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Le retargeting a encore de grosses lacunes pour un site Ecommerce

Pour ceux qui me suivent sur Twitter, vu avez peut être lu que je me sépara et donc que je déménageais, cela avec les rachats que ça peut incomber. Rachat de meubles ou d’électroménager et j’en passe, j’ai comme tout expert du Ecommerce, fais mes emplettes sur internet. Je recherchais un frigo alors je me suis tapé les différents sites Ecommerce qui proposent de l’électroménager : Cdiscount en tête car chez eux ils proposent non seulement des prix bas mais également le paiement en X fois par CB, un bon plan quoi.

J’ai commandé mon frigo et je l’ai réceptionné une semaine plus tard, top !

Pour ceux qui ne connaissent pas le retargeting, il s’agit de déposer un cookie sur l’ordinateur d’un internaute qui a visité un site Ecommerce et visionné un ou plusieurs produits sur le site en question, puis ensuite une fois que l’internaute a quitté le site (sensé ne pas avoir acheté), on lui fait visualiser des bannières ciblées avec les produits qu’il a consulté sur des sites pour la plupart éditoriaux qui diffusent des contenus publicitaires avec notamment Critéo le leader mondial du retargeting.

Aujourd’hui, par hasard, je recherche un bureau ancien sur Leboncoin.fr le site de petites annonces bien connu des internautes, d’ailleurs pour l’instant, je sèche car je recherche un bureau ancien genre 18ème/19ème siècle, au pire début 20ème. Au fur et à mesure de mes recherches sur Leboncoin, une bannière apparaît sur la gauche du site :

Vue d'une bannière Cdiscount sur Leboncoin

Vue d’une bannière Cdiscount sur Leboncoin

Il s’agit d’une bannière Cdiscount qui me propose des frigos. Quoi ? Comment est-ce possible ? J’ai déjà acheté mon frigo, pourquoi donc m’en proposer d’autres ? En plus je l’ai acheté sur Cdiscount, et réceptionné depuis une semaine, un comble !

Le retargeting, c’est un excellent levier en Ecommerce mais là clairement il montre ces limites. A la limite l’on m’aurait présenter une bannière du site Crésus sur lequel j’ai consulté une BRM ces derniers jours, j’aurais compris, mais là me présenter une bannière avec un produit déjà acheté est juste non pertinent.

J’avais déjà remarqué cela lorsque je dirigeais mon groupe en Ecommerce, mais je pensais que cela c’était amélioré depuis (3ans déjà).

En gros, vous avez un site Ecommerce et vous faites du retargeting, et bien vous avez le risque de payer pour des clics sur des bannières contenant des articles déjà vendus a l’internaute qui les visualise et qui au final ne vous rapportera aucune vente.

Quel intérêt aurais-je à acheter un nouveau frigo alors que je viens de le faire ? La réponse est claire, aucun.

Le retargeting a donc de GROSSES lacunes sur le parcours client, il faudrait tagger tout le parcours client et ne pas proposer des bannières avec des produits déjà vendus mais justement des produits qui ont été visualisé ou mit au panier mais sans acte d’achat. Je ne comprends pas qu’en 2015 l’on puisse encore voir ce genre de chose, c’est tellement évident sur le fond et sur la forme.

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Ouvrir un compte Instagram est-il utile en Ecommerce ?

Aujourd’hui j’ai ouvert un compte sur Instagram le réseau social à la mode en ce moment.

Je ne connais pas trop Instagram, j’ai déjà vu des photos postées sur Twitter via Instagram. Je me pose la question suivante : Instagram peut-il influer en Ecommerce ? Une société qui travaille dans le Ecommerce peut-elle trouver un intérêt à publier des photos de ces produits sur Instagram ?

Aussi, je vais déjà tester Instagram à titre perso afin de voir (voir ici), d’une part comment cela fonctionne et d’autre part et surtout de voir comment l’utiliser dans le domaine du Ecommerce. Je pense sincèrement qu’en fédérant une communauté, l’on peut aisément communiquer sur ces produits et sur une offre commerciale, notamment en publiant sur Instagram une impression d’une newsletter par exemple.

Je ne sais pas trop à quoi m’attendre à titre perso, je n’ai publié que 66 photos ou vidéos à ce jour sur Twitter, mais je vois des personnes comme JoeyStarr qui postent quasiment sur Twitter uniquement avec Instagram.

