CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

Levées de fonds : Ces millions brûlés parfois pour rien sont-ils nécessaires aux entreprises ?

Les médias spécialisés publient des dizaines d’articles chaque semaine concernant les différentes levées de fonds des start-up, à tel point que l’on dirait que depuis quelques années, seule la levée de fonds est importante au détriment de la croissance et surtout de la rentabilité de l’entreprise.

C’est comme si la levée de fonds était plus essentielle que le business model en lui-même, comme si l’existence même de la société était axée autour et pour lever des fonds.

Médias, dirigeants, investisseurs se gargarisent de ces levées de fonds, une flatterie pour l’égo pour les uns, un avantage fiscal pour d’autres, et la valeur ajoutée dans tout cela ?

Attention, ne prenons pas toutes les levées de fonds pour les mettre dans le même sac et le jeter aux oubliettes ! Simplement, pour un créateur d’entreprise il est pratiquement systématique de vouloir lever des fonds alors que ce n’est pas la destination même d’une entreprise.

Tout d’abord, la plupart du temps, lever des fonds est initié par un manque de cash. Cela est généralement dû au fait que la société ne soit pas rentable et perde de l’argent au quotidien (cash burn).

Levées de fonds : Ces millions brûlés parfois pour rien sont-ils nécessaires aux entreprises ?

La vocation d'une entreprise c'est de gagner de l'argent

Ne nous trompons pas, rappelons tout de même que la vocation d’une entreprise au delà de créer de l’emploi et de la valeur ajoutée, c’est de gagner de l’argent.

Ce ne sont pas des mots tabous qu’une entreprise existe pour gagner de l’argent car c’est ainsi qu’elle peut se développer à travers l’innovation pour ces clients, rémunérer ses salariés, pérenniser les emplois et investir dans discontinuer.

Ne rentrons pas dans la démagogie de certains ignorants qui conspuent les bénéfices des entreprises ne comprenant pas que sans eux, l’entreprise ne peut perdurer sur le long terme.

Revenons sur ces levées de fonds dont la presse spécialisée tout comme ses lecteurs aiment se délecter au quotidien.

Une entreprise qui a démontrée un business model rentable n'a pas besoin de lever des fonds pour vivre mais pour se développer.

Ce que l’on constate aujourd’hui c’est que les levées de fonds sont pour la plupart (celles médiatisées) faites par des entreprises déficitaires et qui ont besoin de ces levées de fonds non pas pour se développer mais pour échapper au dépôt de bilan.

Je m’étonne d’ailleurs, de voir la presse spécialisée faire l’échos de ces levées de fonds mais nullement des échecs qui peuvent en résulter et ils sont nombreux dans le cas de figure évoqué. Les médias ont pourtant un rôle d’informateur, mais cela est sans doute moins « vendeur » qu’une levée de fonds.

Autant je me réjouis qu’une entreprise parvienne à lever des fonds pour développer son business model rentable, autant je mets les autres dans la case « brûleurs de cash » qui passent plus de temps à préparer leur road show qu’à réellement s’occuper de leur business, des produits et des clients. Ils sont toujours en quête de capitaux pour faire face aux échéances et non pour développer l’entreprise.

La levée de fonds est un instrument extraordinaire s’il est utilisé correctement et s’il est fait au bon moment. La base doit être solide pour bâtir quelque chose sur le long terme.

Nous avons tous le droit d’échouer, de nous tromper, mais cramer du cash avec acharnement (particulièrement lorsqu’il s’agit de l’argent des autres),  dans un modèle déficitaire, relève simplement de la bêtise.

Voici quelques exemples de sociétés ayant réalisées des levées de fonds importantes et qui ont disparues aujourd’hui :

New Wind

Levée de fonds : 2,4 Millions d'euros

C.A (connu ou communiqué) : 205 000 €

RCAI : -1,9 Millions d'euros

Date de liquidation  : 8 Mars 2017

 

L'usine à Design

Levée de fonds : 5,4 Millions d'euros

C.A (connu ou communiqué) : 81 000 €

RCAI : -182 000€

Date de liquidation : 17 Avril 2013

 

Univers Runing

Levée de fonds : 1,0 Millions d'euros

C.A (connu ou communiqué) : inconnu

RCAI : inconnu

Date de liquidation : 7 Août 2017

 

Menlook (Meninvest)

Levées de fonds : 35 Millions d'euros

C.A (connu ou communiqué) : inconnu

RCAI : inconnu

Date de liquidation : 28 Avril 2017

 

Chics Types

Levée de fonds : 5,4 Millions d'euros

C.A (connu ou communiqué) : 3,7 Millions d'euros

RCAI : -2,8 Millions d'euros

Date de liquidation : 5 Octobre 2016

 

Predicsis

Levées de fonds : 1,0 Million d'euros

C.A (connu ou communiqué) : inconnu

RCAI : inconnu

Date de liquidation : 11 Octobre 2017

Un article très intéressant à lire sur les levées de fonds en suivant ce lien, car il y a aussi des entreprises (notamment dans l'IT) qui réussissent à se développer sans pour autant lever des millions, fort heureusement !

Arrêtons l'adoration systématique du dirigeant qui parvient à lever des fonds car la plupart du temps il lui reste tout à construire. La ligne d'arrivée c'est la rentabilité et la pérennité, pas le cash levé, et certainement pas le cash cramé. 

______________________________________________

MAJ : 07/03/2018 article à lire de Tristan Dessain-Gélinet à propos des levées de fonds en suivant ce lien.
 

