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Contributeur sur le Blog du transporteur GLS : ce transporteur va changer le Ecommerce

Cela fait un peu plus d’un mois que l’on m’a contacté pour écrire pour le Blog de GLS que vous pouvez retrouver à cette adresse. Alors c’est vrai au départ, je n’étais pas emballé d’écrire pour les autres, mais finalement la sincérité du projet et le contenu original et inédit qui m’était fourni m’a séduit car d’une part il amène de l’innovation dans le transport ainsi que la livraison en Ecommerce avec un nouveau système de gestion des livraisons de la part de GLS, cette fois-ci, et d’autre part, ils partent directement concurrencer Chronopost en matière de qualité de service un pari osé, imaginez-vous concurrencer Chronopost en matière de services à un prix complètement inférieur et en phase avec les attentes des sites Ecommerce (logique vu le prix et les services) et du consommateur qui attend de la flexibilité ?

Voici notamment les nouveautés dont j’ai connaissance à ce jour :

« Comme pour chaque envoi, l’expéditeur prépare son colis et le transfère à GLS en indiquant également l’adresse e-mail et le numéro de téléphone du destinataire. Il active alors les choix de livraison flexible. GLS informe ensuite le destinataire de la date et du créneau horaire de livraison de son colis, ce qui lui permet d’évaluer s’il pourra ou non le réceptionner lui même. En cas d’absence ou d’imprévu, celui-ci peut reprogrammer sa livraison directement depuis son Smartphone par exemple. Il a alors toutes les informations en sa possession pour suivre son colis en utilisant le site Internet de GLS ou l’application Mobile App. »

Autre point :

« A compter de cet été, les clients de GLS France bénéficieront d’un confort accru pour le suivi de leurs colis.

En effet, GLS prépare le passage à la signature électronique du destinataire, nécessaire pour fournir en temps réel des informations sur la livraison. La signature apposée sur le handscanner du chauffeur-livreur est transmise en ligne, ce qui permet à l’expéditeur de voir immédiatement le nouveau statut du colis sans avoir à attendre le retour du chauffeur à l’agence GLS pour valider la tournée.

Cette nouvelle technologie est en cours de test dans les agences de Bordeaux et de Montpellier, sous la direction d’une équipe d’experts. Quelques autres filiales de GLS utilisent déjà cet « autographe numérique ». GLS France s’apprête donc à mêler les nouvelles technologies et le suivi des colis, le tout pour la plus grande satisfaction des destinataires. »

Et j’ai envie de dire, des E-commerçants !

Bref, avec toutes ces nouveautés, je ne pouvais qu’accepter de contribuer au blog de GLS car nous avons de la nouveauté, du contenu et des moyens pour satisfaire les consommateurs. Aussi je vous invite à découvrir l’article que j’ai écris pour eux afin de présenter un sondage AVANT TOUT sur les attentes des consommateurs en Ecommerce, pour cela suivez ce lien.

Bonne lecture !

NB > En voici un petit aperçu ci-dessous :

Extrait de mon article pour le blog de GLS

Extrait de l’article pour le blog de GLS

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Les Français et les délais de livraison en Ecommerce, focus…

Opinionway, le célèbre organisme de sondage Français, nous sort un nouveau sondage au mois de Mai et les statistiques sont réellement assez surprenantes mais elles démontrent énormément de choses importantes pour le Ecommerce en général.

Petite précision, le sondage a été réalisé pour le transporteur GLS qui comme tout transporteur souhaite se positionner sur le segment de la livraison en BtoC, donc du Ecommerce et capter une partie des flux de Coliposte qui a le monopole du transport BtoC consolidé depuis un peu plus de 4 ans grâce à SoColissimo qui offre la livraison en point relais, en bureau de poste et à domicile.

On y apprends pas mal de choses dans ce sondage, mais tout d'abord parlons de la méthode de ce sondage, elle est réalisée selon la méthode des quotas sur 1054 personnes interrogées sur le Ecommerce et la livraison en générale. Car il est important de préciser une chose en Ecommerce, c'est qu'en E-commerce la livraison est réellement importante elle est même essentielle pour délivrer le ou les produits commandés. Les gens lorsqu'ils commandent sur internet ont envie d'être livrés le plus rapidement possible. Or en Ecommerce, nous sommes tous tributaires des délais de livraison des transporteurs. Focus…

Dans cette étude l'on apprends notamment que 64% des jeunes de 18 à 24 ans estiment ne pas maîtriser leur temps, ce qui est énorme.

Mais là n'est pas l'essentiel, en effet concernant les livraisons axées sur le Ecommerce, 36% des sondés évoquent le fait qu'ils n'estiment pas "maîtriser leur temps" lorsqu'ils attendent une livraison chez eux. Ce chiffre monte à 40% pour les 18 à 34 ans. La livraison est réellement au coeur des problématiques des acheteurs sur internet et sans doute un frein à l'achat pour certains, ce qu'il faut résoudre, voir annuler complètement afin d'augmenter le taux de conversion de votre site.

