avec ces informations et, de manière impulsive, vous pouvez rapidement commander vos billets ; ça fonctionne d’ailleurs très bien : la personnalisation favorise l’acte d’achat.

62% des réservations sont faites à J-14. On a tous en tête que les gens réservent très à l'avance, généralement à M-3 car les ventes ouvrent à cette période-là et ils souhaitent bénéficier des meilleurs prix. Néanmoins, de plus en plus de personnes réservent au dernier moment et c’est donc une toute nouvelle mécanique à mettre en place pour leur proposer des offres « dernière minutes » adaptées à leurs attentes, notamment à tous ceux qui possèdent des cartes de fidélité.

SA : Vous avez 60% de votre trafic sur mobile, quelle est la part de C.A générée par le mobile ?

FG : La part du CA représente environ 30%, ce qui n’est pas si mal comparé aux autres acteurs du secteur. Le mobile reste encore principalement un outil pour se renseigner mais sa part croît d’environ 30% par an chez Voyages-sncf.com ; il en résulte que d’ici 18 mois, nous devrions réaliser 50% de nos transactions sur mobile.

En connaissance de cause, nous avons choisi de développer tout, prioritairement sur mobile. Par exemple, nous mettons à jour notre application V le 3 octobre avec plein de surprises. Le « mobile first » est notre stratégie et le desktop en hérite ensuite.

SA : Vous pouvez nous donner quelques chiffres ? Nombre de visiteurs uniques ? Taux de Conversion ?

FG : Nombre de visiteurs uniques oui, taux de conversion non (rires) : ça c'est secret ! D’ailleurs, si vous trouvez des e-commerçants qui vous donne leur taux de conversion, je suis preneur ! La plupart d’entre nous créée des équipes dédiées à chaque séquence clé. Ces équipes-là, que nous appelons des « feature teams », fonctionnent telles des mini startups qui contiennent des développeurs, des PO (Product Owners), des profils orientés « business » … Une douzaine de personnes compose ces équipes. Chez Voyages-sncf.com, nous en avons une quinzaine et chaque équipe est autonome sur sa séquence. Il y en a une dédiée à l’application V, une dédiée à la « Home Page », une sur la page de devis, une concernée par la mobilité… Chaque « feature team » est autonome et a deux objectifs : améliorer la satisfaction client et améliorer le taux de conversion. Elles sont d’ailleurs en permanence en train d’ABtester de nouvelles mises à jour ! C’est ainsi que nous essayons d’augmenter notre taux de conversion et que nous travaillons notre audience qui, elle, peut-être divulguée : 12 millions de visiteurs uniques par mois sur destkop et mobile.

SA : J'ai testé le Bot Messenger, mais je me demande ce que vous attendez commercialement de cet outil ?

FG : A l’origine, c’est une demande de nos clients ; nous communiquions avec eux via Facebook Messenger ; c’est un projet qui est né dans l’équipe dédiée à la relation client ; les utilisateurs nous disaient : « c’est super, vous nous répondez en moins de deux heures, sur desktop et sur mobile : vous êtes complètement multicanal ! ». Nous ne souhaitons pas être simplement un site de vente de billets de train mais un vrai compagnon de voyage pour nos clients ! Ainsi, nous avons investi Messenger grâce à une version bêta, un POC pour le moment, mais les résultats sont instantanés et facilitent grandement les demandes des clients tout en les renvoyant après vers un « vrai » service client.

Par exemple, vous recherchez un Nantes – Paris tel ou tel jour : le bot va vous répondre en proposant des offres qui correspondent à votre demande. L’idée était clairement d’exporter ce que nous faisons sur les canaux classiques vers d’autres canaux, plus adaptés à différents types de clients.

Ainsi, chez Voyages-sncf.com, les managers ne sont plus des managers « hiérarchiques » mais des sortes de « coachs » qui s’assurent que tout ce qui est développé prend le meilleur de l’écosystème pour apporter la réponse la plus précise aux besoins des utilisateurs. Au départ, on ne sait pas vraiment vers quoi on se dirige mais, en tenant compte des avis clients, en coconstruisant, nous optons pour les meilleures solutions à développer.