Evidemment je ne peux pas me comparer avec un profil comme celui-là qui est une personnalité contrairement à moi, mais j’ai j’ai hâte de voir ce que cela va donner, donc je vais essayer de poster des photos avec Instagram presque tous les jours afin de tester en réel les retombées.

J’ai donc commencé par intégrer tout mon répertoire téléphonique en abonnés sur Instagram, au final sur mon répertoire de plus de 800 contacts, seuls un peu plus de 170 sont sur Instagram, ce qui reste un beau pourcentage tout de même. J’en suis surpris d’autant plus que certains ne sont pas des personnes « publiques ».

L’inscription est simple sur Instagram, un Email, un mot de passe et c’est tout. L’application sur Iphone est simple d’utilisation et est plutôt bien noté par les utilisateurs (Iphone, source AppStore).

J’imagine déjà transposer l’utilisation en Ecommerce :

– Présenter un nouveau produit

– Newsletter (voir plus haut)

– Promotions (slides à mettre en impression d’écran)

– Opérations en facial ( genre -15% sur TOUT le site)

– Transparence (publier des photos de l’envers du décor)

Pour le dernier point, les gens aiment cela, voir le back d’un site Ecommerce, ce qui se passe derrière l’écran et même dans de nombreux domaines. Cet après midi avec 2 amis que j’avais invité aux 24 heures du Mans, moi-même invité par un team en mode VIP avec accès à tout, je dis bien à tout, et bien leur feedback aujourd’hui c’est qu’ils ont kiffés de vivre une course non pas dans le public mais depuis les paddocks. Donc oui je pense objectivement que publier des photos montrant la préparation d’un colis en Ecommerce ou encore le service client peut aider un site Ecommerce dans la construction de sa notoriété et générer du C.A. Après j’attends de voir comment réagit Google aux publications d’Instagram.

Bon, voici mon compte Instagram pour finir, devenez abonné !

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Zoom sur Shopping Flux pour votre Ecommerce MAJ au 23-04

Je le dis, je le redis depuis des mois voir des années, l'avenir du Ecommerce sera les flux. Comparateurs de prix, marketplaces, retargeting… Tout ces supports nécessitent des flux de qualité. Pour cela il vous faut un prestataire de qualité, un prestataire avec un vrai support client et une expertise forte. La vision de votre gestionnaire de flux doit être d'innover sans discontinuer.

L'on retrouve cela chez Shopping Flux, une boîte, un logiciel, fondés par Olivier LEVY qui est également le créateur de Blog Ecommerce une webagency reconnue notamment pour son savoir-faire en SEO spécialisée en Ecommerce. D'ailleurs cette boîte a longtemps exploitée le site Platine Center qui vend des accessoires pour DJ. Quoi de mieux qu'une agence web qui connaît au quotidien vos problématiques en matière de Ecommerce ?

L'objectif de ce post n'est pas de vous faire signer dès demain chez Shopping Flux mais de vous faire découvrir l'outil qui est vraiment puissant et très intuitif. Vous saurez prendre la bonne décision par la suite j'en suis sûr.

Shopping Flux

Shopping Flux

Bon le seul et unique problème que l'on peut rencontrer avec Shopping Flux c'est la taille du flux, dès qu'il atteint une taille importante (175 000 produits par exemple) ça rame, il n'y a rien de plus exaspérant. A part cela tout est fluide, simple et intuitif. Le tarif est correct car il faut bien parler de cela également !

Voici l'interface ou du moins le menu, je ne peux pas tout montrer non plus !

Zoom sur Shopping Flux pour votre Ecommerce MAJ au 23-04

Ce qui est chiant au final c'est surtout les exigences des marketplaces, catégorisation, attributs… Rakuten (PriceMinister entre autre) est vraiment exigeant en matière de flux tout comme Cdiscount et c'est pénible à gérer, nous ce que l'on veut c'est diffuser nos produits rapidement c'est tout !

Le gros avantage chez Shopping Flux c'est le SERVICE, je vous l'écris en majuscule car il est au coeur du truc. Une question, un problème et vous avez de suite un/une interlocuteur(trice) par mail ou téléphone pour vous aider. Leur taille humaine, fait qu'ils restent humains et ne dé-humanisent pas le contact client. Un point essentiel !