Autre société ayant levée des fonds et en cours de disparition :

Giroptic

Levées de fonds : 5,9 Millions d'euros

C.A (connu ou communiqué) : inconnu

RCAI : inconnu

 

CatégorieE-commerceRéférencement (SEO)

Le pouvoir de la personnalisation dans le Ecommerce [Par Suzanne Tran – Icrossing]

La personnalisation dans le commerce électronique : la suggestion de produits personnalisé génère 24% des commandes et 26% du chiffre d’affaires

 

Selon le rapport « Personnalisation des expériences d’achat » rédigé par Salesforce, les recommandations de produits – guidées par l’intelligence artificielle – génèrent des conversions plus élevées, des visites plus longues sur le site, plus de consultation de produits et un meilleur taux de retour sur la boutique en ligne (site Ecommerce).

 

L’intelligence artificielle a sans aucun doute fait sa place dans le marketing tout au long de l’année 2017. Dans le commerce électronique, l’IA (l’intelligence artificielle) peut avoir différentes fonctions dont la suggestion de produits personnalisés. Cette technologie permet une interaction innovante avec les clients.

 

Les attentes des consommateurs

 

La recherche sur la “Personnalisation des expériences d’achat » de Salesforce affirme que 50% des consommateurs pourraient se tourner ailleurs si une enseigne n’est pas capable d’anticiper leurs besoins, et 58% des consommateurs ont sensiblement changé leurs attentes en ce qui concerne le mode d’interaction des entreprises. La personnalisation, guidée par l’intelligence artificielle, est à la fois une réponse aux demandes des consommateurs et un coup de pouce aux ventes en ligne. Bien que pour certains cela semble être une solution technologique à des années-lumière, l’IA est largement utilisée, par exemple, dans les suggestions de base au sein des sites et dans tout le processus d’achat. De plus en plus d’aspects sont couverts par l’intelligence artificielle dans le e-commerce, y compris le contenu et les offres.

 

La force de personnalisation

 

Bien que seulement 7% des acheteurs en ligne interagissent avec les recommandations, ils affectent 24% du total des commandes et 26% du chiffre d’affaires. Non seulement les utilisateurs qui cliquent sur les conseils sont 4,5 fois plus enclins à créer des paniers, mais aussi les visites où ces interactions se produisent ont un taux de conversion 4,5 fois plus élevé. Les achats générés par les suggestions, enregistrent une valeur moyenne de commande supérieure de 10. De plus, les dépenses par visite d’un adepte des recommandations sont cinq fois plus élevées globalement et 4,7 fois sur les appareils mobiles.

 

Le pouvoir de la personnalisation dans le Ecommerce [Par Suzanne Tran - Icrossing]

Personnalisation selon les appareils

 

Maintenant que le digital est un média mature, il semble presque trivial de se rappeler que chaque stratégie doit être définie spécifiquement sur chacun des dispositifs utilisés. Mais en entrant plus spécifiquement, vous remarquez des données surprenantes. Les taux de conversion les plus élevés – parmi les utilisateurs qui ont cliqué sur une suggestion – sont le poste de travail (9,8%), suivi de la tablette (7,3%) et du smartphone (4,7%). Les utilisateurs actifs sur tablettes ont généré 30% du total des commandes grâce à des recommandations et 33% du chiffre d’affaires, bien que seulement 9% de toutes les visites proviennent de ces appareils. Sur le poste de travail, en revanche, la durée des sessions (15 minutes), le taux de conversion (9,8%) et la propension à créer un panier (24%) ont été enregistrés. Les utilisateurs mobiles ayant cliqué sur des recommandations se distinguent en raison d’un pourcentage plus élevé de commandes par rapport aux utilisateurs d’ordinateurs (25%).

 

L’outil de recherche interne pour le site

 

La phase exploratoire est fondamentale, c’est le début de l’entonnoir qui conduit à la conversion, et dans les premiers instants, le client s’appuie souvent sur un outil spécifique : la barre de recherche. Un développement correct de cet outil permet de simplifier l’identification du produit, et de proposer des résultats plus pertinents par rapport à une multitude d’options et de goûts différents à ceux qui savent quoi chercher et dans le cas d’un utilisateur d’exploration. Les performances de tels outils sont similaires à celles enregistrées auprès des utilisateurs qui profitent des conseils de produits associés et/ou suggérés : 10% des visites proviennent d’acheteurs qui effectuent des recherches sur des sites et ce pourcentage conduit à 25% du chiffre d’affaires. Les détaillants qui peuvent aider les clients à trouver ce qu’ils recherchent grâce à des outils de personnalisation seront donc en mesure de gagner des taux de conversion plus élevés.

 

La navigation moyenne de ceux qui concluent une transaction en cliquant sur les recommandations proposées par le site est de 12,9 minutes, contre 2,9 minutes pour ceux ignorant les recommandations. 37% d’acheteurs ayant cliqué sur une recommandation sont enclins à revenir sur le site comparé à 19% ayant ignoré les suggestions. Ceux qui y ont prêté attention ont consulté 4,8 fois plus de produits uniques. Bien que les utilisateurs qui ont cliqué sur les suggestions n’incluent que 6% du total des acheteurs, 37% d’entre eux ont terminé la commande.

 

Découvrez le rapport complet en suivant ce lien.

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

Ecommerce, Retail : 5 logiciels de paie pour vous simplifier la vie

Quelque soit votre activité dans le Ecommerce ou dans le retail, vous pouvez être confronté à la gestion d’une masse salariale avec les difficultés sociales que cela implique. Dans cet article, vous trouverez 5 logiciels de paie sélectionnés pour vous simplifier le quotidien en matière de paie.