SA : En matière de budget marketing, pouvez-vous nous expliquer comment vous fonctionnez ?

FG : Les chiffres du budget marketing ne sont pas rendus publics. Mon souhait est d’avoir évidemment le maximum de clients qui viennent en direct ou via le référencement naturel lorsqu’ils recherchent un billet de train. Les coûts d’acquisition augmentent globalement dans notre secteur parce qu’il y a plus d’acteurs mais également car c’est un secteur très « requêté » ! On travaille d’ailleurs avec des acteurs comme Mappy ou Kayak qui nous apportent une certaine audience et de la visibilité. Certaines personnes qui pensaient prendre leur voiture ou d’autres qui souhaitaient voyager en avion peuvent ainsi être « ramenés » vers le train, le bus et ce sont de supers partenariats ; ça fonctionne bien dans une relation « win-win » même si c’est un aspect du marketing payant. Nous travaillons également sur le SEO qui est un levier clé pour nous et qui a souvent été sous-estimé par les e-commerçants par le passé.

SA : C'est combien de pages Voyages-Sncf.com ?

FG : Je ne saurais pas vous dire exactement, mais il y a déjà 4000 pages qui parlent des destinations.

SA : Combien de personnes travaillent le SEO ?

FG : Environ une demi-douzaine de personnes.

SA : Est-ce que vous avez des projets de croissance externe ?

FG : Pas pour le moment. Nous sommes présents dans près de 100 pays dans le monde, avec autant de versions de sites web. Nous avons des équipes positionnées à New-York, en Inde, en Chine… Nous avons d’ailleurs ouvert une filiale BtoC en Chine il y a bientôt 6 mois, à Shangaï exactement ; nous savons que faire du e-commerce en Chine est un défi intéressant pour le futur bien que c’est un marché très particulier/ Lorsque nous avons hébergé notre site en Chine, nous avons divisé par 20 le temps de chargement des pages pour les internautes chinois. Nous nous déployons au niveau international mais ne cherchons pas la croissance externe à tout prix pour le moment. Néanmoins, en début d’année, nous avons acquis la totalité d’un acteur australien appelé Railplus dont nous détenions déjà 50% du capital à l’origine.

Railplus.au

Railplus.au

SA : Quelle est la part du Chiffre d'Affaires BtoB et BtoC ?

FG : On est essentiellement BtoC en France. Pour l'Europe c'est 1/3 BtoB, 2/3 BtoC et en dehors de l'Europe c'est du 50/50.

S.A : Merci beaucoup Franck pour tous ces éléments concernant Voyages-Sncf.com ! »

Rencontre avec Franck GERVAIS - CEO Voyages-Sncf.com

Rencontre avec Franck GERVAIS - CEO Voyages-Sncf.com

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Bilan salon ECP16, interview de ce matin, rencontres magiques

[MAJ] Retour de Paris ce soir… Entre autre car j'avais des obligations à mon retour à Nantes…Crevé. Je raconterais tout très prochainement. [FIN DE MAJ]

Depuis Lundi 12 Septembre 2016, se tient le salon Ecommerce à Paris. J'y étais aujourd'hui avec peu de rendez-vous, juste renouer avec des contacts et des amis avec envie, qui pour certains, je n'avais pas revus depuis longtemps. Puis de belles rencontres notamment avec un blogueur qui est également dans le E-commerce et lui-même E-commerçant. J'ai beaucoup parlé avec lui, et il m'a dit que je parlais beaucoup, je n'y peux rien le Ecommerce est une passion à l'instar de son blog éponyme 😉

Salon Ecommerce Paris 2016

Salon Ecommerce Paris 2016

Ces rencontres sont toujours magiques et se retrouver tous une fois par an dans un même lieu pour échanger est juste exceptionnel et riche en informations.

Nous avons tous a apprendre des uns des autres, encore et toujours tant les innovations sont perpétuelles avec une vision radicalement tournée vers l'avenir.

