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[ECOMMERCE – RETAIL] LDLC.com ouvre 2 magasins en Espagne

Le groupe Français LDLC.com, propriétaire du Nantais Materiel.net continue son développement avec l'ouverture de 2 magasins physiques en Espagne. L'un de 600 M2 ouvrira à Barcelone et l'autre de 900 M2 à Madrid.

[ECOMMERCE - RETAIL] LDLC.com ouvre 2 magasins en Espagne

Dans un premier temps la version Espagnole du site Ecommerce ouvrira en Octobre prochain. Les axes de développement Espagnols sont pilotés par un Country Manager, Marc Rodriguez Chuet passé entre autre par Vente-Privée.

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[UP AND DOWN] Free perd plus de 200 000 abonnés…et Alors ?

Free vient de publier ses résultats pour le second trimestre et perd 200 000 abonnés dans le mobile. La perte de clients, ce n'est pas l'unique facteur de la bonne marche ou non d'une entreprise.

Free perd peut-être 200 000 clients dans le mobile mais assure une rentabilité importante et en croissance avec 37,3% d'EBITDA vs N-1 à 36,4% sur le premier semestre. C'est le point le plus important.

[UP AND DOWN] Free perd plus de 200 000 abonnés...et Alors ?

Toutefois, Free voit également disparaître près de 40 000 abonnés cumulés depuis le début de l'année sur le fixe ce qui dénote une certaine lassitude du consommateur pour la marque.

Rien d'exceptionnel cependant, Free commercialise une box créée il y a 7 ans, elle est devenue un peu obsolète pour le consommateur et termine par conséquent son cycle de vie comme tout produit.

Puis la stratégie du groupe à faire passer ses clients à la fibre (734 000) est de très bon augure car cela améliore considérablement l'expérience client.

Enfin, Free sortira en Octobre la FreeBox V7, un évènement attendu par les professionnels du secteur et les fans de la marque.

Source ici

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[TRANSPORT] 21% des gros colis arrivent endommagés, pire 15% n’arrivent jamais, que font les transporteurs ?

L’étude en question a été faite par Uship sur le marché Américain et les résultats sont très pertinents car se sont les consommateurs eux-mêmes qui ont été sollicités pour rapporter leur expérience en matière de livraison Ecommerce.

Ainsi, il ressort qu’en moyenne sur 100 colis de gros gabarits réceptionnés par leurs destinataires, 21 étaient endommagés. (L’étude parle notamment de colis de grandes tailles comme des canapés, du mobilier, de l’électroménager..etc..).

L’autre point important est que 15% des colis expédiés ne seraient jamais parvenus à leur destinataire !

Le ratio est juste colossal et la frustration du client tout autant !

[TRANSPORT ECOMMERCE] 21% des gros colis arrivent endommagés, pire 15% n'arrivent jamais, que font les transporteurs ?

28% des consommateurs hésitent à acheter des articles volumineux sur les sites Ecommerce à cause des potentiels soucis de livraison.

Par ailleurs,

16% des clients affirment avoir été livrés à eux-mêmes pendant tout le processus de transport, sans suivi, sans possibilité d’avoir un interlocuteur pour préciser un horaire de livraison etc….

15% d’entre eux indiquent avoir manqués une journée de travail pour recevoir leur commande. Il paraît peu probable de se faire livrer un canapé dans un point relais ou encore sur son lieu de travail, par conséquent la prise de rendez-vous à domicile avec un transporteur est indispensable. Pourtant celle-ci est généralement complexe et les consignes données par le destinataire à l’intention du livreur pas vraiment respectées, notamment le fait de passer un coup de fil avant d’arriver.

Résultat 28% des consommateurs hésitent à acheter des articles volumineux sur les sites Ecommerce à cause des potentiels soucis de livraison.

En même temps, il ne faut pas se mentir, certains transporteurs ont de véritables lacunes en la matière et pas forcément uniquement sur les gros articles à transporter. Je parlais récemment de Chronopost, mais les autres transporteurs aussi provoquent la colère des consommateurs (je vous laisse consulter les commentaires) :

Quelques exemples d’appréciations clients ici et et pourquoi pas ici également concernant certaines enseignes de transport, confirment la frustration des destinataires, de voir des abrutis indiquer qu’ils se sont présentés pour une livraison sans que cela soit le cas.