 

CIEL PAYE

Ecommerce, Retail : 5 logiciels de paie pour vous simplifier la vie

Ciel Paye est surtout destiné aux petites entreprises, tpe, ou commerçants avec peu de salariés. Le logiciel propose des fiches de paie prêtes à l'emploi afin de faire gagner du temps à l'utilisateur.

Ciel paye permet également la gestion des données relatives à la formation et à la pénibilité.

Tarif : à partir de 44€HT/mois

Plus…

 

META4

Ecommerce, Retail : 5 logiciels de paie pour vous simplifier la vie

META4 met à disposition un panel de modules pour les sociétés : paie, administration du personnel, changement de situation… META4 permet de traiter assez simplement des situations complexes.

Un seul outil pour gérer l'ensemble des données sociales et rh. META4 est une société qui compte plus de 900 collaborateurs et s'adapte à toutes les tailles d'entreprises.

Plus…

Tarif : NC

 

FICHE-PAIE.NET

Ecommerce, Retail : 5 logiciels de paie pour vous simplifier la vie

Fiche-Paie.net est un logiciel de paie qui brille par sa simplicité.

Codeur.com

Effectivement ce logiciel de paie en ligne (SaaS) est la référence en matière de fiche de paie sur internet.

Il permet notamment la gestion de la paie pour tous les types de contrats, de salariés et même les mandataires sociaux. La DSN est également incluse et gratuite pour toute création de fiche de paie.

Le journal de paie est également fourni. Le logiciel propose plus de 1000 conventions collectives, des mises à jours gratuites et permanentes, plus de cinquante options disponibles pour la gestion des congés, des primes, des commissions, des avantages…etc…et surtout il est SIMPLE !

Tarif : à partir de 7,90€

ADP

Ecommerce, Retail : 5 logiciels de paie pour vous simplifier la vie

Avantages importants chez ADP en matière de solutions de la paie, c'est qu'ils proposent la gestion intégrale de la partie sociale avec en plus l'épargne salariale.

La paie étant également un point juridique important, ADP apporte une véritable expertise en droit social.

plus…

Tarif : NC

 

EBP

Ecommerce, Retail : 5 logiciels de paie pour vous simplifier la vie

Une des références incontournable de la paie, EBP propose bon nombre de solutions de gestion de la paie pour les entreprises de moins de 11 salariés avec différents packs disponibles à partir de 249€HT.

Les offres varient également en fonction du secteur d'activité. Ainsi EBP propose également une version "bâtiment" ou "agricole" selon les besoins du client, comptez 551€HT pour la version "bâtiment" et "agricole".

Source : EBP

Tarif : à partir de 249€HT

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

L’arrivée d’Amazon GO signe t-elle la fin de la grande distribution telle que nous la connaissons aujourd’hui ?

Magasin vieillissants, processus de ventes obsolètes, satisfaction des clients en berne, pivot digital compliqué, C.A en baisse… La grande distribution est à la peine.

Il faut dire que malgré l'ouverture des drives, les enseignes de la grande distribution piétinent et il ne faut pas être surpris d'apprendre par la presse la suppression de milliers de postes chez Carrefour et certainement dans d'autres enseignes dans les mois à venir tant le secteur peine depuis des années à se renouveler.

En même temps, tous tenaient la pelle pour se faire taper sur la tête !

Comment peut-on imaginer encore en 2018 faire attendre son client à la caisse pour qu'il ait le "droit" de payer ou d'avoir enfin accès à un conseiller pour l'aider dans son achat ? C'est d'ailleurs absolument inimaginable en Ecommerce !

Le retail même digitalisé est à la traîne. 

La gestion des stocks affectés au web est carrément approximative provoquant l'insatisfaction et la frustration des clients qui ont commandés des articles disponibles sur le site et en rupture (non remplacés) à l'arrivée. C'est sans compter la profondeur de gamme qui laisse à désirer sur les drives de certaines enseignes.

Pire, dans certains drives des enseignes s'offrent le luxe de refuser les commandes car le créneau horaire est complet ou le montant minimum de commande pas atteint !

Imaginez-vous un site Ecommerce qui refuserait des commandes car il n'a pas affecté suffisamment de collaborateurs à leur préparation ? Imaginez-vous une enseigne du Ecommerce mettant une page d'attente sur la page de paiement car d'autres personnes doivent régler leur commande avant vous ?

C'est tout simplement inimaginable et pourtant la grande distribution en France continue d'avoir ce type de comportement nuisible, tant pour le bien-être du consommateur que pour l'image de l'enseigne qu'il fréquente.

Laisser un client faire la queue c'est le mépriser, tout simplement.

L'arrivée d'Amazon GO signe t-elle la fin de la grande distribution telle que nous la connaissons aujourd'hui ?

Est-ce normal aujourd'hui de devoir patienter en caisse pour régler ses achats, alors même que le passage en caisse n'a pour la plupart du temps aucune valeur ajoutée pour l'enseigne et/ou pour le consommateur ?

L'ouverture au public d'Amazon Go, montre qu'il faut des évolutions technologiques pour faire évoluer les canaux de distribution et par delà les mentalités. Ce qui est étonnant, c'est que ce soit aux acteurs du Ecommerce d'apporter les solutions technologiques à ceux du retail.

Pourquoi les enseignes de la grande distribution n'ont pas ouverts des budgets R&D sur le sujet il y a des années ? Le pivot digital de la grande distribution est tardif et impuissant face au Ecommerce qui se remet en cause perpétuellement sur l'ensemble de sa chaîne de valeur depuis sa naissance.

C'est le concept même de l'hypermarché qui est à revoir dans sa globalité.

L'arrivée d'Amazon GO signe t-elle la fin de la grande distribution telle que nous la connaissons aujourd'hui ?