Le pire c'est qu'avec notre civilisation, nous sommes sensés nous améliorer technologiquement parlant, pourtant 61% des sondés pensent et affirment que la perte de temps dans nos achats ne va pas s'améliorer dans les années qui viennent. C'est un comble en 2015 !

75% des acheteurs sur internet ont l'impression de gagner du temps, il est évident qu'avec le phénomène "drive" des grands hypermachés cela est réel. En gros vous passez 10 minutes sur le site Ecommerce de l'hypermarché et seulement 2 minutes pour avoir votre livraison en direct le jour même ou le lendemain. c'est juste imbattable. L'avenir sera donc aux sites Ecommerce qui livrent le plus vite pour un même produit.

Pour aller plus loin 88% des 18-24 ans pensent qu'internet et notamment le Ecommerce leur font gagner du temps. Autre point 47% des sondés pensent que la livraison en Ecommerce peuvent leur faire perdre du temps et 81% estiment que la livraison peut être "prise de tête" dont 46% car il n'y a pas de créneau horaire spécifié pour la livraison, jugez par vous même sur ce graphique sans équivoque :

Les situations qui rendent la livraison compliquée en Ecommerce

Les situations qui rendent la livraison compliquée en Ecommerce

il est vrai que dans un monde idéal nous aimerions tous commander sur un site Ecommerce le matin et être livré sur rendez-vous réellement à l'heure que l'on veut et sans attendre, surtout sans attendre.

Reprenons l'exemple du drive au niveau des hypermarchés, je passe ma commande le matin en général directement sur le site (déjà pas d'adwords ou de frais marketing, c'est que l'on appelle un accès direct), sur Leclerc drive je choisi mon horaire de retrait, je peux déduire des euros sur ma carte fidélité et je n'ai plus qu'à me présenter au drive à l'heure choisie pour que l'on vienne me livrer ma commande directement dans mon coffre de voiture.

Lorsque Amazon imagine de façon utopique (de mon point de vue) une livraison par des drones c'est pour répondre à cette demande de : Je commande = Je suis livré immédiatement et quand je veux et encore où je veux.

Chronopost a mit en place des services inclus dans ces produits de bases qui révolutionnent le marché du Ecommerce et de la livraison en général. Là où chez certains transporteurs, les livreurs flashent eux-même leurs colis le matin et organisent eux-mêmes leurs tournées comme "ils le sentent", Chronopost a mit en place un logiciel qui calcule le meilleur itinéraire pour le livreur en fonction de différents paramètres et ils n'ont pas le choix, ce qui permet d'envoyer un SMS au destinataire pour donner une tranche horaire de livraison en temps réel en fonction de la tournée du livreur et de l'endroit où il se trouve, c'est un plus non négligeable car il amène de la flexibilité. Tout comme le fait pour le consommateur de pouvoir y répondre immédiatement et décaler l'heure de la livraison.

L'on voit au final que les efforts n'incombent pas aux sites Ecommerce qui proposent des modes de livraison X ou Y mais bien aux transporteurs qui se doivent d'évoluer face aux demandes du consommateur. Au vu des statistiques évoquées plus haut, nous voyons que les transporteurs et non les sites Ecommerce n'ont pas évolués avec leur temps et notamment au niveau de l'évolution des besoins des consommateurs.

Le consommateur veut être livré plus vite et avec plus de souplesse. Coliposte avait commencé à l'intégrer au travers de son offre SoColissimo en proposant une livraison à domicile bien entendu, mais également en point relais et en bureau de poste et même sur rendez-vous sur Paris.

Mon seul bémol concernant cette offre est que SoColissimo ne propose pas de livraison sur rendez-vous en dehors de Paris alors que visiblement d'après le sondage le consommateur est demandeur, à quand une livraison sur Nantes sur rendez-vous ? Je suis preneur !

Ci-dessous les souhaits du consommateur qui achète sur internet :

Les souhaits du consommateur concernant la livraison en Ecommerce

Les souhaits du consommateur concernant la livraison en Ecommerce

En gros 91% des acheteurs veulent une livraison sur rendez-vous pour leurs achats sur des sites Ecommerce, peu importe lequel. Le premier point important c'est qu'aujourd'hui nous sommes dans une offre paradoxale où Coliposte propose la livraison sur rendez-vous uniquement sur Paris et pas dans d'autres villes de france, sinon il faut s'adresser à des expressistes tels que Chronopost, TNT ou GLS et encore, on est en 2015, il est temps que cela bouge !

Le top de la livraison en Ecommerce : C'est avoir la possibilité de se faire livrer quand le consommateur le souhaite, pas quand le transporteur le veux où quand ça l'arrange. Nous ne voulons plus de mail avec "vous serez livré entre 8h et 18h à l'adresse indiquée lors de votre commande".

Je veux pouvoir changer la date de livraison, son horaire et son lieu quand je veux et idéalement le faire depuis le site où j'ai commandé mes pieces moto par exemple afin de les recevoir là où je veux et quand je le veux. Cela serait idéal, mais ce que je souhaite aura évidement un coût et aujourd'hui le consommateur, notamment en Ecommerce veut tout, tout de suite, et gratuitement en plus. L'innovation par le service coûtera de l'argent c'est une évidence comme toute innovation par ailleurs.