Comme quoi il existent encore de belles pistes de progression en Ecommerce si les transporteurs décident d’améliorer la gestion des colis qui leur sont remis et écoutent enfin les consignes données par les destinataires.

Car le transport est l’un des principaux problèmes en Ecommerce, il est un maillon de la chaîne indissociable de la réussite de l’expérience client dans son ensemble.

Vous pouvez avoir le plus beau, le plus rapide et le plus ergonomique des sites Ecommerce ; les meilleurs prix, le plus empathique des services clients et la chaîne logistique la plus éprouvée, si le transport n’est pas à la hauteur des attentes de votre client alors tout cela n’aura servi à rien.

[TRANSPORT ECOMMERCE] 21% des gros colis arrivent endommagés, pire 15% n'arrivent jamais, que font les transporteurs ?

La véritable question réside déjà dans le fait que pour toute enseigne de Ecommerce la prestation du transporteur restera la dernière chose dont se souviendra son client : comment faire pour qu’elle soit inoubliable ? (dans le bon sens;-)

Certainement pas en choisissant des transporteurs dont les employés négligent tant l’expéditeur que le destinataire final par une prestation de livraison déplorable et bâclée.

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[ECOMMERCE] Un Maire LR veut taxer le Ecommerce parce qu’il « consomme de l’espace public ».

C'est un article dans les Echos un peu passé inaperçu qui vient de paraître à propos du Ecommerce.

Entre la FEVAD qui était bien occupée à nous sortir les chiffres du Ecommerce de 2017 pour 2018 (ça bosse dur 😉 et la plupart des décideurs encore en congés, il aurait été facile de ne pas y prêter attention. Et pourtant …

C'est Monsieur David LISNARD Maire LR de Cannes qui nous écrit un bel article démagogique sur les centres villes désertés par les consommateurs au profit des sociétés de Ecommerce. Le sempiternel discours du politique, qui, proche de ses administrés à serrer les mains des retraités sur le marché du samedi matin est déconnecté de la réalité des secteurs concernés.

Remettons un peu les choses à leur place et la réalité du terrain au coeur du débat qui n'a pas vraiment lieu d'être, il faut bien le dire.

D'une part renvoyer le Retail et le Ecommerce dos à dos est stupide car ils sont parfaitement complémentaires. C'est un conflit passé des Ecommerçants de la première heure qui n'existe plus aujourd'hui. Preuve en est les nombreux acteurs du Ecommerce qui ont ouvert des magasins, puis des concentrations Ecommerce/retail telles Casino qui a racheté Cdiscount, Monoprix avec Sarenza..et c'est sans compter les drives et autres click and collect…etc..

D'autre part, il est prépondérant de s'interroger sur l'utilité d'une nouvelle taxe concernant la distribution Ecommerce ou traditionnelle car d'une manière ou d'une autre, les politiques peuvent raconter ce qu'ils veulent, c'est le consommateur final qui paiera.

Il faut cesser de mentir. Lorsqu'on nous parle de taxation en "pied de facture" ou autre, cela ne change rien, les marges ne sont pas extensibles. Une entreprise est comme une grande baignoire dans laquelle on déverse les charges, à un moment si l'on en rajoute trop, ça déborde !

[ECOMMERCE] Un Maire LR veut taxer le Ecommerce parce qu'il "consomme de l'espace public".

Dans l'article en question (à lire là : lien) Monsieur David LISNARD nous dit que :

"Une […] conséquence du développement du commerce électronique porte sur la consommation sans contrepartie de l'espace public induite par les opérations de livraison. En 2017, 505 millions de colis ont été livrés à partir d'achats réalisés sur Internet et par vente à distance. Ce volume de marchandises considérable emprunte quotidiennement des voiries que les collectivités aménagent et entretiennent grâce aux impôts acquittés par les contribuables locaux."

Effectivement, les véhicules de livraison utilisent les routes communales et autres départementales pour livrer les articles commandés. Quoi de plus normal puisque ce sont ces contribuables locaux qui ont commandés et qui s'acquittent des impôts de leur ville et de leur territoire.

Comprenons d'abord les raisons du consommateur de faire ses achats en ligne.