Zoom sur Shopping Flux pour votre Ecommerce MAJ au 23-04

Ci-dessus un exemple de l'interface Shopping Flux sur les marketplaces. La différence entre le nombre de produits est liée au simple fait que certaines erreurs ont été relevées par le logiciel Shopping Flux. A corriger de notre côté.

Pour ce qui est des comparateurs de prix, c'est simple, vous cliquez sur le comparateur en question et vous le gérez de A à Z, c'est à dire que vous pouvez mettre en place des règles pour virer automatiquement des produits cliqués mais pas achetés.

Zoom sur Shopping Flux pour votre Ecommerce MAJ au 23-04

Alors oui dans ce post, je ne rentre pas dans les détails du logiciel car ce n'est pas l'objet du post mais bien de savoir si un logiciel comme Shopping Flux est bénéfique pour votre site Ecommerce. La réponse est oui. Je me souviens du site que je gérais il y a 3 ans déjà et qui prenait pour plus de 2 millions d'€uros de commandes par an, et bien Shopping Flux nous ramenait un max de C.A. Donc oui, si vous avez un Ecommerce et que vous souhaitez le développer, augmenter son C.A, passez par Shopping Flux ! Il est loin le temps ou Olivier LEVY faisait seulement du SEO… Place au chef d'internet dorénavant !

MAJ du 23-04-2015 :

PriceMinister testé en prod fonctionne parfaitement avec rapatriement des orders en BO, semaine prochaine j'aimerai tester Cdiscount puis Ebay afin de voir si Shopping Flux est vraiment aussi puissant comme constaté avec PriceMinister, mais pour l'instant, je trouve l'outil vraiment incroyable ! great !

Si vous aussi vous souhaitez tester comme moi cet outil et peut-être en parler sur votre blog Ecommerce comme moi, vous avez 1 mois gratuit, alors n'hésitez pas : Gestionnaire de flux

Si vous voulez me contacter pour en parler, je suis à votre disposition.

Je pense que tous les sites Ecommerce devraient utiliser un gestionnaire de flux digne de ce nom car aujourd'hui les marketplaces sont tellement exigeantes en matière de flux, de catégorisation et d'attributs, qu'il vaut mieux préférer un gestionnaire de flux à du développement spécifique.

Je m'explique si vous gérez vous même vos flux vous allez faire 1 développement spécifique par apporteur d'affaire, ce qui ne sert à rien, alors que si votre flux source est bien travaillé, il vous suffit de faire seulement 1 développement spécifique pour Shopping Flux afin de rapatrier les commandes en BO, au final vous y gagnez financièrement car vous ne faites qu'un seul développement, Shopping Flux fait le boulot pour votre soft.

Je pense très sincèrement que l'avenir du Ecommerce passera par les flux et notamment les marketplaces par conséquent il faut impérativement avoir un flux source ultra qualifié pour avoir de bons résultats sur ces canaux (je pense aux comparateurs de prix et aux marketplaces).

Aujourd'hui il ne suffit pas d'avoir un flux qui répertorie vos produits avec : url, url image, description courte… Il faut aller beaucoup plus loin avec du code qui personnalise au maximum le produit, ce qui permet davantage d'affichage sur les marketplaces comme sur les comparateur de prix, par delà, votre site Ecommerce fera plus de ventes c'est prouvé et incontestable.

Prenons un exemple, celui de mon ancienne boîte qui vendait des pieces moto sur internet, très bien seulement les pieces moto sont très difficiles à vendre sur internet, en effet une pièce moto peut aller sur plusieurs machines, du coup soit vous créez autant de références que d'applications soit vous vous débrouillez pour créer une référence qui sera "universelle" et ira à tous les véhicules via une sorte "d'attribution".

Faisons simple, dans la moto comme dans l'auto une paire de plaquettes de frein peut aller à l'avant comme à l'arrière et pour compliquer le truc vous pouvez avoir la même référence que l'on va appeler S1071 qui ira à l'avant droit d'une moto ou sur un autre modèle et une autre marque (ça complique le truc) à l'arrière. Wahou ! c'est quoi ce bordel ? Comment gérer cela déjà au niveau de BO ? Et ensuite les flux ? Et comment personnaliser le truc pour l'internaute afin de transformer davantage ?