J'avais également rendez-vous sur le stand de Ve interactive (d'ailleurs pensez à passer en https pour votre site message perso pour Ve) pour être interviewé sur mon parcours face caméra et ma vision de l'avenir du Ecommerce et ce dès mon arrivé au salon ce matin.

Espace Presse au ECP16 - Salon Ecommerce à Paris

Espace Presse au ECP16 - Salon Ecommerce à Paris

L'accueil chez Ve Interactive (Twitter @VeFrance) était juste top, j'ai été pris en charge directement en arrivant alors même qu'en plus j'étais en retard (encore désolé pour les équipes) mais quelle richesse dans les échanges et l'interview était basée sur un concept original et j'ai apprécié répondre aux questions pertinentes qu'ils avaient choisies.

Je remercie encore Paul Le Padellec (Twitter @PaulLePadellec) pour son professionnalisme et son organisation, j'étais vraiment très heureux de participer à l'évènement.

Avec Paul Le Padellec au ECP16 - Salon Ecommerce de Paris - Une chaleur extrême.

Avec Paul Le Padellec au ECP16 - Salon Ecommerce de Paris - Une chaleur extrême.

On ne peut pas faire du Ecommerce si l'on a pas une vision du futur.

Aujourd'hui nous construisons demain.

Le salon a reçu pas mal de visiteurs, à première vue, vu le nombre que j'ai croisés sur place.

Bilan salon ECP16, interview de ce matin, rencontres magiques

J'étais venu avec un ami Nantais qui lui est resté sur place pour une partie de la soirée. J'avais d'autres obligations à honorer pour la soirée.

J'ai du donc décliner l'invitation d'un ami retrouvé sur le salon, Zidane LEBKIRI. Ce sera pour l'année prochaine.

Pour les stands intéressants avec de bons produits utiles voir indispensables en matière de marketing web et de Ecommerce on notera bien entendu Ve Interactive qui propose pléthore de solutions pour mieux convertir et donc faire du business, j'ai beaucoup aimé le module on-site qu'ils proposent, je l'avais déjà vu sur leur site en démo, il est bluffant. Puis le modèle de retargeting qu'ils proposent même si je suis toujours un peu critique lorsqu'on ne propose pas un module au CPA et non au CPC ou CPM.

J'ai également rencontré la société ADROLL qui propose une solution de retargeting sans minimum de visiteurs contrairement à ce que propose Critéo, ce qui est important pour DOTNET l'entreprise dont je suis le nouveau Directeur Général à Nantes, en effet en BtoB de logiciels de services en ligne, les visiteurs sont beaucoup moins nombreux que sur le BtoC de Ecommerce de biens physiques.

Pour les sites Ecommerce de DOTNET il me faut une solution de retargeting c'est une évidence, ainsi qu'une solution on-site. Donc 2 interlocuteurs intéressants à tous points de vue.

En ce qui concerne le salon dans sa globalité, je déplore la chaleur (au sens propre qui y régnait), une climatisation puissante aurait été la bienvenue, non seulement pour les visiteurs mais aussi pour les exposants bien entendu. Une grosse lacune concernant l'organisation de ce point de vu là. A nous faire fuir !!

J'étais aussi déçu qu'il n'y ait pas de navettes entre la gare Paris Montparnasse et le salon et inversement, pour avoir fait pas mal de salons, dans la plupart des cas, c'est un service qui est proposé.

Mais dans l'ensemble cela reste un super salon, une belle édition où je n'ai pas perdu mon temps, revu mon ami Zidane de chez Studio Mercurya, une super boîte qui mérite que l'on s'y attarde, vous pouvez d'ailleurs découvrir leur site en suivant ce lien.

Il y avait également des conférences auxquelles je n'ai pas eu le temps d'assister, trop axées "vente de biens physiques" à l'opposé de ma vision d'un nouvel entrant sur tel ou tel marché à moins d'avoir un/des produit(s) réellement novateur/s, une marque propre et une vision stratégique basée sur le pivot en cas de changement du marché sur lequel il souhaite s'établir.

