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[GRAPHISME] 5 bibliothèques d’images GRATUITES
PIXABAY
Avec près de 2 Millions d’images gratuites ou libres de droit, Pixabay est en plus disponible en langue française.
Dès que l’on gère une activité professionnelle sur internet, l’on est amené à utiliser des images. Ne serait-ce que pour illustrer le site internet de votre entreprise.
Bien entendu les plateformes d’images, les banques d’images et les bibliothèques de photos sont très nombreuses sur le marché avec une mutualisation de certaines bases de données. Si la plupart sont payantes, il existe certaines banques d’images gratuites, vous en trouverez 5 ci-dessous :
FREEPIK
C’est presque 9 Millions d’images disponibles dans cette bibliothèque ! Le contenu de Freepik est majoritairement gratuit mais pas en totalité, vous pouvez choisir un forfait premium pour avoir l’ensemble de la banque d’images.
PICJUMBO
Le principe reste identique à la plateforme précédente avec plus de 4,5 millions d’images, principalement gratuites, mais pour accéder à la totalité de la banque d’images, il conviendra de prendre un abonnement premium auprès de Picjumbo.
LIBRESHOT
Un peu de publicité sur cette plateforme de téléchargement d’images, mais la gratuité à toujours un prix ;-).
Le contenu de Libreshot est tout de même limité.
LIBRESTOCK
C’est gratuit et ce n’est pas toujours satisfaisant… Peu de résultats sérieux avec cette plateforme.
Et vous quelle banque d’images utilisez-vous ?
[ECOMMERCE et RGPD] Spartoo condamné à 250 000€ d’amende par la CNIL avec astreinte journalière
Le Ecommerçant Grenoblois Spartoo déjà en proie à certaines difficultés avec le chausseur André et ses 600 salariés, vient d’être condamné par la CNIL à 250 000 euros d’amende pour différents manquements relevés par leurs services, relatifs au RGPD et à la conservation des données clients :
– Enregistrement intégral et permanent des conversations téléphoniques ;
– Enregistrement et conservation des coordonnées bancaires des clients sans leur consentement ;
– Collecte illégale de la copie de la carte « santé » des clients Italiens ;
– Aucune date de fin de conservation des données ;
-« L’information fournie dans la politique de confidentialité des données du site web n’est pas conforme.«
[…]
L’amende est assortie d’une astreinte de 250€ par jour de retard.
Spartoo a réagit sur Twitter :
[ECOMMERCE] Quels changements en matière de consommation depuis le déconfinement ?
D’après l’étude Yougov, 62% des individus interrogés déclarent que la crise sanitaire a entrainé une véritable réflexion sur leurs habitudes de consommation.
La fermeture des cafés, des hôtels, des restaurants, de nombreux commerces et les limites à leur mobilité ont transformé les modes d’achat des consommateurs pendant le confinement. Si les hypermarchés ont globalement été moins « gagnants » que les commerces de proximité et les circuits courts, ce sont les ventes en ligne qui ont connu la plus forte croissance atteignant +10% de part de marché pour l’alimentaire, notamment grâce aux drives.
Qu’en est-il depuis le déconfinement ? Décryptage !
Qui sont les « grands gagnants » de la crise sanitaire ?
Nous avons entendu parler ou l’avons nous-même vécu pendant le confinement : les délais d’attente pour les drives ou les livraisons à domicile pouvaient être particulièrement longs et dépasser largement ceux sur lesquels s’engagent les enseignes habituellement. L'Italie se distinguait d'ailleurs en la matière avec des délais totalement lunaires : 1 mois entre la commande sur le site internet de l'enseigne et la livraison des produits commandés.
En effet, les plateformes de préparation sont très vite parvenues à saturation, provoquant des délais d’attente considérables et de grosses ruptures de stocks (le taux de rupture à la livraison s’est élevé à + de 20% dans certains cas, contre 6% en règle générale).
Nombre d’enseignes, notamment dans l’agro-alimentaire, qui proposent un service de commandes en ligne n’étaient pas préparées pour répondre à une telle demande, brusque et importante. Si un grand nombre d'entreprises ont utilisé le dispositif d'activité partielle mit en place avec leur gestionnaire de paie, d'autres ont rencontrées des difficultés de personnel : absentéisme, manque de matériel de protection, rupture des chaînes d'approvisionnement.