Je ne répondrai pas à toutes ces questions car je souhaite parler seulement des flux. Donc pour cela déjà il vous faut une ligne de code qui reprend les applications dudit produit, comme par exemple cette référence S1071 qui porte pour titre "plaquettes de frein Avant", vous allez rajouter les applications dans le flux comme "Plaquettes de frein Avants pour – Application", ainsi votre produit sera beaucoup visible et donc le titre qui apparait sur les comparateurs et marketplaces permettra une meilleure visibilité, un CTR en hausse et aune augmentation des conversions. C'est mathématique ! Le Ecommerce c'est des statistiques et des maths, et uniquement cela.

Allez, au boulot les guys !

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Grâce à un site Ecommerce : l’exit-intent, l’abandon du panier n’est plus une fatalité

Vous avez toujours rêvé de convaincre les indécis, de diminuer votre taux d’abandon panier, de rentabiliser davantage chaque visite sur votre site ? Avec les outils d’exit-intent, vous avez peut-être trouvé le Graal pour votre business.

Le principe de la technologie

L’exit-intent est un outil qui permet d’afficher une pop-up à un internaute qui aurait l’intention de quitter votre site. La technologie repose sur un code javascript, et se sert également des navigateurs, pour détecter les mouvements de la souris, afin de réagir lorsque celle-ci quitte la zone de l’écran.

L’intérêt est de pouvoir réagir avant que le visiteur ne soit parti. L’intention d’abandon se caractérise par 3 cas de figure : le clic sur le bouton « précédent » du navigateur, la fermeture de la fenêtre en cours, ou le clic sur l’un des favoris du navigateur.

Ces 3 situations peuvent être anticipées. La technologie d’intention d’abandon repose précisément là-dessus : avant qu’il n’ait le temps de cliquer, l’outil déclenche l’apparition d’une pop-up dont le but est de retenir l’internaute.

Il est clair qu’un tel outil ne peut réellement fonctionner qu’en étant très rapide, sous faute de départ effectif de l’internaute. Nous parlons ici de quelques millisecondes qui pourraient nous faire rater le coche…

C’est pourquoi cette technologie a été affinée pour réagir le plus rapidement possible. Préchargé sur votre site, le script s’exécute au quart de tour lorsque la souris quitte la zone cible.

C’est donc sur un principe relativement simple que repose la technologie de l’exit-intent. La taille, le look et le contenu de la pop-up sont des éléments secondaires qui varient en fonction des stratégies utilisées. Car une fois l’outil en main, c’est en effet à vous de jouer pour tirer votre épingle du jeu. En fonction de votre habileté, les taux de conversions peuvent être améliorés de 1% à 10%.

Du simple coup de pouce au véritable coup de maître

Outil aux multiples facettes, l’exit-intent présente plusieurs avantages.

D’abord, un avantage évident : l’internaute étant déjà sur le site, pas de coût d’acquisition supplémentaire. Il s’agit en effet de rentabiliser au maximum chacune des visites, en repoussant sa fin tant que celle-ci n’a pas débouché sur une action souhaitée, c’est-à-dire, dans la plupart des cas, une conversion.

Le fait d’éviter jusqu’à 10% des abandons panier grâce à un simple message est séduisant. En effet, en donnant une seconde chance aux internautes qui n’ont pas fini leurs achats, l’outil augmente mécaniquement les taux de conversions, et par conséquent diminue le coût par visite. Ainsi, chaque campagne marketing sera considérée comme plus rentable, grâce à ce coup de pouce discret et à moindre frais.

Car tout l’intérêt réside dans le fait de miser sur une visite existante plutôt que de dépenser un budget marketing supplémentaire pour acquérir de nouveaux visiteurs, qui ne connaissent pas encore votre marque.

L’outil a un autre grand avantage : il s’installe à vitesse grand V. Une fois le code javascript inséré dans les pages cibles, la magie est prête à opérer.

Cette technologie est souvent associée à une plateforme permettant de gérer ses pop-ups. Souvent intuitive, elle donne aussi la possibilité de réaliser des tests A/B. Ce qui permet, au lieu de passer des heures en réunion, de comparer directement les différents messages et de relever celui qui est le plus percutant, chiffres à l’appui.