Facebook donnait d'ailleurs une conférence mais n'avait pas de stand, dommage j'y serais allé.

J'écris ce post dans le train de retour à Nantes, je dois dire que j'ai mal aux jambes à force d'avoir pétionné toute la journée.

Pour le midi , au fait, je vous donne une bonne adresse, à 4 minutes à pied du salon, un petit resto que j'avais trouvé sur internet : Frites maison et spécialiste de la viande (une viande goûteuse et fondante) et pas cher par rapport à ce qui était proposé sur le salon, c'est "La petite auberge", située 13 rue du hameau.

Un petit bon plan pour ceux qui y seront demain au salon. Bon salon à tous et profitez !

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Nouveau site Ecommerce : Pacte-Associes.net

Parce est qu’il primordial de bien se protéger lorsqu’on crée sa société à plusieurs et que certaines informations n’ont rien à faire dans les statuts, il convient d’avoir impérativement un pacte d’associés ou pacte d’actionnaires.

On y écrit tout, les clauses de sortie, clause de préemption des parts/actions, les clauses relatives aux obligations des parties…etc etc.

Tout cela pour se protéger l’un l’autre en cas de fâcherie notamment si l’on est associé à 50/50 ce qui est par ailleurs une erreur mais parfois l’on a pas le choix.

Pacte-Associes.net s’inscrit dans une vision de simplification de la protection pour l’ensemble des associés/actionnaires personnes physiques ou morales.

Vue du site Pacte-Associes.net

Vue du site Pacte-Associes.net

L’avantage de passer par Pacte-Associes.net, c’est que vous avez un document rédigé par un avocat, valable juridiquement et cela pour 39€HT.

C’est juste imbattable même sur internet.

Pour avoir testé le service en pré-production, je peux vous dire que c’est juste bluffant ! Vous pouvez même contacter le support si vous souhaitez effectuer des modifications après achat et lecture. Du service, du service et encore du service !

Découvrez tout cela en suivant ce lien. Le site est en pré-bêta donc il peut y avoir des bugs non majeurs, contactez le support client en cas de bug, même si cela ne peut concerner que l’affichage du site. Pour le reste tout est fonctionnel.

Allez profitez de faire un pacte d’associé à 39€ plutôt que de payer 1000€ ou plus chez votre avocat en direct (nous travaillons avec des avocats donc pas de surprise) sauf que cela est bien moins cher : 39€ seulement et tous les associés sont couverts.

Notre logiciel est unique et vous fournira dans tous les cas le pacte d’associés souhaité car post-paiement nous pouvons le modifier pour vous personnellement avec les éléments souhaités. Toujours plus de services chez DOTNET…

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Salon Ecommerce 2016, J’y serai !

Comme tous les ans, le Salon Ecommerce 2016 se tiendra à Paris du 12 au 14 Septembre. Cela est une évidence d'y aller pour moi afin de voir et revoir des amis, tous de la grande famille du Ecommerce.

Salon Ecommerce 2016, J'y serai !

Et vous avez-vous prévu d'y venir ? Je serai présent au salon le Mardi 13.

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Test de Pickup Station par Neopost, un mode de livraison à ne pas négliger en Ecommerce, mais… allons plus loin.

Hier j’ai passé commande sur Cdiscount leader du Ecommerce généraliste en France c’est un fait incontestable. Ma commande comportait 2 articles à savoir 2 chemises, donc pas un gros colis en prévision.

Etant absent la journée, je savais que si le transporteur passait, il me faudrait aller à La Poste chercher le colis, faire la queue avec les horaires parfois compliqués de l’enseigne, j’avais donc prévu une livraison en point relais.

Toutefois le problème des livraisons dans ce type de relais qui sont des magasins en général, c’est que même chose, il arrive parfois de faire la queue parce qu’ils ont des clients à servir et que délivrer un colis n’est pas leur priorité, mais cela à l’avantage d’avoir une amplitude d’horaires extraordinaire par rapport à La Poste.