Avec l’arrêt quasi complet des consommations hors foyers et la volonté de sortir le moins possible, la charge brutale qui a pesé sur ces enseignes s’est fait sentir sur les approvisionnements.
Les gagnantes sont donc les enseignes dotées des meilleures structures ecommerce : variété de solutions e-commerce, logistique performante, sourcing efficace, relations fournisseur durables …
Ce sont les sites marchands des chaînes de magasins qui s’en sont le mieux sortis.
La Fevad (Fédération du e-commerce et de la vente à Distance) a indiqué que le confinement avait fait exploser le nombre de ventes en ligne alors même que les supermarchés restaient ouverts.
Nous aurions pu penser que les pures players du e-commerce comme Amazon auraient été les grands vainqueurs de cette période exceptionnelle, mais leur activité ne s’est accrue "que" de 4% sur les 2 mois de confinement.
En revanche, des chaînes de magasin comme Fnac ou Décathlon ont plus que doublé leurs ventes en ligne. L’activité des sites marchands des magasins a augmenté au global de +67% dans le non alimentaire. Dans le même temps, l’activité des hypermarchés a diminué et certains secteurs ont enregistré une baisse sans précédent comme celui de la mode ou du tourisme.
Ces tendances se sont-elles maintenues suite au déconfinement ? Les sondés de l’étude Yougov sont 50% à affirmer que la crise sanitaire va changer durablement leur manière de consommer. Qu’en est-il dans les faits ?
L’émergence de nouvelles tendances de consommation ?
Un autre sondage, réalisé par OpinionWay cette fois-ci, confirme cette tendance puisqu’il en résulte que 55% des Français interrogés souhaitaient « adapter leurs comportements de consommation à l’issue du confinement » peu importe finalement si la fiche de paie est moins généreuse qu'auparavant.
34% d'entre eux en étant plus attentifs à leur budget, 14% d'entre eux en privilégiant les achats en ligne.
L’activité du e-commerce, des supermarchés et des commerces de proximité est en effet resté dynamique depuis le déconfinement.
Malgré une mobilité retrouvée pour la plupart des Français, la tendance de l’achat en ligne se confirme, les drives connaissant une croissance de +30% en moyenne. Les distributeurs ont tout intérêt à conserver cette nouvelle clientèle en développant les systèmes de collecte et de livraison à domicile. Ce dynamisme de la vente en ligne fait d’ailleurs émerger de nouvelles idées auprès de magasins qui ne fonctionnaient auparavant qu’en points de vente physiques.
Michel BIERO, le directeur exécutif de Lidl France déclarait à l’AFP vouloir développer la livraison, voire le « click & collect » tout en excluant le système du drive.
De nouvelles alliances voient déjà le jour : des enseignes de grande distribution nouant des partenariats avec des enseignes de livraison pour livrer leurs produits. C’est notamment le cas de la marque Casino qui a annoncé sa collaboration avec Delivroo.
Il s’agira toutefois de rester prudent afin d’éviter que la désintermédiation de la relation client ne soit préjudiciable au distributeur.
D’après la société d’études Nielsen, le e-commerce alimentaire a augmenté ses parts de marché de +50%, faisant passer le nombre d’acheteurs en ligne mensuels de 5 millions à 7,4 millions.
Le principal challenge est de parvenir à fidéliser ces nouveaux clients recrutés durant cette période exceptionnelle, tout en développant un modèle économique viable et en assurant la qualité et la disponibilité des services.
Pour certains experts de la distribution, c’est sur l’ « omnicanalité » que les enseignes vont devoir concentrer leurs efforts.
L’accélération de la demande en ligne va demander au secteur de la distribution de renforcer leurs compétences en termes de gestion intégrée des différents canaux de vente. L’ « omnicanalité » ou « multicanalité » est le phénomène d’utilisation simultanée ou alternée de différents canaux de commercialisation : magasins physiques, vente en ligne etc.
Conserver de la fluidité pour répondre aux consommateurs demande de repenser les entrepôts et la chaîne logistique.