Faut-il envoyer un message sensuel ou drôle pour votre nouveau produit ? Pour en avoir le cœur net, il suffit de lancer 2 pop-ups distinctes, réparties équitablement sur votre trafic, sur une durée suffisante pour vous persuader de la véracité du résultat. Ainsi, vous pouvez aussi économiser les frais d’une société d’A/B testing, puisque ces pop-ups se chargent de tester vos argumentaires, au moment le plus stratégique. Ça passe, ou ça casse…

Un outil, des milliers de stratégies

Alors comment un site ecommerce ou un blog peuvent-il se servir au mieux de cette technologie, et faire en sorte que leurs visiteurs restent un peu plus longtemps sur leurs sites, pour finalement convertir ?

D’abord, cet outil offre une excellente opportunité de répéter son argumentaire, une répétition qui suffit parfois à convaincre ceux qui hésitent. L’argument de vente peut donc être redit, ou renforcé, afin d’atteindre son objectif.

Mais il peut s’avérer judicieux de choisir un autre type de message. Car il y a fort à parier que si l’internaute veut partir, c’est qu’il n’a justement pas été convaincu par les arguments qu’il a vu jusqu’à présent. Alors, c’est l’occasion de lui dire, que certes, votre produit est le meilleur du marché, mais c’est aussi le moins cher. Voici une série d’exemples, illustrés à partir de mQment.

Une utilisation qui a fait ses preuves est la mise en avant d’une offre spéciale. En effet, le prix reste l’un des critères d’abandon du panier les plus évidents. Dans ce cas, une promotion ou un code de réduction est probablement ce qui faut pour finaliser la vente.

<image gif abandon panier>

Une autre piste de réflexion pour les e-commerçants réside dans le fait que, si le visiteur souhaite partir, c’est peut-être parce qu’il n’a pas trouvé ce qu’il voulait. Et pourtant, le produit de ses rêves se trouve peut-être bien dans l’inventaire du site, mais bien caché dans son arborescence. L’idéal est donc de lui suggérer, à ce moment précis, un produit différent que celui mis au panier, mais plus en phase avec ses attentes.

Pour les blogueurs ou les sites medias, l’outil peut de la même manière valoriser les poursuites de visites, sous la forme « Vous avez lu cet article ? Eh bien, cet article-ci pourrait bien vous plaire. » Sur l’idée de produits connexes, une mise en avant bien sentie aura l’effet d’augmenter les pages vues.

Enfin, l’une des techniques les plus prisées est la récupération d’adresse email. Nous savons bien que les campagnes d’email marketing sont dans bien des cas très rentables. Elles apportent des visites de qualité à moindre frais, et convertissent généralement légèrement mieux que les autres sources. Alors pourquoi ne pas profiter de cette opportunité pour récupérer des adresses emails ? L’internaute est en effet dans une situation où psychologiquement, il est déjà impliqué dans votre marque (après tout, il s’est rendu sur votre site), mais ne veut plus aller plus loin (pour le moment). Alors plutôt que de le submerger avec des offres à gogo, une approche plus subtile consiste à lui demander simplement son adresse email, pour « rester en contact », et pouvoir en faire un client sur le long terme.

Cependant, un bémol : des études sur les techniques d’exit-intent ont montré qu’il vaut mieux ne pas être trop gourmand, et choisir un objectif principal : la collecte d’emails, ou la vente. Le fait de proposer les deux serait légèrement contre-productif. Car il faut garder à l’esprit qu’au moment de partir, l’internaute est déjà probablement saturé, et ne veut pas être trop sollicité.

La simplicité du message est donc de mise pour un maximum d’efficacité.

L’outil répond donc à une variété de besoins que tout gestionnaire de site ecommerce ou de blog rencontre un jour ou l’autre, s’il se pose un minimum de questions. Alors, quelle que soit la technique utilisée, à vous de trouver le bon dosage pour atteindre vos objectifs.

L’auteur : Samuel Roy

CEO et co-fondateur de mQment.com, il parle régulièrement de webmarketing et des usages de son service sur son blog ecommerce

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1855.com est en liquidation judiciaire son patron condamné à 150 000€ d’amende

J'en parlais ici le site Ecommerce 1855.com a été placé en liquidation judiciaire suite à de nombreuses plaintes de clients non livrés et qui n'avaient pas été remboursés. Certains affirment qu'il s'agissait d'une "pyramide de ponzi" ou encore d'une "escroquerie à la Madoff", des mots très durs envers ce site internet qui restais de part son activité dans la légalité la plus totale.