Deux enseignes font l'actualité sur ce sujet, Carrefour bien entendu avec ses annonces de suppressions de postes et ses investissements massifs et tardifs dans le digital, et Amazon avec le lancement d'Amazon Go (suivez le lien pour l'article complet).

 

Le paradoxe avec Amazon Go, c'est que les clients font la queue n'ont plus pour sortir mais pour entrer !

Pourtant précurseur dans la fidélisation client, la grande distribution n'exploite pas la composante même de celle-ci : la data.

Les leviers d'actions pourraient-être :

– Personnalisation de l'offre produits par consommateur, par saison, par semaine, par jour…il n'y a pas de limites

– Suppression des rayonnages "industriels" et des grandes surfaces telles que nous les connaissons afin d'apporter plus de proximité

– Utilisation du digital et de la data tant online qu'offline dans les communications des enseignes

– Structuration des drives et dimensionnement de ceux-ci à hauteur des attentes et des besoins des consommateurs.

– Suppression des caisses telles que nous les connaissons et qui n'offrent aucune valeur ajoutée. L'affection du personnel concerné dans le service et dans le conseil client est indispensable pour redresser les marges, améliorer l'expérience utilisateur et augmenter le panier moyen.

– Déploiement d'une stratégie de visibilité online forte et identitaire avec l'augmentation des univers de consommation

Aujourd'hui, la plupart des consommateurs qui entrent dans une grande surface, se demandent quand ils vont pouvoir en sortir tels des détenus venant purger leur peine !

Ils éprouvent des difficultés pour trouver un produit spécifique, perdent du temps et ne bénéficient pour la plupart du temps d'aucune aide accessible facilement.

Sur un site Ecommerce, si vous avez une question, vous avez la plupart du temps à votre disposition :

– Téléphone
– Tchat
– Mail
– Bot
– FAQ

C'est de l'aide quasi instantané car la volatilité du consommateur en Ecommerce est telle qu'il faut lui apporter de l'écoute, du conseil et cela de manière qualitative et immédiate.

A l'inverse le retail c'est installé dans ce petit confort de la zone de chalandise qui lui garantissait un flux minimum garanti de consommateurs plus ou moins fidèles, mais le constat est amer d'après Capital, le consommateur ne souhaitent plus "déambuler des heures dans les allées à chercher des produits et de sortir avec un caddie rempli”. "Les 20-30 ans eux, sont déjà des adeptes du e-commerce et dépensent 20 % de leur budget en ligne". Tout est dit.

 

CatégorieE-commerceEntrepreneuriatRéférencement (SEO)

Les chiffres clés de l’évolution du Ecommerce en 2017

Le début d'année c'est toujours l'occasion de faire un point sur l'année précédente. En Ecommerce c'est donc aussi l'occasion de revoir l'année écoulée.

Encore une fois en terme croissance, le Ecommerce brille par un +7% en 2017 vs 2016. Le nombre de transactions continu donc de croître année après année, même s'il se tasse un peu.

C'est le secteur de la mode qui subit encore une fois une baisse, certes plus modérée que précédemment, mais la décroissance est de -3% concernant ce secteur très bataillé où les coûts marketing explosent.

Les biens dématérialisés, tels que la billetterie en ligne suivent une progression remarquable à +12%.

Faisons un focus sur l'évolution du Ecommerce mois après mois tout au long de l'année 2017 :

Mois2017 vs 20162016 vs 2015
Janvier+6%+8%
Février+13%+9%
Mars+16%
Avril+10%+10%
Mai+19%+8%
Juin+10%
Juillet+11%
Août+9%+9%
Septembre+7%+6%
Octobre-3%+13%
Novembre+6%+19%
Décembre-7%+12%
Les chiffres clés de l'évolution du Ecommerce en 2017

Le mobile sera un véritable enjeu en 2018, bien davantage que les années précédentes car c'est là que se trouve la croissance présente et à venir.

Même si 2016 avait été une très bonne année sur les mois d'Octobre et Décembre, le recul de 2017 est tout de même préoccupant car les mois de la fin de l'année sont ceux les plus importants en matière de volumétrie et d'attente en matière en croissance.

On note que 36% des transactions ont enregistrées sur mobile, pas de surprise de ce point de vue là en matière d'évolution. 2018 sera l'occasion de mettre l'accent non pas sur le responsive dans sa globalité, mais sur l'UX mobile qui n'est pas encore assez travaillée par les sites Ecommerce. Le mobile sera un véritable enjeu en 2018, bien davantage que les années précédentes car c'est là que se trouve la croissance présente et à venir.

En matière de journée la plus dynamique de 2017, on note que le Black Friday est la journée la plus importante en matière de Ecommerce avec +11% vs 2016.

Source : Webloyalty Panel

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

Site Ecommerce : Oscaro dans la tourmente, Autodistribution sur les rangs ?

Site Ecommerce : Oscaro dans la tourmente, Autodistribution sur les rangs ?

La presse spécialisée rapporte qu’Oscaro rencontrerait des difficultés, le leader Français du Ecommerce de la pièce détachée auto aurait des problèmes importants de trésorerie. (lire l’article en suivant ce lien).

Un incident de paiement est aujourd’hui à déplorer, Oscaro vient d’être condamné à payer un de ces fournisseurs car le plan de paiement n’avait pas été respecté. Suivez ce lien pour lire l’article en question.