Chaque site Ecommerce propose différents transporteurs ou modes de livraison en général et annonce le délai de livraison de chacun d'entre eux, une fois le colis prit en charge, 24 heures, 48 heures… Le sondage Opinion Way nous révèle que 47% des sondés estiment que les transporteurs ne respecte pas son engagement à livrer dans un temps donné, ce qui est juste colossal ! A méditer.

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Ebay en test avec Shopping Flux – Ecommerce épisode 2

J'ai démarré mes tests sur Ebay le 18 Mai, j'en parlais ici, au final l'indexation du flux est ultra rapide voyez par vous même sur cette boutique en test :

Plus de 150 000 produits sont référencés dans cette boutique

Plus de 150 000 produits sont référencés dans cette boutique

Alors comme je le disais sur le post précédent, le nombre de produits fluctuent en permanence notamment à cause des fins de vente de vos produits, c’est le principe même d’Ebay.

En ce qui concerne Shopping Flux, que dire à part que c’est une tuerie pour Ebay, c’est juste énorme de pouvoir y être présent en quelques heures avec un flux et par ailleurs des ventes en test ont été réalisées quasi immédiatement.

Autant pour Cdiscount, je trouve le processus hyper long, seulement un millier de produits test en production au bout de plusieurs mois, leur système est un peu limite…

1. Le flux doit juste est parfait. Pas bon, ni top, non non parfait je vous dis. il a fallut passer du temps pour le configurer et qu’il soit accepté par Cdiscount.

2. Ne pas lui mettre 150 000 produits dans le flux, cela fait trop pour eux et cela ne passera pas.

3. Une fois qu’ils ont accepté les quelques produits que vous leur mettez dans le flux, ils faut ensuite attendre 15 jours pour qu’ils soient visibles sur Cdiscount.

Shopping Flux n’y est pour rien, c’est réellement un problème de Cdiscount, qui, et c’est mon avis personnel, travaille comme il y a 5 ans. Le Ecommerce a changé depuis, ce ne sont pas des méthodes modernes.

Autant si vous voulez faire du business rapidement et en volumétrie importante, utilisez Shopping Flux et ouvrez la marketplace Ebay, franchement par rapport à toutes celles que j’ai pu tester ces dernières années : RueDuCommerce, Priceministrer, Cdiscount (j’exclu Amazon qui est un cas particulier), Ebay est la plus simple à mettre en place et à générer du volume du moins avec un outil comme shopping flux.

Alors certes, il faut passer un peu de temps au départ pour ouvrir un compte, ouvrir une boutique, catégoriser le flux mais après c’est de mon point de vue un véritable levier de croissance. De plus, contrairement aux autres marketplaces, vous ne récupérez pas une adresse mail bidon (automatiquement générée par Shopping Flux) mais la VRAIE adresse mail du client qui vous permet de la rentrer en base de données. Donc non seulement vous n’avez pas de frais marketing (CPC du genre Google Adwords ou comparateur de prix où vous n’avez pas de certitude de réaliser des ventes), mais en plus vous récupérez les données du client et vous pourrez le solliciter à nouveau à travers une newsletter par exemple. Tout cela pour une simple petite commission Ebay initiale et une commission sur le paiement Paypal, c’est le bon plan non ?

A suivre…

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Lancement du nouveau comparateur de prix en Ecommerce : 123comparer.fr

Vue du comparateur de prix : 123comparer.fr

Vue du comparateur de prix : 123comparer.fr

La société VC2B basée en Alsace vient de lancer le comparateur de prix 123comparer.fr. Alors c'est vrai des comparateurs de prix il y en a légion dans le paysage du Ecommerce Français, mais celui-ci se présente comme différent des autres. Analyse :

– "Pas de pub" (bon ça à la limite sur les comparateurs de prix comme sur les sites de Ecommerce, l'on est habitué à voir de la pub)

– "Un maximum" de sites Ecommerce (j'ai évidemment été voir, je n'ai pas trouvé énormément de boutiques sur le comparateur)

– "Présentation des produits par prix croissant" et non par les enchères des marchands (J'ai vérifié et c'est tout à fait exact).

Sur ce point je m'interroge sur le modèle, en effet hormis l'affection qu'un internaute peut avoir pour telle ou telle enseigne, je vois mal comment un site Ecommerce classé en bas du tableau pourra faire du business en étant plus cher que ces concurrents :

Comparaison tarifaire sur 123comparer.fr

Comparaison tarifaire sur 123comparer.fr

Il n’aura donc pas intérêt à voir ces produits sur ce comparateur car cela véhiculerai une image de distributeur avec des prix élevés.