De plus, les relations fournisseurs, mais également celles avec les équipes sur le terrain (vente, livraison) sont primordiales pour réagir face à une brusque modification de la demande. Pour développer des avantages compétitifs dans le Multi-channel retailing, les entreprises sont amenées à élargir et renforcer leurs compétences technologiques : big data, supply chain, marchandising …
L’une des pistes qu’il serait possible de suivre notamment en cas de création d'entreprise est de décloisonner les activités « vente physique » et « vente en ligne » pour favoriser l’agilité sur l’outil de production, tout en mutualisant les coûts. Cela permettra de gérer au mieux les évènements commerciaux importants, qu’ils soient périodiques ou impromptus : promotions ponctuelles, soldes, période de noël, saint Valentin ou nouveau confinement !
Le comble dans notre beau pays c'est d'avoir […] "le seul syndicat au monde (CGT) qui a déposé un préavis de grève le jour du déconfinement et traîné au tribunal les entreprises qui redémarraient à grand peine".*
Les effets à long-terme du confinement et de la crise sanitaire, qui n’est pas terminée, soulèvent encore de nombreuses incertitudes sur l’activité du commerce et de la distribution. Ce qui est certain c’est que de nouvelles idées émergent pour être en capacité de répondre à l’accélération de la demande en ligne. Nous arrivons à un tournant au cours duquel les entreprises de la distribution devront renforcer leurs modèles, développer des partenariats et réfléchir à leur équilibre économique.
Aurore RIMBOD
Sources :
- https://www.e-marketing.fr/Thematique/retail-1095/Infographies/Infographie-YouGov-devoile-evolution-modes-consommation-post-confinement-349684.htm
- https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/coronavirus-sur-internet-la-crise-a-profite-aux-sites-marchands-des-magasins-1206488
- https://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/achats-en-ligne-magasins-de-proximite-agilite-les-tendances-du-deconfinement-dans-la-distribution-1210331
- https://theconversation.com/consommation-avec-la-crise-le-e-commerce-sest-installe-durablement-dans-nos-vies-140645
* citation du Sénateur Claude MALHURET
[ACQUISITION] LeBonCoin via sa maison-mère s’offre une partie intéressante d’EBay
LeBonCoin détenu par ADEVINTA vient de remporter de beaux actifs d'Ebay en rachetant pour 9 Milliards de Dollars "eBay Classifieds Group", le pôle petites annonces d'Ebay.
Avec cette acquisition, LeBonCoin vient doubler de tailler et renforce son leadership dans les petites annonces. La France est le pays où le groupe génère la moitié de ses profits et la plupart de ses bénéfices.
Source : là
[SEO] Quelques générateurs de mots-clés…
Google Trends : Les résultats restent assez parcellaires et l’interface dénuée d’UX limite son utilisation.
QuestionDB : Entrez un ou plusieurs mots-clés et obtenez des questions thématiques pour développer des sujets connexes.
AnswerthePublic : Outil très intéressant car il fourni une infographie générée en temps réel qui regroupe mots-clés, questions, suggestions…On imagine déjà les applications SEO.
Also Asked : reprend un peu le principe de Answerthepublic avec une infographie des résultats connexes. Cependant ceux-ci ne semblent pas vraiment exhaustifs.
Keyword Tool Dominator : opérant uniquement sur Google US et UK.
Soovle : Un générateur de mot-clé simple, mais efficace, il fait ce qu’on lui demande et c’est là l’essentiel.
D’autres générateurs de mots-clés ? Indiquez-les en commentaire de ce post.
[CONCURRENCE] Le Français DAILYMOTION se plaint d’être moins bien positionné que YOUTUBE sur Google
Cela fait suite à une enquête du Wall Street Journal qui met en avant le fait que les vidéos Youtube sont bien mieux positionnées que celles de DailyMotion du groupe Canal sur le moteur de recherche Google.
Conservons à l’esprit que Google est propriétaire de Youtube depuis presque 15 ans et si il paraît discutable que Google privilégie l’une de ses filiales dans ses résultats, cela n’est pas non plus choquant.
Quelle seraient les observations des actuels détracteurs dans une situation inversée ?
En effet les points relevés par ces observateurs paraissent assez discutables.
Google se défend de son côté de toute partialité dans les résultats de son moteur de recherche.
Source : ici
[FINTECH] LYDIA s’allie à YOUNITED CREDIT pour proposer du Crédit à ses clients particuliers
Lydia s'associe avec Younited Crédit pour proposer un crédit à la consommation à ses clients. Jusqu'à 3000€ remboursable sur 36 Mois.