La concurrence en matière de distribution de pièces auto en ligne est féroce et très gourmande en cash flow. Par ailleurs c’est un métier difficile car le nombre de références est colossal et il est juste impossible pour un acteur de ce marché de tout stocker. Résultat, certains clients sont parfois insatisfaits et n’hésitent pas à le faire savoir non seulement sur les réseaux sociaux mais aussi sur les sites d’avis clients ce qui n’aide pas vraiment à rassurer le consommateur.

Là où cela devient compliqué c’est lorsque les clients parlent de remboursements qui traînent plusieurs semaines voir davantage :

Site Ecommerce : Oscaro dans la tourmente, Autodistribution sur les rangs ?
Site Ecommerce : Oscaro dans la tourmente, Autodistribution sur les rangs ?
Site Ecommerce : Oscaro dans la tourmente, Autodistribution sur les rangs ?
Site Ecommerce : Oscaro dans la tourmente, Autodistribution sur les rangs ?

Les fournisseurs commencent également à délier leur langue parlant de plusieurs millions d’euros d’impayés (source : ) ce qui n’est pas pour rassurer le marché.

Oscaro est le leader Français et il paraît peu probable que la société se retrouve en procédure collective sans qu’un acteur important du marché automobile ou du Ecommerce ne se positionne rapidement pour reprendre l’entreprise ou ses actifs.

Car aujourd’hui il n’est plus impossible de voir des fleurons du Ecommerce se retrouver en difficulté, voir de déposer le bilan. Menlook dont plus personne ne parle aujourd’hui et malgré des dizaines de millions d’euros de levés a été mit en liquidation judiciaire l’année dernière sans que personne n’en parle alors même que la presse spécialisée se targuait de ses levées de fonds records mois après mois.

Puis le consommateur ne fait pas de sentimentalisme envers une enseigne du web, une fois le rideau tombé, il recherche simplement un autre distributeur, toujours à portée de clic.

La rentabilité en Ecommerce est très difficile et non seulement le business model doit à moment ou à un autre faire ses preuves (le plus rapidement possible), mais il doit être pérennisé au plus vite !

Ce que trop de sites Ecommerce oublient c’est qu’un magasin en ligne ce n’est pas un magasin physique et que même si la zone de chalandise est bien plus importante, elle est complètement volatile par rapport au retail. En Ecommerce le client est à un clic de la concurrence alors que dans le retail c’est tout de suite plus complexe de changer d’enseigne de part la distance géographique plus ou moins importante mais bien réelle et les habitudes du consommateur.

Autre point, le Ecommerce est toujours à la pointe en matière de technologies et de méthodes marketing, pourtant chez Oscaro il n’y a pas, aujourd’hui, le minimum requis : Programme de fidélité inexistant, newsletters passives, pas de dynamique commerciale puissante etc… (pas d’utilisation d’On Site non plus, ergonomie du site à revoir…) le chantier s’annonce important sur ces points.

D’après l’article évoqué au début de ce post, Autodistribution serait en lice pour reprendre le purplayer en laissant « gonfler » la dette d’Oscaro (via Autodis). Il faut dire qu’Autodistribution y trouverait un moyen de moderniser son mode de distribution, la digitalisation des magasins étant un peu à la peine et certaines méthodes de l’enseigne parfois un peu archaïques.

Des synergies évidentes existent entre Oscaro et Autodistribution

Les synergies sont pourtant évidentes entre le groupe Autodistribution et Oscaro. D’une part Autodistribution s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels, d’autre part le réseau de magasins Autodistribution permettrait des points d’emport pour les clients d’Oscaro et l’accès à des centres de montage (certains magasins Autodistribution bénéficiant d’un CTA).

Cela amènerai également plus de trafic qualifié en point de vente Autodistribution accroissant les volumes et une image forte, restaurée pour Oscaro appuyée sur l’enseigne Autodistribution.

C’est également sans compter sur les marques en propre du groupe Autodistribution qui pourraient être distribuées à terme sur Oscaro. Nous sommes bien entendu pour l’instant dans le fantasme, mais comme tout marché la concentration est inévitable et les plus faibles avalés par les plus forts qui plus est dans la situation supposée d’Oscaro.

Pour Autodistribution* cela amènerait :

  1. Une meilleure maîtrise des prix
  2. Un accroissement des volumes (notamment en magasin)
  3. Une restauration des marges par effet de levier et de consolidation du marché
  4. Une amélioration de l’UX (BtoB) avec les bases de données puissantes
  5. Une mutualisation des bases et des coûts logistiques
  6. Une modernisation des canaux de distribution
  7. Un futur réseau avec des enseignes Oscaro (?)

etc..

Le rachat d’Oscaro en 2018 serait un évènement en matière de Ecommerce en France et sur le marché de la distribution auto.

Sources : Journal Auto, Autodis group, Custplace, Twitter, Décision Atelier

*Autodistribution est une filiale d’Autodis Group (qui détient entre autre Mondial Parebrise, ACR, IDGARAGES, 123 autoservice….etc…).

Publicité :

MAJ du 18/09/2018

Oscaro annonce une levée de fonds de 30 Millions d’euros (voir l’article ci-après) et d’après les professionnels du secteur c’est bel et bien Autodistribution (Autodis group) qui entre au capital d’Oscaro.

Cette annonce vient à point pour stopper les rumeurs relatives aux difficultés d’Oscaro.

Toujours d’après l’article des Echos, Oscaro enregistrait une perte de -7 Millions d’euros en 2017 et renoue avec les bénéfices en 2018 avec un Ebitda positif de près de 4 millions d’euros sur le premier semestre pour un C.A de 162 Millions d’euros sur la même période.