Autre différenciation par rapport aux autres comparateurs de prix, l’on peut choisir par de nombreux critères plutôt utile notamment pour les produits techniques :

 

Critères à sélectionner sur le comparateur de prix

Critères à sélectionner sur le comparateur de prix

Je trouve la fiche de présentation du produit plutôt bien faite, notamment avec le graphique d'évolution des prix, c'est assez pertinent et clair pour l'internaute :

Fiche de présentation du produit sur le comparateur de prix 123comparer.fr

Fiche de présentation du produit sur le comparateur de prix 123comparer.fr

Alors ce comparateur de prix se présente comme un site "Made in France" et propose également un service de comparaison de vols est également à la disposition des internautes tout comme un comparateur de mandataires automobiles, 123comparer.fr ratisse large !

Je me pose toutefois une question : Combien de temps faut-il pour créer un flux spécifique compatible tant ils demandent d'informations ? Par ailleurs aujourd'hui, en Ecommerce on ne fournit plus de flux spécifique directement aux comparateurs, l'on passe par un gestionnaire de flux comme par exemple Shopping Flux qui regroupe la quasi totalité des leviers marketing. A ce jour en tout cas, 123comparer.fr n'est pas présent sur la plateforme Shopping Flux, un passage pourtant obligé pour s'ouvrir les portes de sites Ecommerce en nombre conséquent.

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Ebay en test avec Shopping Flux – Ecommerce

Je vous l'avais dis déjà il y a plusieurs semaines dans ce post que je testais la solution Shopping Flux notamment pour les marketplaces afin de savoir si elle est pertinente pour un site Ecommerce. J'ai testé PriceMinister, cela fonctionne parfaitement et vous pouvez prendre des commandes chaque jour et cela rapidement, la solution Shopping Flux fonctionne parfaitement avec notamment le rapatriement des commandes dans votre Back Office. Je voulais tester Cdiscount, mais je rencontre des problèmes techniques qui ne sont pas de mon ressort. Aujourd'hui, je me dis que je vais tester Ebay et mettre en ligne un flux produits.

Je commence la création du compte sur Ebay, j'ouvre une boutique (gratuit pendant 90 jours) afin de tester les fonctionnalités proposées et je paramètre le flux dans Shopping Flux (catégorisation entre autre et catégorisation boutique – qui n'a pas marchée pour l'instant) et je balance.

Chose surprenante, Ebay n'a pas mit longtemps à indexer les produits et à les publier dans la boutique, pourtant en vérifiant ce soir la publication des produits sur Ebay baisse et augmente et baisse à nouveau c'est assez surprenant comme comportement, je n'ai pas d'explications pour l'instant, mais je trouve en tous cas que l'indexation reste rapide (2 heures pour voir les premiers produits.

Rappelons-le, le Ecommerce c'est non seulement les flux pour les comparateurs de prix, mais aussi et surtout pour les marketplaces. Car en Ecommerce le marketing est prépondérant pour réussir, en effet les comparateurs de prix amènent certes du business mais vous payez au clic chaque visite qu'ils vous apportent sans certitude de vendre (le nerf de la guerre !) alors qu'au contraire les marketplaces vous ramènent des ventes. Vous vendez, vous versez une commission, vous ne vendez pas vous ne payez rien, hormis l'abonnement à Shopping Flux et éventuellement à la marketplace.

Du coup j'ouvre la catégorie "Flux" sur le Blog.

La suite demain…

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Le retargeting a encore de grosses lacunes pour un site Ecommerce

Pour ceux qui me suivent sur Twitter, vu avez peut être lu que je me sépara et donc que je déménageais, cela avec les rachats que ça peut incomber. Rachat de meubles ou d’électroménager et j’en passe, j’ai comme tout expert du Ecommerce, fais mes emplettes sur internet. Je recherchais un frigo alors je me suis tapé les différents sites Ecommerce qui proposent de l’électroménager : Cdiscount en tête car chez eux ils proposent non seulement des prix bas mais également le paiement en X fois par CB, un bon plan quoi.

J’ai commandé mon frigo et je l’ai réceptionné une semaine plus tard, top !

Pour ceux qui ne connaissent pas le retargeting, il s’agit de déposer un cookie sur l’ordinateur d’un internaute qui a visité un site Ecommerce et visionné un ou plusieurs produits sur le site en question, puis ensuite une fois que l’internaute a quitté le site (sensé ne pas avoir acheté), on lui fait visualiser des bannières ciblées avec les produits qu’il a consulté sur des sites pour la plupart éditoriaux qui diffusent des contenus publicitaires avec notamment Critéo le leader mondial du retargeting.

Aujourd’hui, par hasard, je recherche un bureau ancien sur Leboncoin.fr le site de petites annonces bien connu des internautes, d’ailleurs pour l’instant, je sèche car je recherche un bureau ancien genre 18ème/19ème siècle, au pire début 20ème. Au fur et à mesure de mes recherches sur Leboncoin, une bannière apparaît sur la gauche du site :

Vue d'une bannière Cdiscount sur Leboncoin

Vue d’une bannière Cdiscount sur Leboncoin

Il s’agit d’une bannière Cdiscount qui me propose des frigos. Quoi ? Comment est-ce possible ? J’ai déjà acheté mon frigo, pourquoi donc m’en proposer d’autres ? En plus je l’ai acheté sur Cdiscount, et réceptionné depuis une semaine, un comble !