Le consommateur a fait le choix de commander ses articles sur internet plutôt que de se rendre en centre ville car généralement il ne trouve pas où se garer ou encore parce que ses achats peuvent être volumineux, les transports en commun n'étant pas la réponse adaptée dans ce cas là.

Il n'a plus envie de galèrer avec ses achats, il en a marre d'être contraint de tourner encore et toujours pour trouver une place de stationnement et de s'acquitter ensuite des frais qui s'y rapportent au plus grand bonheur de la mairie.

Cas concret :

1. Le CONSOMMATEUR commande donc ses articles sur internet et paye les frais de livraison le cas échéant, (il paye donc le service de livraison de la société de transport qui elle-même paie les péages, la CFE, les impôts locaux et autres joyeusetés tout comme ses salariés locaux).

2. Le CONSOMMATEUR paye bien entendu chaque année ses impôts locaux (entretien des routes, des parties communes propres à chaque ville, l'espace public…etc …)

3. ET DONC, Il devrait en plus payer une taxe complémentaire pour se faire livrer à son domicile sous prétexte que sa commande "consomme de l'espace public" !

Cela n'a pas de sens et cela revient à une double imposition pour la même chose.

Premièrement taxer le Ecommerce au seul prétexte de la désertification des centres villes revient à mettre nos responsables politiques devant leur pitoyable bilan en matière d'urbanisme.

Entre le tarif des places de stationnement, la difficulté pour trouver un emplacement où se garer, le choix délibéré d'avoir des banques et assurances au pied des immeubles au détriment des petits commerces, il ne faut pas s'étonner que les consommateurs aient fui les centres-villes.

Deuxièmement, le Ecommerce permet notamment de rompre l'isolement de personnes à mobilité réduite. Certaines personnes n'avaient plus accès à la culture car elles ne pouvaient plus se rendre à la librairie du centre ville, elles trouvent leur salut en se faisant livrer des livres par exemple directement à leur domicile et leur droit d'accès à la culture est à nouveau respecté.

Troisièmement, la réponse aux problématiques d'un secteur n'est pas la taxation d'un autre. Le consommateur a fait le choix de consommer sur internet, il ne le fait pas forcément pour le prix, mais pour la simplicité d'achat, la rapidité de la livraison et sa capacité à récupérer sa commande rapidement.

Taxer le Ecommerce, n'enverra pas pour autant le consommateur vers le petit commerce.

C'est aux enseignes du retail de se renouveler en matière d'offre et de services. La grande distribution en est un parfait exemple avec l'ouverture massive des drives. Elle s'est adaptée aux consommateurs.

C'est à nos dirigeants politiques locaux de rendre plus attractifs les centres villes en facilitant l'accès aux consommateurs et aux commerces. L'idée de baisser les taxes pour ces derniers est excellente dans la mesure où la mise en concurrence d'un emplacement commercial ne privilégie pas le plus offrant. En effet le petit commerce serait certain de perdre face aux banques et assurances disposant de davantage de moyens.

C'est également à nos élus territoriaux de savoir attirer dans leur localité les sociétés de Ecommerce et leurs milliers d'emplois crées chaque année localement. Le discours de Monsieur LISNARD est pourvue d'une facilité déconcertante de prendre le problème à l'envers.

Une chose est certaine : Taxer le Ecommerce, n'enverra pas pour autant le consommateur vers le petit commerce.

Puis n'oublions pas qu'un site Ecommerce c'est aussi et surtout une entreprise comme n'importe laquelle, implantée elle aussi dans une localité ! Elle s'acquitte évidemment des mêmes taxes que ses homologues du retail et emploie des salariés localement. Stigmatiser l'une ou l'autre n'a véritablement aucun sens.