MAJ du 19/09/2018

Autodistribution confirme sa prise de participation dans Oscaro

DERNIÈRES ACTUALITÉS CONCERNANT OSCARO :

OSCARO en passe d’être racheté par Autodistribution ou c’est la mise en liquidation judiciaire

Oscaro serait en état de cessation des paiements et son fondateur limogé

Oscaro lève 30 Millions d’euros, Autodistribution à la manoeuvre ?

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

DOTNET recherche Développeur/euse PHP sur Nantes

DOTNET recherche Développeur/euse PHP sur Nantes

Dans le cadre d'un stage conventionné dont la durée est à définir ensemble, vous intégrez le service IT en tant que développeur web PHP pour travailler sur nos applications, services web et Ecommerce à destination de nos clients.

 

Vous souhaitez approfondir vos connaissances en matière de PHP et avez déjà des bases solides.

 

Vous serez encadré et accompagné par un développeur confirmé au sein même du service IT qui sera votre référent tout au long de votre stage.

 

Envoyez CV, LDM, Portfolio à [email protected]

 

Stage rémunéré

Lieu : Nantes

Adresse : 2 rue Robert le Ricolais – 44300 Nantes

CatégorieE-commerceEntrepreneuriat

Nuit des Favor’i Ecommerce, découvrez le palmarès de cette année.

Comme chaque année se tient la cérémonie des Favor'i organisée par la FEVAD la Fédération du Ecommerce et de la Vente A Distance. Avant de découvrir le palmarès voici comment ces prix ont été attribués :

"Ces Prix sont attribués sur la base d’un sondage exclusif réalisé par Médiamétrie pour le compte de la Fevad auprès d’un échantillon représentatif de la population des internautes français. Les sites sont notés par les internautes en fonction de critères précis. Seuls peuvent participer les internautes ayant commandé sur le site évalué. Les lauréats sont déterminés en fonction de la note moyenne obtenue dans la famille de produits ou services correspondante. Le Prix du site de l’année est attribué au site ayant obtenu la meilleure note globale des internautes, toutes catégories confondues."

Nuit des Favor'i Ecommerce, découvrez le palmarès de cette année.

Ainsi c'est Yves Rocher qui obtient le Grand prix du site Ecommerce de l'année toutes catégories confondues.

Nuit des Favor'i Ecommerce, découvrez le palmarès de cette année.

Découvrez le site du Lauréat en suivant ce lien.

Nuit des Favor'i Ecommerce, découvrez le palmarès de cette année.

Pour les autres résultats les voici catégorie par catégorie dans l'ordre d'arrivée :

Lauréats Mode

1er – Asos

2ème – Bon Prix

3ème – Sarenza

 

Lauréats Meubles et décoration

1er – Ikea

2ème – Leroy Merlin

3ème – Becquet

 

Lauréats Alimentation et PGC

1er – Chronodrive

2ème – Nespresso

3ème – Picard

 

Lauréats Réservations séjours et Hébergement

1er – Accorhotels

2ème – Booking

3ème – Vente Privee

 

Lauréats Beauté Santé

1er – Yves Rocher

2ème – Dr Pierre Ricaud

3ème – Sephora

 

Lauréats Produits techniques et électroménager

1er – Amazon

2ème – Ubaldi

3ème – Cultura

 

Lauréats Plateformes

1er – Bla Bla Car

2ème – Doctolib

3ème – Amazon

 

Lauréats BtoB

1er – OneDirect

2ème – Raja

3ème – Bernard

 

Lauréats Prix Espoir

1er – BackMarket

2ème – Tediber

3ème – Poissonnerie.com

Tous les résultats sont à retrouver sur le site de la Fevad.

 

CatégorieE-commerceEntrepreneuriatRéférencement (SEO)

Test consommateur : Focus sur le site Ecommerce WebDealAuto spécialiste de la pièce auto

WebDealAuto est une enseigne Ecommerce connue du grand public Français à l'instar d'Oscaro ou Mister Auto dans la distribution de pièces détachées auto.

En Ecommerce l'UX doit être la plus enthousiasmante possible, la plus simple, la plus aboutie quel que soit le secteur d'activité.

En ce qui concerne WebDealAuto, la home est plutôt moderne, et propose un moteur de recherche par véhicule, par plaque d'immatriculation, par carte grise ou encore un moteur de recherche libre dans le header :

 

Webdealauto

Webdealauto

Ce dernier n'est d'ailleurs pas très efficace car il n'y a pas d'auto suggest avec vignette et les résultats sont inexistants la plupart du temps ou non pertinents :

Résultats de recherche sur Webdealauto

Résultats de recherche sur Webdealauto

Le menu du header n’a pas d’intérêt car dans tous les cas il convient de sélectionner votre véhicule pour avoir la/les pièces appropriées :

 

Test consommateur : Focus sur le site Ecommerce WebDealAuto spécialiste de la pièce auto

 Pour la pièce je suis à la recherche d'une glace de rétroviseur droite pour un Cayenne. J'entre donc les informations relatives au véhicule pour obtenir la liste des pièces :

Résultats de recherche

Résultats de recherche

La navigation semble assez simple grâce aux onglets par famille de produits. En cliquant sur l'onglet "carrosserie" je trouve facilement les glaces de rétroviseurs. En revanche il serait préférable d'avoir un vrai moteur de recherche libre dans le header où entrer la pièce que l'on recherche et avoir un autosuggest avec vignettes (comme évoqué précédemment), notamment pour les personnes novices en automobile, une clientèle à ne pas négliger.