Là où il y a eu un vrai soucis c'est sur les chiffres, car son patron, vient d'être condamné à 150 000€ d'amende par l'autorité des marchés financiers (source: Capital Avril 2015). Un énorme revers pour ce patron de 40 ans qui comme tout le monde le sait en cas de liquidation n'a pas le droit à l'assurance chômage.

Comment rebondir pour lui après cela ? Plus de revenu et une énorme amende à payer.

C'est dommage surtout très triste pour les 50 collaborateurs que comptait la société.

Le site internet n'est d'ailleurs plus en ligne ce qui laisse peu de chance à des repreneurs éventuels pour se positionner sur le dossier 1855.com

1855.com est en liquidation judiciaire son patron condamné à 150 000€ d'amende
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Joomladay 2015, un évènement à ne pas manquer dans le Ecommerce

Cette année le Joomladay se passe à Nice sur la côte d'azur les 9 et 10 Mai 2015, l'occasion d'échanger autour de ce logiciel et pour les responsables de sites Ecommerce de discuter de Virtuemart.

Une grande soirée est organisée le samedi soir pour que les utilisateurs de Joomla puissent échanger plus facilement ensemble. Le programme sera autant adapté aux débutants qu'aux utilisateurs avancés.

Joomladay 2015

Joomladay 2015

Alors foncez prendre vos places ici !

Pour ceux qui ne connaissent pas Joomla ou souhaitent tout simplement approfondir leurs connaissances, voici un bouquin consacré au sujet à acheter ici.

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Nouvelle pub Speedy… Avec un esprit décalé

J’adore les pubs qui ont un esprit un peu décalé, les pubs pour Sixt en sont un parfait exemple, souvenez-vous également de la pub pour 118 218 avant l’ouverture du marché des renseignements téléphoniques. Chacun se demandait ce que c’était que cette pub qui n’avait rien à vendre. C’est ça le marketing !

J’ai jeté mon dévolu sur la dernière pub Speedy que je trouve plutôt sympa.

Vidéo supprimée.

C’est clair que l’on ne va pas chez eux pour le café !

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Newsletter Ecommerce comment la tester efficacement afin d’améliorer sa délivrabilité ?

Un site Ecommerce qui ne fait pas de newsletter ce n'est pas un site Ecommerce !

En moyenne il est conseillé de router une newsletter 2 fois par semaine, 1 fois en début de semaine et l'autre le Vendredi pour le Week-End. Une opération sur des produits ou des familles de produits est plutôt recommandée pour la newsletter du début de la semaine et une opération de promotion sur l'ensemble du site pour le Week-End, il est même chaudement recommandé de faire un dernier rappel le Dimanche matin concernant l'opération du Week-End.

Seulement voilà, avec le temps les FAI ont durcis les conditions pour atterrir en boîte de réception et non en Spam à l'instar de Gmail qui propose par défaut ces fameux onglets : Promotions, réseaux sociaux… qui nuisent à la lecture de vos newsletters.

Dieu sait (ou pas ! S'il n'a pas internet là haut! 😉 que les newsletters amènent la rentabilité pour un site Ecommerce. Vous achetez un client, un lead avec Google Adwords, avec un concours, ou encore avec les comparateurs de prix, l'affiliation, tout cela a un coût, pour monétiser l'achat de ces clients, il convient de router une newsletter sur cette nouvelle base d'abonnés afin de rentabiliser votre base de données et vos achats marketing.

Un client qui vous a coûté 10€ à l'achat, verra son coût divisé par deux s'il recommande ensuite avec la newsletter, donc les newsletters sont essentielles pour rentabiliser vos investissements marketing.

Seulement, il ne faut pas router à la légère et avec n'importe quel logiciel de routage. Les boîtes comme Emailvision sont clairement là pour vous vendre de l'emailing au prix fort, certes, ils font très bien leur travail, mais pour les avoir utilisés pendant plusieurs années dans la boîte que j'avais créée il y a 8 ans, je m'étais rendu compte que c'était tout de même cher payé pour ce que cela était.

C'est ainsi que nous avions développé un module qui nous permettait de router en respectant les règles des FAI afin de ne pas arriver en Spam, même sur Gmail.

Au delà de cela, je vous ai trouvé un site qui vous permet de tester GRATUITEMENT et en amont la qualité de votre newsletter et donc par delà sa délivrabilité en boîte mail et non en Spam.