Cdiscount me propose une livraison gratuite le lendemain par Chronopost (Groupe La Poste) en Pickup Station, je n’ai jamais testé ce service de transport, mais là j’avais envie car justement une Pickup Station vient de s’installer à la poste principale de mon quartier :

Pickup Station Nantes Eraudière

Pickup Station Nantes Eraudière

Les avantages de ce point de retrait :

– Un parking

– Pas de file d’attente

– Simple et rapide

Fonctionne 24h/24h un must niveau service !

Le groupe La Poste frappe fort, très très fort sur ce concept.

Je valide la commande sur Cdiscount en choisissant la fameuse livraison en Pickup Station par NeoPost.

Dès ce matin, soit au lendemain de ma commande je reçois un SMS de la part du transporteur me donnant 2 codes pour retirer mon colis dans la borne prévue à cet effet :

Borne Pickup Station

Borne Pickup Station

Alors le principe est très simple, vous arrivez devant la borne, vous touchez l’écran, vous rentrez les codes reçus par sms et une porte de casier s’ouvre et vous récupérez votre colis, c’est simple et rapide. J’ai été bluffé par le service et sa rapidité.

Un excellent point !

Maintenant ma réflexion se porte sur l’extension de ce service au delà du colis. En effet aujourd’hui une majorité des courriers recommandés est délivrée au guichet de La Poste car les destinataires (heureusement pour eux, travaillent lors du passage du facteur), les horaires des bureaux de poste sont pénibles notamment pour ceux qui travaillent avec des horaires qui ne permettent pas de venir au bureau de poste la semaine, ils doivent donc se lever le samedi matin pour aller à La Poste (super début de WE !).

Il faudrait pouvoir récupérer un recommandé quand on le souhaite alors même qu’aujourd’hui, les postiers font signer les destinataires sur smartphone. Nous sommes encore à l’âge de pierre.

Il faut impérativement que l’on puisse récupérer un recommandé 24h/24h. L’utilisation de Pikup Station à ces fins serait une solution de rentabilisation des centres de profits de La Poste.

1. L’expéditeur note l’adresse du destinataire

2. Le destinataire absent est avisé et aurait un avis de passage avec deux codes et l’invitation à se rendre dans une Pickup Station pour récupérer son pli.

3. Le destinataire, par exemple ouvrier en 3/8 peut en débauchant à 23h passer à son bureau de poste et utiliser Pickup Station en entrant ces codes et retirer son recommandé en signant sur la borne (comme sur les smartphones des postiers).

A creuser…

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Pour la 2ème année consécutive je fais parti des 35 blogueurs Ecommerce à suivre sur Twitter

Pour la 2ème année consécutive je fais parti des 35 blogueurs Ecommerce à suivre sur Twitter

Veinteractive vient de sortir son classement pour 2016, comme en 2015, je figure parmi les 35 blogueurs experts du Ecommerce à suivre sur Twitter. vous pouvez le retrouver là.

Une bonne nouvelle tant je m'investis sur le blog et dans la communauté Ecommerce pour tenter d'apporter depuis bientôt 7 ans ma vision du Ecommerce et comment progresser.

Cette année, il y a 80 Twitter à suivre séparés en différentes catégories :

Pour la 2ème année consécutive je fais parti des 35 blogueurs Ecommerce à suivre sur Twitter

Bon le descriptif me concernant est un peu "fort" mais juste, je vous laisse en prendre connaissance et n'hésitez pas à faire vos commentaires :

Pour la 2ème année consécutive je fais parti des 35 blogueurs Ecommerce à suivre sur Twitter
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Réflexion du jour : Investir sans discontinuer pour réussir et gagner des parts de marché

Réflexion du jour : Investir sans discontinuer pour réussir et gagner des parts de marché

Dans la distribution il existe 2 types d'entreprises : l'entreprise qui vit sur ses acquis et essaie d'optimiser son compte de résultat avec l'existant sans avoir de politique d'investissement mais plutôt de réduction des coûts, la croissance est inexistante, faible voir négative et à contrario il y a l'entreprise qui créée de la valeur ajoutée en investissant sans discontinuer.