[ECOMMERCE] Cuir-City.com placée en procédure de sauvegarde
L'entreprise DT2M E-COMMERCE qui exploite les 7 magasins Cuir-City.com et le site E-commerce éponyme (6 Millions d'euros de C.A), semble rencontrer quelques difficultés.
En effet la société DT2M E-COMMERCE vient d'être placée en procédure de sauvegarde.
La procédure de sauvegarde ne signifie pas que le site Cuir-City.com est en état de cessation des paiements. En effet, cette procédure protège avant tout l'entreprise en gelant ses dettes pour lui permettre de trouver des solutions et se ré-organiser.Dossier à suivre dans les prochaines semaines.
[FINTECH FRANÇAISES] Quelles sont-elles ? Que font-elles ? Le PDG de WireCard Arrêté en Allemagne
Les FinTech Françaises n’ont pas à rougir de leur dynamisme. Les levées de fonds ont battu des records en 2019 et le nombre de sociétés innovantes a explosé, notamment sous l’impulsion de la BPI (Banque Publique d’Investissement) qui encourage l’innovation et le développement des FinTech Françaises.
FinTech : une définition
Contraction de « technologie » et de « finance« , ce terme est apparu dans les années 1980 et s’est popularisé suite à la crise financière de 2008.
Fintech désigne une entreprise proposant une technologie innovante visant à optimiser un service financier. Ce sont généralement des start-up, soit une entreprise fondée sur la mise en œuvre d’une innovation.
Ce terme est mal connu du grand public puisque d’après une enquête du cabinet Deloitte, 83% des Français ne savent pas de quoi il s’agit à l’écoute du mot « Start-Up », alors même que nous utilisons leurs services quotidiennement.
Que proposent les Fintechs ?
Leurs services ont pour vocation à simplifier et dématérialiser les processus financiers. Nous pouvons citer plusieurs catégories très utilisées par les consommateurs de services banque/assurance :
• La paytech : il s’agit de l’ensemble des solutions d’optimisation de paiement (solution d’encaissement, paiement par téléphone, les cagnottes virtuelles …)
• Les Néobanques : banques virtuelles sans guichet, elles se sont développées en dématérialisant complètement les services bancaires (N26, Boursorama Banque…)
• Le Crowdfunding : plateformes de financement participatif sur lesquelles les créateurs de projets font appel à un grand nombre de donateurs, à qui ils offrent des contributions en échange. Cette pratique permet de se passer en partie des banques traditionnelles et de créer sa communauté avant même d’effectuer la création d’entreprise.
Place de la FinTech Française à l’international
L’association France FinTech répertorie 350 FinTech en France. Celles-ci sont particulièrement présentes sur deux secteurs d’activité :
Les paytech (20%) et le financement alternatif (crowfunding et crowlending) qui représente 19% des FinTech en France. La France ne compte aucune « licorne », des FinTech valorisées à plus d’1 milliard de dollars, sauf à compter Kyriba, société Franco-Américaine.
La Fintech Française peine à se démarquer à l’international face aux géants US, Indiens et Asiatiques. En 2019, parmi les 100 Fintech mondiales les plus innovantes et à plus fort potentiel figuraient 4 Françaises.
Elles intègrent le classement « Emerging 50 », celui des Fintech d’avant-garde proposant des business model disruptifs : Dether Lunchr, Moonshot et Spendesk.
Elles succèdent dans ce classement à Leetchi, Lydia, Payfit, ou encore Qonto. Le classement « Fintech100 » est établi tous les ans par le cabinet d’audit KPMG. Ces acteurs de la Fintech confirment la diversification sectorielle qui prévaut en France puisqu’ils interviennent sur divers métiers : paiement, assurtech, ou encore Crypto-actifs.
Les services proposés par la FinTech Française
Toutefois, le paiement reste en tête des services proposés par les Fintech. En effet, les PayTech représentent plus de 20% des FinTech françaises (Wynd, Payfit (pour générer facilement la fiche de paie des salariés et les déclarations s’y rapportant), Lunchr ou encore LemonWay). Les Tech for Fin et les néo-banques s’adressent à des marchés spécifiques ayant une croissance soutenue.