Le retargeting, c’est un excellent levier en Ecommerce mais là clairement il montre ces limites. A la limite l’on m’aurait présenter une bannière du site Crésus sur lequel j’ai consulté une BRM ces derniers jours, j’aurais compris, mais là me présenter une bannière avec un produit déjà acheté est juste non pertinent.

J’avais déjà remarqué cela lorsque je dirigeais mon groupe en Ecommerce, mais je pensais que cela c’était amélioré depuis (3ans déjà).

En gros, vous avez un site Ecommerce et vous faites du retargeting, et bien vous avez le risque de payer pour des clics sur des bannières contenant des articles déjà vendus a l’internaute qui les visualise et qui au final ne vous rapportera aucune vente.

Quel intérêt aurais-je à acheter un nouveau frigo alors que je viens de le faire ? La réponse est claire, aucun.

Le retargeting a donc de GROSSES lacunes sur le parcours client, il faudrait tagger tout le parcours client et ne pas proposer des bannières avec des produits déjà vendus mais justement des produits qui ont été visualisé ou mit au panier mais sans acte d’achat. Je ne comprends pas qu’en 2015 l’on puisse encore voir ce genre de chose, c’est tellement évident sur le fond et sur la forme.

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Ouvrir un compte Instagram est-il utile en Ecommerce ?

Aujourd’hui j’ai ouvert un compte sur Instagram le réseau social à la mode en ce moment.

Je ne connais pas trop Instagram, j’ai déjà vu des photos postées sur Twitter via Instagram. Je me pose la question suivante : Instagram peut-il influer en Ecommerce ? Une société qui travaille dans le Ecommerce peut-elle trouver un intérêt à publier des photos de ces produits sur Instagram ?

Aussi, je vais déjà tester Instagram à titre perso afin de voir (voir ici), d’une part comment cela fonctionne et d’autre part et surtout de voir comment l’utiliser dans le domaine du Ecommerce. Je pense sincèrement qu’en fédérant une communauté, l’on peut aisément communiquer sur ces produits et sur une offre commerciale, notamment en publiant sur Instagram une impression d’une newsletter par exemple.

Je ne sais pas trop à quoi m’attendre à titre perso, je n’ai publié que 66 photos ou vidéos à ce jour sur Twitter, mais je vois des personnes comme JoeyStarr qui postent quasiment sur Twitter uniquement avec Instagram.

Evidemment je ne peux pas me comparer avec un profil comme celui-là qui est une personnalité contrairement à moi, mais j’ai j’ai hâte de voir ce que cela va donner, donc je vais essayer de poster des photos avec Instagram presque tous les jours afin de tester en réel les retombées.

J’ai donc commencé par intégrer tout mon répertoire téléphonique en abonnés sur Instagram, au final sur mon répertoire de plus de 800 contacts, seuls un peu plus de 170 sont sur Instagram, ce qui reste un beau pourcentage tout de même. J’en suis surpris d’autant plus que certains ne sont pas des personnes « publiques ».

L’inscription est simple sur Instagram, un Email, un mot de passe et c’est tout. L’application sur Iphone est simple d’utilisation et est plutôt bien noté par les utilisateurs (Iphone, source AppStore).

J’imagine déjà transposer l’utilisation en Ecommerce :

– Présenter un nouveau produit

– Newsletter (voir plus haut)

– Promotions (slides à mettre en impression d’écran)

– Opérations en facial ( genre -15% sur TOUT le site)

– Transparence (publier des photos de l’envers du décor)

Pour le dernier point, les gens aiment cela, voir le back d’un site Ecommerce, ce qui se passe derrière l’écran et même dans de nombreux domaines. Cet après midi avec 2 amis que j’avais invité aux 24 heures du Mans, moi-même invité par un team en mode VIP avec accès à tout, je dis bien à tout, et bien leur feedback aujourd’hui c’est qu’ils ont kiffés de vivre une course non pas dans le public mais depuis les paddocks. Donc oui je pense objectivement que publier des photos montrant la préparation d’un colis en Ecommerce ou encore le service client peut aider un site Ecommerce dans la construction de sa notoriété et générer du C.A. Après j’attends de voir comment réagit Google aux publications d’Instagram.

Bon, voici mon compte Instagram pour finir, devenez abonné !

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Zoom sur Shopping Flux pour votre Ecommerce MAJ au 23-04

Je le dis, je le redis depuis des mois voir des années, l'avenir du Ecommerce sera les flux. Comparateurs de prix, marketplaces, retargeting… Tout ces supports nécessitent des flux de qualité. Pour cela il vous faut un prestataire de qualité, un prestataire avec un vrai support client et une expertise forte. La vision de votre gestionnaire de flux doit être d'innover sans discontinuer.

L'on retrouve cela chez Shopping Flux, une boîte, un logiciel, fondés par Olivier LEVY qui est également le créateur de Blog Ecommerce une webagency reconnue notamment pour son savoir-faire en SEO spécialisée en Ecommerce. D'ailleurs cette boîte a longtemps exploitée le site Platine Center qui vend des accessoires pour DJ. Quoi de mieux qu'une agence web qui connaît au quotidien vos problématiques en matière de Ecommerce ?