Focus….

Un très bel exemple est l'entreprise SCHMIDT GROUPE voir l'article qui est consacré à Anne Leitzgen la patronne du groupe .

Elle prône une politique d'investissements massifs et elle a raison.

Une entreprise RENTABLE qui investie sans discontinuer, tous les voyants sont au vert

Tous les voyants sont au vert pour SCHMIDT GROUPE : Cash flow, rentabilité et valeur ajoutée, les comptes sont disponibles .

Lorsque je regarde en arrière et que je vois mon ancien job de directeur de magasin chez AutoDistribution, je n'ai aucun regret tant l'aventure était passionnante mais très énergivore.

Je m'explique pour la croissance, il faut de la satisfaction client, c'est indéniable et cela améliore le taux de repeat business, aussi il convient d'avoir les bons outils pour l'ensemble des collaborateurs mais cela a un coût.

Que penser d'une enseigne Nationale qui effectue tous ces envois avec des cartons usagés ? Quelle image cela renvoie aux clients destinataires de ces envois ? Que penser également d'un mail reçu de la direction financière pour demander de justifier l'achat d'un cutter à 4,78€HT ?

La vision d'avoir des collaborateurs avec le sourire est essentielle, Anne Leitzgen le dit dans l'article mais pour cela ils faut qu'ils se sentent bien, pas "compressés", et certainement pas inscrits dans "l'urgence" et "sans aucuns moyens" laissés à l'abandon d'une direction qui n'est là que pour mener une politique économique répressive et courtermiste.

La réussite d'une entreprise s'inscrit dans une vision sur le long terme et une politique d'investissements perpétuelle.

Aujourd'hui à 34 ans, j'ai fais pas mal de jobs de direction opérationnelle de centres de profits, je crois que Anne Leitzgen résume bien ma vision des choses pour les entreprises que je suis amené à diriger.

La clairvoyance de cette femme et son talent de dirigeante font clairement la réussite de SCHMIDT GROUPE de part sa politique d'investissements permanente et sa gestion hors pair.

Quid de la rentabilité d'Amazon ? Elle se fera sur le long terme car il faut voir plus loin, plus grand.

En Ecommerce c'est la même chose, lorsque l'on regarde Amazon et sa politique d'investissements, alors les détracteurs diront, quid de la rentabilité d'Amazon ? Elle se fera sur le long terme car il faut voir plus loin, plus grand.

Amazon sera a terme une "machine à cash" RENTABLE

Amazon sera a terme une "machine à cash" RENTABLE j'en suis persuadé.

Aujourd'hui en 2016, il n'est plus possible de gérer des entreprises comme en l'an 2000 qu'il s'agisse de startups, ou d'entreprises clairement implantées depuis des années voir des dizaines, il est impératif d'investir, de recruter de miser sur la rentabilité sur le long terme.

J'ai vu et je vois beaucoup de boîtes en Ecommerce qui pensent "one shot" prendre une commande sans fidéliser. C'est une grave erreur qui peut mener à la fermeture d'une entreprise, sur le court terme.

Nous arrivions à fidéliser notre clientèle à travers un programme de fidélité hors normes et 21% des nouveaux clients le devenaient de part ce programme fidélité, un must en Ecommerce.

Lorsque je regarde mes expériences professionnelles passées et notamment MotoliGne, je dois reconnaître que nous n'étions pas à la pointe de la satisfaction client sur certains points, pourtant nous arrivions à fidéliser notre clientèle à travers un programme de fidélité hors normes et 21% des nouveaux clients le devenaient de part ce programme fidélité, un must en Ecommerce.

Nous étions en permanence en train d'innover, j'inventais tous les jours des trucs que les développeurs se devaient de coder et cela bénéficiait aux clients qui en redemandaient.

Un cercle vertueux, car des clients satisfaits reviennent c'est une certitude et une vérité établie.

Encore faudrait-il que les grands groupes l'intègrent…. enfin ceux qui ont de l'ambition.

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