Moteur de recherche header et résultats

Moteur de recherche header et résultats

Même une fois le véhicule renseigné, il n'est pas chose aisée que d'utiliser un moteur de recherche par mots-clefs, il y a un vrai travail à faire sur l'exploitation des bases de données :

Moteur de recherche

Moteur de recherche

Le listing produits est simple, sans fioritures mais peu vendeur, on regrette le manque de photos des produits notamment lorsqu'il y a plusieurs modèles ou plusieurs montages pour un même véhicule :

Listing produits

Listing produits

Chose importante le délai de livraison, il est précisé 24/48 heures, or si l'on clique sur le détail, un message s'affiche : 

Message d'information de délai livraison sur le site WebDealAuto

Message d'information de délai livraison sur le site WebDealAuto

Lorsque je souhaite passer commande, nous sommes le Mardi 28 Novembre 2017 à 14h00. Par conséquent, WebDealAuto doit recevoir la pièce au plus tard le Jeudi 30 Novembre 2017 pour un départ le jour-même ou le Vendredi matin.

Je dois donc recevoir mon colis au plus tard le samedi 2 Décembre ou encore le Lundi 4 Décembre si la logistique n'est pas optimisée.

Normalement, si ce n'est pas en stock, je ne commande pas, mais là au vu du nombre de références au catalogue (500 000), il est normal qu'il n'y est pas tout en stock.

Pour avoir remplacé l'autre glace de rétroviseur de l'autre côté, cette fois là commandée sur MisterAuto, les délais annoncés étaient davantage écourtés. A savoir, commande le 4 Septembre 2017 à 18h12, expédition le 6/09 et livraison le 7 Septembre au matin :

Vue du compte client MisterAuto

Vue du compte client MisterAuto

Site de Chronopost

Site de Chronopost

Justement en matière de stock, il faut tout de même un minimum pour livrer rapidement ses clients, et la société WebDealAuto a très peu de stock comme en témoigne les derniers comptes publiés de la société :

 

Comptes Webdealauto publiés au grand public - Source : Societe.com

Comptes Webdealauto publiés au grand public - Source : Societe.com

Les stocks ont été divisés par 3 en 12 mois, certes les chiffres ont plusieurs années,  mais cela peut tout de même être inquiétant. Gardons confiance, nul doute que la logistique est rodée pour l'approvisionnement rapide des produits hors stock.

Débute alors le processus de commande plutôt bien fait pour cette première étape avec les produits complémentaires :

 

Produits complémentaires

Produits complémentaires

Les choix de livraison sont vastes et les modes de paiement également, seule une date de livraison garantie manque pour améliorer le taux de conversion et rassurer l’internaute :

Test consommateur : Focus sur le site Ecommerce WebDealAuto spécialiste de la pièce auto

On retrouve la commande sur le compte client avec son statut :

Test consommateur : Focus sur le site Ecommerce WebDealAuto spécialiste de la pièce auto

La commande étant validée au 28/11/2017, il ne reste plus qu'à attendre la livraison.

Les jours passent et aucune livraison, pire dans le compte client la commande n'a pas évoluée et reste ainsi :

 

Vue du compte client sur Webdealauto

Vue du compte client sur Webdealauto

Le 2 Décembre je me décide à envoyer un mail car la commande n'a toujours pas été expédiée, et donc WebDealAuto est totalement hors délai (voir les données plus haut).

L'interface permet de contacter facilement le support pour avoir un suivi de commande ou gérer une problématique diverse :

Interface de support Webdealauto

Interface de support Webdealauto

Voici les différents échanges par mail avec le support client de WebDealAuto disponible depuis le compte client :

 

Echanges client/support Webdealauto

Echanges client/support Webdealauto

Pour résumer :

28/11/2017 : Commande validée en début d'après-midi

29/11/2017 : Aucune évolution

30/11/2017 : Aucune évolution

01/12/2017 : Aucune évolution

02/12/2017 : Aucune évolution

Demande de suivi par mail :

"Bonjour, 

Pourriez-vous m'informer du suivi de cette commande, à savoir sa date d'expédition ? 

Merci à vous"

03/12/2017 : Réponse indiquant qu'une commande est en cours chez le fournisseur et qu'ils devraient recevoir la marchandise sous 24/48h :

"Cher client, 

Le produit a nécessité un passage de commande auprès de notre équipementier 
Dès réception, sous 24/48h, votre commande sera acheminée 

Cordialement,"

03/12/2017 : Demande de complément d'information suite à leur réponse :

"Quand pensez-vous recevoir la pièce ? La commande datant de Mardi dernier vous auriez du recevoir la pièce au plus tard Jeudi ou vendredi de la semaine dernière. 

Merci de votre retour. 

Cordialement."

04/12/2017 : Réponse du service client (quelque peu évasive vous en conviendrez) :

"Cher client, 

Nous avons réceptionné le produit 
Votre commande quittera notre entrepôt dans les plus brefs délais 

Cordialement,"

04/12/2017 : Je suis informé que la commande est prête et que j'aurai le numéro de suivi "sous peu" :

 

 

 

Message de Webdealauto indiquant que la commande est prête

Message de Webdealauto indiquant que la commande est prête

Publicité

 

Effectivement dès le soir arrivé, un numéro de suivi est disponible depuis le compte client, voici donc le trajet du colis jusqu'à sa livraison :

Suivi Colissimo expédition WebDealAuto

Suivi Colissimo expédition WebDealAuto

Pour rappel concernant les délais annoncés sur la fiche article du site Webdealauto :

Ainsi la commande aurait du arriver au plus tard le 2 Décembre, elle est arrivée le 6 Décembre soit 8 jours après sa validation.

La promesse client n'est pas tenue, ou du moins l'indication du délai sur la fiche article n'est pas conforme à la réalité. Là où c'est dommage, c'est que pour cette commande, je cherchais un prix et non un délai.