L'objectif de ce post n'est pas de vous faire signer dès demain chez Shopping Flux mais de vous faire découvrir l'outil qui est vraiment puissant et très intuitif. Vous saurez prendre la bonne décision par la suite j'en suis sûr.

Shopping Flux

Shopping Flux

Bon le seul et unique problème que l'on peut rencontrer avec Shopping Flux c'est la taille du flux, dès qu'il atteint une taille importante (175 000 produits par exemple) ça rame, il n'y a rien de plus exaspérant. A part cela tout est fluide, simple et intuitif. Le tarif est correct car il faut bien parler de cela également !

Voici l'interface ou du moins le menu, je ne peux pas tout montrer non plus !

Zoom sur Shopping Flux pour votre Ecommerce MAJ au 23-04

Ce qui est chiant au final c'est surtout les exigences des marketplaces, catégorisation, attributs… Rakuten (PriceMinister entre autre) est vraiment exigeant en matière de flux tout comme Cdiscount et c'est pénible à gérer, nous ce que l'on veut c'est diffuser nos produits rapidement c'est tout !

Le gros avantage chez Shopping Flux c'est le SERVICE, je vous l'écris en majuscule car il est au coeur du truc. Une question, un problème et vous avez de suite un/une interlocuteur(trice) par mail ou téléphone pour vous aider. Leur taille humaine, fait qu'ils restent humains et ne dé-humanisent pas le contact client. Un point essentiel !

Zoom sur Shopping Flux pour votre Ecommerce MAJ au 23-04

Ci-dessus un exemple de l'interface Shopping Flux sur les marketplaces. La différence entre le nombre de produits est liée au simple fait que certaines erreurs ont été relevées par le logiciel Shopping Flux. A corriger de notre côté.

Pour ce qui est des comparateurs de prix, c'est simple, vous cliquez sur le comparateur en question et vous le gérez de A à Z, c'est à dire que vous pouvez mettre en place des règles pour virer automatiquement des produits cliqués mais pas achetés.

Zoom sur Shopping Flux pour votre Ecommerce MAJ au 23-04

Alors oui dans ce post, je ne rentre pas dans les détails du logiciel car ce n'est pas l'objet du post mais bien de savoir si un logiciel comme Shopping Flux est bénéfique pour votre site Ecommerce. La réponse est oui. Je me souviens du site que je gérais il y a 3 ans déjà et qui prenait pour plus de 2 millions d'€uros de commandes par an, et bien Shopping Flux nous ramenait un max de C.A. Donc oui, si vous avez un Ecommerce et que vous souhaitez le développer, augmenter son C.A, passez par Shopping Flux ! Il est loin le temps ou Olivier LEVY faisait seulement du SEO… Place au chef d'internet dorénavant !

MAJ du 23-04-2015 :

PriceMinister testé en prod fonctionne parfaitement avec rapatriement des orders en BO, semaine prochaine j'aimerai tester Cdiscount puis Ebay afin de voir si Shopping Flux est vraiment aussi puissant comme constaté avec PriceMinister, mais pour l'instant, je trouve l'outil vraiment incroyable ! great !

Si vous aussi vous souhaitez tester comme moi cet outil et peut-être en parler sur votre blog Ecommerce comme moi, vous avez 1 mois gratuit, alors n'hésitez pas : Gestionnaire de flux

Si vous voulez me contacter pour en parler, je suis à votre disposition.

Je pense que tous les sites Ecommerce devraient utiliser un gestionnaire de flux digne de ce nom car aujourd'hui les marketplaces sont tellement exigeantes en matière de flux, de catégorisation et d'attributs, qu'il vaut mieux préférer un gestionnaire de flux à du développement spécifique.

Je m'explique si vous gérez vous même vos flux vous allez faire 1 développement spécifique par apporteur d'affaire, ce qui ne sert à rien, alors que si votre flux source est bien travaillé, il vous suffit de faire seulement 1 développement spécifique pour Shopping Flux afin de rapatrier les commandes en BO, au final vous y gagnez financièrement car vous ne faites qu'un seul développement, Shopping Flux fait le boulot pour votre soft.

Je pense très sincèrement que l'avenir du Ecommerce passera par les flux et notamment les marketplaces par conséquent il faut impérativement avoir un flux source ultra qualifié pour avoir de bons résultats sur ces canaux (je pense aux comparateurs de prix et aux marketplaces).

Aujourd'hui il ne suffit pas d'avoir un flux qui répertorie vos produits avec : url, url image, description courte… Il faut aller beaucoup plus loin avec du code qui personnalise au maximum le produit, ce qui permet davantage d'affichage sur les marketplaces comme sur les comparateur de prix, par delà, votre site Ecommerce fera plus de ventes c'est prouvé et incontestable.

Prenons un exemple, celui de mon ancienne boîte qui vendait des pieces moto sur internet, très bien seulement les pieces moto sont très difficiles à vendre sur internet, en effet une pièce moto peut aller sur plusieurs machines, du coup soit vous créez autant de références que d'applications soit vous vous débrouillez pour créer une référence qui sera "universelle" et ira à tous les véhicules via une sorte "d'attribution".