La Directive Européenne DSP2 favorise le développement de l’initiation des paiements par des sociétés tierces et du paiement instantané. Ces paramètres réglementaires favoriseront l’émergence de nouvelles PayTech qui continueront d’enrichir les offres innovantes de paiement.
En nombre de sociétés, les Insurtech représentent le deuxième segment le plus dynamique, comptant environ 50 entités. Leur activité porte particulièrement sur le secteur B2B pour améliorer l’efficacité et la rentabilité des assureurs traditionnels : Predilex et Akur8 en sont de bons exemples.
Enfin, la Fintech Française se positionne également sur les solutions de financement des entreprises et de particuliers.
On en dénombre une cinquantaine qui sont, pour moitié, des plateformes de financement participatif de PME. Certaines plateformes leaders se sont diversifiées en intégrant de l’investissement institutionnel : Younited Credit, Lendopolis ou encore October. Elles viennent ainsi concurrencer les plateformes de courtage augmenté en financement comme Pretto ou HelloPrêt et les solutions de souscription simplifiée reposant sur des algorithmes accélérant le scoring et aidant à la prise de décision (Virgil par exemple).
Le secteur des solutions d’épargne et d’investissement n’a pas connu d’évolution particulière et compte une quarantaine de sociétés dont les principaux représentants sont les robo-advisor.
Ils ont toutefois de la peine à attirer l’épargne des particuliers et se sont majoritairement tournés vers les professionnels, sur un modèle BtoBtoC. De la même manière le nombre de solutions de gestion des flux financiers est resté stable, représentant environ 10% des Fintechs Françaises.
80% des Fintech s’adressent au marché BtoB avec des solutions de gestion des frais professionnels ou encore de la facturation.
Enfin, le segment bank-as-a-service se renforce avec 6 nouvelles sociétés. Une nouvelle tendance fait son apparition : l’essor des néo-banques « affinitaires » sur le segment des adolescents et jeunes adultes (Pixpay, Kard). Les acteurs poids-lourds traditionnels comme la Société Générale y viennent aussi (Kapsul). Cette catégorie ne représente que 6% des FinTechs Françaises mais se développe rapidement.
Financement des Fintechs : la levée de fond
La création et la croissance des Fintech reposent en grande partie sur le financement par les fonds d’investissement Parisiens.
En effet, les développements informatiques lourds demandent des investissements de départ très importants, et le seuil de rentabilité élevé, contraint les Fintech à recourir aux financements extérieurs, parfois durant plusieurs années.
En 2019 le montant des levées de fonds à destination des FinTech Françaises s’est élevé à 630 Millions d’€uros, moitié plus que l’année précédente, pour 80 levées de fonds.
La FinTech représente 13% des levées de fonds de la FrenchTech, soit une croissance de 50% sur les 3 dernières années. Les insurtech ont levé un montant cumulé record de 148 millions d’euros en 2019 contre 41 millions en 2018, ce qui en fait le deuxième segment en termes de levées de fonds.
Cas WireCard : la débacle
L’actualité nous rappelle les difficultés pour les start-up et notamment les FinTech d’atteindre leur seuil de rentabilité à l’instar de WireCard qui voit son cours de bourse dévisser complètement depuis l’annonce d’une « perte » proche des 2 Milliards d’euros.

Markus Braun, le PDG de WireCard s’est livré à la police et a été arrêté en Allemagne.
Sources (Merci à elles ) :
https://www.itpro.fr/les-grandes-tendances-2020-de-la-fintech/
https://selectra.info/finance/guides/comprendre/fintech
https://home.kpmg/fr/fr/home/media/press-releases/2019/11/classement-fintech.html
https://www.planet-fintech.com/Cartographie-2020-des-Fintech-francaises_a1300.html
https://francefintech.org/wp-content/uploads/2020/01/Panorama_fintech_francaises_2020-1.pdf
https://www.usine-digitale.fr/article/les-fintech-francaises-principales-contributrices-de-la-french-tech-affichent-leurs-disparites.N923714
https://www.mindfintech.fr/article/18417/covid-19-10-chiffres-sur-les-effets-de-la-crise-sanitaire-et-economique-sur-les-fintech-et-les-services-financiers/
https://www.lemonde.fr/economie/article/2020/06/23/le-scandale-wirecard-ebranle-la-place-financiere-allemande_6043857_3234.html