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[ECOMMERCE] Découvrez les Chiffres clés du Ecommerce pour 2018

Comme chaque année la FEVAD (Fédération Française de la Vente à Distance) publie les chiffres du Ecommerce. Voici un résumé des données importantes à retenir :

[ECOMMERCE] Découvrez les Chiffres clés du Ecommerce pour 2018

A. On constate une croissance du C.A de plus de +14% sur 2017 vs 2016 à un peu plus de 83 Milliards d’euros de C.A.
 

B. 21% du C.A est réalisé sur mobile
 

C. 85% des internautes sont des cyberacheteurs
 

D. 37,5 Millions de Français achètent sur internet
 

E. 182 000 Sites Ecommerce actifs sont dorénavant dénombrés en France, pour rappel en 2011 il y avait 49 000 sites marchands
 

F. Top 5 des sites les plus visités en France (sans aucune surprise !) :

1-Amazon
2-Cdiscount
3-Fnac
4-Vente-Privee
5-Oui.sncf

G. Taille moyenne des sites Ecommerce :

77% des sites Ecommerce réalisent – de 100K€ par an

18% réalisent entre 100K€ et 1 Million d’euros par an

4,3% des sites marchands réalisent entre 1 Million et 10 Millions d’euros de C.A annuel

0,6% des boutiques réalisent plus de 10 Millions d’euros de C.A par an

Rappelons toutefois que Chiffre d’Affaires ne signifie pas forcément « bénéfices » : 35% des TPE/PME sont déficitaires dans leur activité Ecommerce.
 

H. Le volume d’affaires des places de marché progresse de +15%
 

I. 29% des internautes achètent entre 2 et 3 fois par mois

J. 505 Millions de colis ont été traités en 2017 soit une croissance de +10,5% vs 2016

K. 53% des entreprises de plus de 10 salariés réalisent des achats sur internet

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[ECOMMERCE] MSR (MonShowRoom.com) baisse définitivement le rideau le 31 Août

[ECOMMERCE] MSR (MonShowRoom.com) baisse définitivement le rideau le 31 Août

MSR (MonShowRoom.com) ce site Ecommerce qui existait depuis plus de 10 ans fermera ses portes le 31 Août 2018. En cause le fait que la société exploitante (E-TREND) n’a jamais vraiment réussie à démontrer la pérennité du business model accumulant les pertes année après année.

[ECOMMERCE] MSR (MonShowRoom.com) baisse définitivement le rideau le 31 Août

Ainsi en 2015 l'entreprise compte un C.A de plus de 19 Millions d'euros avec une perte de -5 millions, idem en 2016, la situation ne pouvait pas continuer sur le long terme. Acquise par Casino en 2012, MSR (MonShowRoom.com) atteignait +32% de croissance en 2013 vs 2012 avant de stagner et de devenir extrêmement déficitaire.

L'adossement à Casino a certainement permis au site Ecommerce d'éviter une procédure collective et aujourd'hui les actifs de MSR (MonShowRoom.com) sont intégrés à Sarenza (groupe Casino) afin d'étendre son offre pour les consommateurs. Toutefois l'enseigne MSR (MonShowRoom.com) disparaîtra définitivement dès la fin du mois d'Août.

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[START-UP – START-DOWN] Uber perd encore près de 900 millions de dollars sur 3 mois

Même si la croissance est au rendez-vous sur ce deuxième trimestre avec une augmentation de + 63% du C.A à 2,8 Milliards de $ sur la période, Uber peine encore à prouver que son modèle économique est viable avec une perte abyssale de près de -900 Millions de $ au dernier trimestre ! (Soit 10 Millions de $ de pertes par jour).

[START-UP - START-DOWN] Uber perd encore près de 900 millions de dollars sur 3 mois

Les diversifications sont par ailleurs légions chez Uber avec notamment Uber Eats qui ne dégage pas de bénéfices à l'instar de Foodora qui a choisi de quitter le marché Français.

L'activité des véhicules autonomes est également gourmande en cash et nuit à la rentabilité de l'entreprise qui depuis 2009 accumule les pertes et atteignent plus de 10 Milliards de $ ! Une aberration du capitalisme !

RAPPEL : Petite leçon d'entrepreneuriat, ça fera pas de mal à certains… Par Jason FRIED et David HANSSON.

Sources ici et .

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[ECHEC] Foodora souhaite se retirer du marché Français… avec 10 Millions d’euros de pertes sur 20 mois

Après Take It Easy, c'est Foodora, l'une des principales sociétés de livraison à domicile qui souhaite se retirer du marché Français jugé trop concurrentiel notamment avec la présence de Uber Eats et de Delivroo.