Faisons simple, dans la moto comme dans l'auto une paire de plaquettes de frein peut aller à l'avant comme à l'arrière et pour compliquer le truc vous pouvez avoir la même référence que l'on va appeler S1071 qui ira à l'avant droit d'une moto ou sur un autre modèle et une autre marque (ça complique le truc) à l'arrière. Wahou ! c'est quoi ce bordel ? Comment gérer cela déjà au niveau de BO ? Et ensuite les flux ? Et comment personnaliser le truc pour l'internaute afin de transformer davantage ?

Je ne répondrai pas à toutes ces questions car je souhaite parler seulement des flux. Donc pour cela déjà il vous faut une ligne de code qui reprend les applications dudit produit, comme par exemple cette référence S1071 qui porte pour titre "plaquettes de frein Avant", vous allez rajouter les applications dans le flux comme "Plaquettes de frein Avants pour – Application", ainsi votre produit sera beaucoup visible et donc le titre qui apparait sur les comparateurs et marketplaces permettra une meilleure visibilité, un CTR en hausse et aune augmentation des conversions. C'est mathématique ! Le Ecommerce c'est des statistiques et des maths, et uniquement cela.

Allez, au boulot les guys !

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Grâce à un site Ecommerce : l’exit-intent, l’abandon du panier n’est plus une fatalité

Vous avez toujours rêvé de convaincre les indécis, de diminuer votre taux d’abandon panier, de rentabiliser davantage chaque visite sur votre site ? Avec les outils d’exit-intent, vous avez peut-être trouvé le Graal pour votre business.

Le principe de la technologie

L’exit-intent est un outil qui permet d’afficher une pop-up à un internaute qui aurait l’intention de quitter votre site. La technologie repose sur un code javascript, et se sert également des navigateurs, pour détecter les mouvements de la souris, afin de réagir lorsque celle-ci quitte la zone de l’écran.

L’intérêt est de pouvoir réagir avant que le visiteur ne soit parti. L’intention d’abandon se caractérise par 3 cas de figure : le clic sur le bouton « précédent » du navigateur, la fermeture de la fenêtre en cours, ou le clic sur l’un des favoris du navigateur.

Ces 3 situations peuvent être anticipées. La technologie d’intention d’abandon repose précisément là-dessus : avant qu’il n’ait le temps de cliquer, l’outil déclenche l’apparition d’une pop-up dont le but est de retenir l’internaute.

Il est clair qu’un tel outil ne peut réellement fonctionner qu’en étant très rapide, sous faute de départ effectif de l’internaute. Nous parlons ici de quelques millisecondes qui pourraient nous faire rater le coche…

C’est pourquoi cette technologie a été affinée pour réagir le plus rapidement possible. Préchargé sur votre site, le script s’exécute au quart de tour lorsque la souris quitte la zone cible.

C’est donc sur un principe relativement simple que repose la technologie de l’exit-intent. La taille, le look et le contenu de la pop-up sont des éléments secondaires qui varient en fonction des stratégies utilisées. Car une fois l’outil en main, c’est en effet à vous de jouer pour tirer votre épingle du jeu. En fonction de votre habileté, les taux de conversions peuvent être améliorés de 1% à 10%.

Du simple coup de pouce au véritable coup de maître

Outil aux multiples facettes, l’exit-intent présente plusieurs avantages.

D’abord, un avantage évident : l’internaute étant déjà sur le site, pas de coût d’acquisition supplémentaire. Il s’agit en effet de rentabiliser au maximum chacune des visites, en repoussant sa fin tant que celle-ci n’a pas débouché sur une action souhaitée, c’est-à-dire, dans la plupart des cas, une conversion.

Le fait d’éviter jusqu’à 10% des abandons panier grâce à un simple message est séduisant. En effet, en donnant une seconde chance aux internautes qui n’ont pas fini leurs achats, l’outil augmente mécaniquement les taux de conversions, et par conséquent diminue le coût par visite. Ainsi, chaque campagne marketing sera considérée comme plus rentable, grâce à ce coup de pouce discret et à moindre frais.

Car tout l’intérêt réside dans le fait de miser sur une visite existante plutôt que de dépenser un budget marketing supplémentaire pour acquérir de nouveaux visiteurs, qui ne connaissent pas encore votre marque.

L’outil a un autre grand avantage : il s’installe à vitesse grand V. Une fois le code javascript inséré dans les pages cibles, la magie est prête à opérer.

Cette technologie est souvent associée à une plateforme permettant de gérer ses pop-ups. Souvent intuitive, elle donne aussi la possibilité de réaliser des tests A/B. Ce qui permet, au lieu de passer des heures en réunion, de comparer directement les différents messages et de relever celui qui est le plus percutant, chiffres à l’appui.