Alors Emailvision propose cela depuis des années mais c'est payant, là c'est gratuit.

Donc pour résumer, vous prenez un serveur dédié chez OVH à 5€HT/mois pour le routage, vous greenlisté l'adresse IP du serveur en question auprès des FAI, vous routez avec un nom de domaine neutre (différent du vôtre) et vous tester en amont votre newsletter, et là vous arrivez à arriver en boîte de réception. (Pour les règles des FAI notre module permet de router XX mails/ heures) ce qui permet de ne pas être considéré comme spammer.

Alors pour mon bon plan, voici : https://www.mail-tester.com/

Newsletter Ecommerce comment la tester efficacement afin d'améliorer sa délivrabilité ?

Ajoutez simplement l'adresse Email générée par Mail Tester à votre liste d'adresses de test et routez en test. Vous aurez aussitôt accès aux statistiques de votre Newsletter avec une notation sur 10. C'est simple et rapide et cela vous évitera de tomber en Spam.

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Ecommerce : l’affiliation, tout ce qu’il faut savoir…

Un levier marketing important en Ecommerce c'est l'affiliation, une régie que je plébiscite depuis longtemps c'est NetAffilation. D'une part ils sont les seuls à vous permettre de faire du VRAI retargeting avec Critéo au CPA, d'autre part NetAffilation c'est la plus grosse régie d'Europe en matière d'affiliation.

Alors pour ceux qui ne savent pas ce qu'est l'affiliation, c'est très simple et cela fonctionne majoritairement au CPA ( 1vente = 1 commission ). Il faut également comprendre la notion d'annonceur (site Ecommerce) et celle de diffuseur ( Blog, sites de contenus éditoriaux….).

Bref afin d'avoir du trafic sur votre site Ecommerce et des ventes, il convient de passer par une agence d'affiliation digne de ce nom.

Cela vous amènera mathématiquement des ventes, des abonnés et donc du business. Reste à choisir la bonne et à opter pour les bons leviers qu'ils proposent.

Ecommerce : l'affiliation, tout ce qu'il faut savoir...

Ces leviers sont les suivants :

– Comparateurs de prix à la performance
– Site éditoriaux ou blog à fort contenus
– Codes de réduction ( voir Radins.com)
– Backlinks sponsorisés (Attention au SEO)
– Emailing sur les bases des diffuseurs
– Affichage de bannières sur des milliers de sites en rapport avec votre secteur d'activité
– Retargeting ( Avec Critéo, notamment au CPA chez NetAffiliation)

Tout cela pour dire que l'affiliation est indispensable pour développer votre Ecommerce et son C.A.

Au départ, il vous appartient de fixer un pourcentage de commission reversé aux diffuseurs pour chaque vente effectuée. Sur le marché, en général c'est entre 2 et 25% du montant de la vente en fonction du diffuseur, de sa qualité et de VOTRE secteur d'activité (marge).

Ensuite il convient d'animer votre réseau de diffuseurs avec des commissions variables en fonction du C.A qu'il vous rapporte et d'apporter des offres promotionnelles en corrélation avec la demande des consommateurs.

Enfin en Ecommerce, notamment sur le marché des pieces moto, il convient de choisir attentivement votre régie d'affiliation.

Bonne soirée @ vous !

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Zoom sur Shopzilla – Comparateur de prix – Site Ecommerce



Zoom sur Shopzilla - Comparateur de prix - Site Ecommerce

Non les mecs arrêtez deux minutes chez Shopzilla de boire ou de fumer. Vous demandez une enchère minimum de 0,55€/clic, c'est une blague ? Certainement une plaisanterie ? Ah Non c'est sérieux ? Là où le CPC est de 0,15€/clic sur la majorité des comparateurs de prix.

Décidément il existe des comparateurs de prix qui ne sont PAS su tout en phase avec la réalité du marché des comparateurs de prix et du secteur d'activité.

Shopzilla est déphasé, en dehors des clous par rapport à la réalité du marché. Nous refusons catégoriquement de bosser avec eux.

C'est pas sérieux, et le support est juste déplorable, pas pro, ils rappellent pas et leur interface est juste à vomir avec des bugs dans tous les sens, suivez mon conseil : FUYEZ !

A bon entendeur ! 

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