C'est à dire que pour le produit en question, WebDealAuto m'offrait la livraison gratuite et leur tarif était 10€ moins cher que tous les autres sites internet, j'aurai simplement souhaité avoir un délai de livraison fiable.

Pour le reste de la prestation, ce site Ecommerce soigne ses envois, le colis et la pièce commandée sont en parfait état :

Vue extérieure du colis Webdealauto

Vue extérieure du colis Webdealauto

Bon de livraison de la commande Webdealauto

Bon de livraison de la commande Webdealauto

Ouverture du colis

Ouverture du colis

La pièce commandée sur Webdealauto est parfaitement conforme à la commande

La pièce commandée sur Webdealauto est parfaitement conforme à la commande

Pour conclure, je recommanderai sur WebDealAuto sans hésiter, mais en sachant que pour un produit hors stock il faudra être un peu plus patient 😉

Sur le marché de la pièce détachée auto, il est très compliqué pour des sites Ecommerce indépendants qui ne disposent pas de centrale d'achats, de stocks réellement importants, et/ou qui travaillent en dropshipping, de rivaliser avec les grosses enseignes qui mettent de gros moyens pour raccourcir les délais d'acheminement et améliorer au final l'expérience utilisateur.

CatégorieEntrepreneuriat

5 points clés pour embaucher 1 salarié dans votre entreprise

Dans toute entreprise la première embauche est toujours synonyme de démarches compliquées dans l’esprit du dirigeant car pour la plupart ils ne savent pas comment procéder.

Vous avez trouvé le collaborateur qu’il vous faut ? Un commercial ? Un développeur ? ou tout autre profil nécessaire à la croissance et à la réussite de votre entreprise ?

Alors ne gâchez pas tout en ne respectant pas ces 5 points essentiels relatifs à l’embauche d’un salarié :

1. La DPAE (Déclaration Préalable à la Première Embauche) ou DUE, facturée jusqu’à 90€HT par certains prestataires, vous pouvez en faire l’économie car il n’est pas très difficile d’effectuer cette formalité lorsque vous avez réunis tous les éléments nécessaires. Vous pouvez suivre ce lien pour accomplir cette formalité directement sur le site de l’URSSAF.

2. Le contrat de travail, qu’il s’agisse d’un CDD ou d’un CDI il s’agit de protéger les intérêts de chacun autour d’un contrat réunissant l’ensemble des informations relatives au poste, au salarié, à l’entreprise, aux modalités d’exécution, de rupture… etc. Pour faire simple, il existe par exemple un site dédié à la rédaction automatique d’un contrat de travail, il suffit de remplir les champs demandés pour obtenir immédiatement un contrat de travail en bonne et due forme. Vous obtenez un document légal et conforme à la législation en vigueur à signer et à faire signer par votre salarié. Notez qu’il est important de prévoir une éventuelle clause de non concurrence, de mobilité…etc.. le site répond à l’ensemble des cas de figure que vous pouvez être amené à rencontrer.

5 points clés pour embaucher 1 salarié dans votre entreprise

3. La visite médicale ou « Visite d’Information ou de Prévention » n’est pas là pour définir si un salarié est apte ou inapte à son poste de travail mais plutôt pour cerner son état de santé général, de l’informer des risques relatif à son emploi, des moyens de prévention à mettre en oeuvre…etc…

Concernant la partie médicale, pensez également à souscrire une mutuelle à proposer à votre salarié et autres avantages sociaux (ex:prévoyance) régis par la législation ou par la convention collective en vigueur dans votre entreprise (voir ci-dessous).

4. Les différents documents juridiques et sociaux : Registre du personnel, document unique et affichage obligatoire… etc…

Tenir un registre du personnel est obligatoire, il peut être électronique ou physique, dans un registre prévu à cet effet. Il convient également d’y recenser les stagiaires.
 

5 points clés pour embaucher 1 salarié dans votre entreprise

Le document unique :

L'élaboration et la mise à jour de ce document est obligatoire à tout employeur dont l'entreprise emploie au moins un salarié. Il résume les différents risques auxquels peuvent être exposés les salariés sur leur lieu de travail.

L'affichage obligatoire comporte différents éléments à placer à la vue du salarié et notamment :

Les coordonnées de l'inspection du travail, de la médecine du travail, les consignes en cas d'incendie, la convention collective, les horaires de travail, toute information relative aux interdictions particulières… etc.. etc…

Vous devez également disposer d'un exemplaire de la convention collective de votre entreprise à disposition de vos collaborateurs afin qu'ils puissent la consulter quand ils le souhaitent.

5. La fiche de paie

Elle est bien entendu obligatoire pour tous les salariés dans les entreprises françaises. La fiche de paie est toujours aussi complexe à élaborer à mesure que la législation du travail évolue.

Indispensable tant pour l'employeur que pour l'employé son édition coûte entre 25€HT et 75€HT chaque mois, par salarié en fonction des prestataires et cela sans compter les frais de dossier initiaux.

Vous trouverez une solution SaaS (aucune installation de logiciel requise, compatible tous OS) clé en main en suivant ce lien à partir à 7,90€Ht/fiche de paie, tout comprit avec support client : Mail, Tchat et téléphone.

C'est assurément beaucoup moins cher et la fiche de paie créée est tout aussi conforme à la législation en vigueur avec les dernières obligations légales notamment concernant la DSN.

Embaucher un salarié en France est simple, mais il faut connaître les éléments qui s'y rattachent en amont et les comprendre afin d'externaliser le moins possible la partie sociale qui serait alors rapidement onéreuse.

publicité :

 

Haut de page

Blog Entrepreneur du E-commerce