Faut-il envoyer un message sensuel ou drôle pour votre nouveau produit ? Pour en avoir le cœur net, il suffit de lancer 2 pop-ups distinctes, réparties équitablement sur votre trafic, sur une durée suffisante pour vous persuader de la véracité du résultat. Ainsi, vous pouvez aussi économiser les frais d’une société d’A/B testing, puisque ces pop-ups se chargent de tester vos argumentaires, au moment le plus stratégique. Ça passe, ou ça casse…

Un outil, des milliers de stratégies

Alors comment un site ecommerce ou un blog peuvent-il se servir au mieux de cette technologie, et faire en sorte que leurs visiteurs restent un peu plus longtemps sur leurs sites, pour finalement convertir ?

D’abord, cet outil offre une excellente opportunité de répéter son argumentaire, une répétition qui suffit parfois à convaincre ceux qui hésitent. L’argument de vente peut donc être redit, ou renforcé, afin d’atteindre son objectif.

Mais il peut s’avérer judicieux de choisir un autre type de message. Car il y a fort à parier que si l’internaute veut partir, c’est qu’il n’a justement pas été convaincu par les arguments qu’il a vu jusqu’à présent. Alors, c’est l’occasion de lui dire, que certes, votre produit est le meilleur du marché, mais c’est aussi le moins cher. Voici une série d’exemples, illustrés à partir de mQment.

Une utilisation qui a fait ses preuves est la mise en avant d’une offre spéciale. En effet, le prix reste l’un des critères d’abandon du panier les plus évidents. Dans ce cas, une promotion ou un code de réduction est probablement ce qui faut pour finaliser la vente.

<image gif abandon panier>

Une autre piste de réflexion pour les e-commerçants réside dans le fait que, si le visiteur souhaite partir, c’est peut-être parce qu’il n’a pas trouvé ce qu’il voulait. Et pourtant, le produit de ses rêves se trouve peut-être bien dans l’inventaire du site, mais bien caché dans son arborescence. L’idéal est donc de lui suggérer, à ce moment précis, un produit différent que celui mis au panier, mais plus en phase avec ses attentes.

Pour les blogueurs ou les sites medias, l’outil peut de la même manière valoriser les poursuites de visites, sous la forme « Vous avez lu cet article ? Eh bien, cet article-ci pourrait bien vous plaire. » Sur l’idée de produits connexes, une mise en avant bien sentie aura l’effet d’augmenter les pages vues.

Enfin, l’une des techniques les plus prisées est la récupération d’adresse email. Nous savons bien que les campagnes d’email marketing sont dans bien des cas très rentables. Elles apportent des visites de qualité à moindre frais, et convertissent généralement légèrement mieux que les autres sources. Alors pourquoi ne pas profiter de cette opportunité pour récupérer des adresses emails ? L’internaute est en effet dans une situation où psychologiquement, il est déjà impliqué dans votre marque (après tout, il s’est rendu sur votre site), mais ne veut plus aller plus loin (pour le moment). Alors plutôt que de le submerger avec des offres à gogo, une approche plus subtile consiste à lui demander simplement son adresse email, pour « rester en contact », et pouvoir en faire un client sur le long terme.

Cependant, un bémol : des études sur les techniques d’exit-intent ont montré qu’il vaut mieux ne pas être trop gourmand, et choisir un objectif principal : la collecte d’emails, ou la vente. Le fait de proposer les deux serait légèrement contre-productif. Car il faut garder à l’esprit qu’au moment de partir, l’internaute est déjà probablement saturé, et ne veut pas être trop sollicité.

La simplicité du message est donc de mise pour un maximum d’efficacité.

L’outil répond donc à une variété de besoins que tout gestionnaire de site ecommerce ou de blog rencontre un jour ou l’autre, s’il se pose un minimum de questions. Alors, quelle que soit la technique utilisée, à vous de trouver le bon dosage pour atteindre vos objectifs.

L’auteur : Samuel Roy

CEO et co-fondateur de mQment.com, il parle régulièrement de webmarketing et des usages de son service sur son blog ecommerce

CatégorieE-commerce

1855.com est en liquidation judiciaire son patron condamné à 150 000€ d’amende

J'en parlais ici le site Ecommerce 1855.com a été placé en liquidation judiciaire suite à de nombreuses plaintes de clients non livrés et qui n'avaient pas été remboursés. Certains affirment qu'il s'agissait d'une "pyramide de ponzi" ou encore d'une "escroquerie à la Madoff", des mots très durs envers ce site internet qui restais de part son activité dans la légalité la plus totale.

Là où il y a eu un vrai soucis c'est sur les chiffres, car son patron, vient d'être condamné à 150 000€ d'amende par l'autorité des marchés financiers (source: Capital Avril 2015). Un énorme revers pour ce patron de 40 ans qui comme tout le monde le sait en cas de liquidation n'a pas le droit à l'assurance chômage.

Comment rebondir pour lui après cela ? Plus de revenu et une énorme amende à payer.

C'est dommage surtout très triste pour les 50 collaborateurs que comptait la société.

Le site internet n'est d'ailleurs plus en ligne ce qui laisse peu de chance à des repreneurs éventuels pour se positionner sur le dossier 1855.com

1855.com est en liquidation judiciaire son patron condamné à 150 000€ d'amende
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