[ECHEC] Foodora souhaite se retirer du marché Français... avec 10 Millions d'euros de pertes sur 20 mois

Bien entendu les livreurs s'inquiètent du départ de l'un de leur principal client et déjà certains se ravisent, échaudés par le départ de Take It Easy qui avait laissé de nombreux impayés, et se tournent vers les plateformes concurrentes.

A un moment, il faut tout de même comprendre la réalité d'une entreprise, start-up ou pas, et que malgré toutes les levées de fonds possibles si le modèle n'est pas viable cela ne peut pas durer.

Foodora : 6 Millions d'euros de C.A, -10 Millions d'euros de pertes sur la même période…

No comment.

[ECHEC] Foodora souhaite se retirer du marché Français... avec 10 Millions d'euros de pertes sur 20 mois

Sources : ici et

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[AQUISITION] AlloPneus le leader du Ecommerce de pneus acquiert Popgom

Allopneus, 248 Millions d'euros de C.A acquiert Popgom, 21 Millions de C.A pour se déployer à l'international.

Allopneus c'était déjà plus de 50% du marché online en France et un pneu vendu toutes les 9 secondes, une qualité de service irréprochable et toujours davantage de références au catalogue.

En 2017, son PDG, Didier BLAIZE avait investi plus de 40 millions d'euros dans une plateforme logistique de plus de 40 000 mètres carrés pour faire face à la croissance et à la saisonnalité du secteur.

 

[AQUISITION] AlloPneus le leader du Ecommerce de pneus acquiert Popgom

Surtout ce qui détonne dans la réussite exceptionnelle d'Allopneus c'est que cette enseigne Ecommerce est rentable, d'autant plus que dans le secteur du pneumatique les marges sont la plupart du temps assez faibles (plus d'info ici).

A contrario, Popgom n'a jamais vraiment atteint son seuil de rentabilité, perdant quelques centaines de milliers d'euros chaque année mais disposant de la base de données clients internationale convoitée par Allopneus. 

Source : Les échos
Source : Societe.com

[AQUISITION] AlloPneus le leader du Ecommerce de pneus acquiert Popgom
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[ENTREPRISE] Qu’est-ce qu’une start-up ? Définition claire et simple de Jason FRIED et David HANSSON

Parce qu'il y en a marre de lire tout et n'importe quoi sur des levées de fonds de boîtes qui n'ont encore rien prouvé, pas de business model, pas de C.A et qui se voient confier des millions par des abrutis en mal d'appartenance et de défiscalisation.

Retrouvez ci-dessous la définition claire et simple d'une Start-up pour les auteurs du livre ReWork…Criant de vérité :

 

[ENTREPRISE] Qu'est-ce qu'une start-up ? Définition claire et simple de Jason FRIED et David HANSSON

« La start-up est une race d’entreprise très spéciale qui suscite énormément d’intérêt, surtout dans le secteur technologique.

La start-up est un endroit magique. Un endroit où les dépenses ne sont pas votre problème, mais celui de quelqu’un d’autre. Un endroit où il n’est jamais question de truc embêtant qu’on appelle le Chiffre d’Affaires et où vous pouvez dépenser l’argent des autres jusqu’à ce que vous trouviez le moyen d’en gagner vous-même.

[…] Le seul hic : cet endroit magique n’existe que dans les contes de fées. En réalité, toutes les entreprises, qu’elles soient récentes ou établies depuis longtemps, sont soumises aux mêmes forces du marché et aux mêmes lois économiques : avoir plus de recettes que de dépenses, dégager un profit ou disparaître.

La start-up tente d’ignorer cette réalité. Elle est dirigée par des gens qui essaient de retarder autant que possible le moment inévitable où leur société doit arriver à maturité, réaliser un profit et assurer sa durabilité.

L’attitude : « on verra plus tard comment faire des profits est ridicule » – Aussi absurde que de construire un vaisseau spatial sans tenir compte des lois de la gravité. Une entreprise qui n’est pas sur la voie du profit n’est pas une entreprise mais un passe-temps.

[…] Les vraies entreprises se préoccupent du profit dès leur premier jour d’existence. Les vraies entreprises ne balaient pas de graves problèmes sous le tapis en disant : C’est normal pour une start-up. »

A bon entendeur 😉

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