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Grâce à un site Ecommerce : l’exit-intent, l’abandon du panier n’est plus une fatalité

Vous avez toujours rêvé de convaincre les indécis, de diminuer votre taux d’abandon panier, de rentabiliser davantage chaque visite sur votre site ? Avec les outils d’exit-intent, vous avez peut-être trouvé le Graal pour votre business.

Le principe de la technologie

L’exit-intent est un outil qui permet d’afficher une pop-up à un internaute qui aurait l’intention de quitter votre site. La technologie repose sur un code javascript, et se sert également des navigateurs, pour détecter les mouvements de la souris, afin de réagir lorsque celle-ci quitte la zone de l’écran.

L’intérêt est de pouvoir réagir avant que le visiteur ne soit parti. L’intention d’abandon se caractérise par 3 cas de figure : le clic sur le bouton « précédent » du navigateur, la fermeture de la fenêtre en cours, ou le clic sur l’un des favoris du navigateur.

Ces 3 situations peuvent être anticipées. La technologie d’intention d’abandon repose précisément là-dessus : avant qu’il n’ait le temps de cliquer, l’outil déclenche l’apparition d’une pop-up dont le but est de retenir l’internaute.

Il est clair qu’un tel outil ne peut réellement fonctionner qu’en étant très rapide, sous faute de départ effectif de l’internaute. Nous parlons ici de quelques millisecondes qui pourraient nous faire rater le coche…

C’est pourquoi cette technologie a été affinée pour réagir le plus rapidement possible. Préchargé sur votre site, le script s’exécute au quart de tour lorsque la souris quitte la zone cible.

C’est donc sur un principe relativement simple que repose la technologie de l’exit-intent. La taille, le look et le contenu de la pop-up sont des éléments secondaires qui varient en fonction des stratégies utilisées. Car une fois l’outil en main, c’est en effet à vous de jouer pour tirer votre épingle du jeu. En fonction de votre habileté, les taux de conversions peuvent être améliorés de 1% à 10%.

Du simple coup de pouce au véritable coup de maître

Outil aux multiples facettes, l’exit-intent présente plusieurs avantages.

D’abord, un avantage évident : l’internaute étant déjà sur le site, pas de coût d’acquisition supplémentaire. Il s’agit en effet de rentabiliser au maximum chacune des visites, en repoussant sa fin tant que celle-ci n’a pas débouché sur une action souhaitée, c’est-à-dire, dans la plupart des cas, une conversion.

Le fait d’éviter jusqu’à 10% des abandons panier grâce à un simple message est séduisant. En effet, en donnant une seconde chance aux internautes qui n’ont pas fini leurs achats, l’outil augmente mécaniquement les taux de conversions, et par conséquent diminue le coût par visite. Ainsi, chaque campagne marketing sera considérée comme plus rentable, grâce à ce coup de pouce discret et à moindre frais.

Car tout l’intérêt réside dans le fait de miser sur une visite existante plutôt que de dépenser un budget marketing supplémentaire pour acquérir de nouveaux visiteurs, qui ne connaissent pas encore votre marque.

L’outil a un autre grand avantage : il s’installe à vitesse grand V. Une fois le code javascript inséré dans les pages cibles, la magie est prête à opérer.

Cette technologie est souvent associée à une plateforme permettant de gérer ses pop-ups. Souvent intuitive, elle donne aussi la possibilité de réaliser des tests A/B. Ce qui permet, au lieu de passer des heures en réunion, de comparer directement les différents messages et de relever celui qui est le plus percutant, chiffres à l’appui.

Faut-il envoyer un message sensuel ou drôle pour votre nouveau produit ? Pour en avoir le cœur net, il suffit de lancer 2 pop-ups distinctes, réparties équitablement sur votre trafic, sur une durée suffisante pour vous persuader de la véracité du résultat. Ainsi, vous pouvez aussi économiser les frais d’une société d’A/B testing, puisque ces pop-ups se chargent de tester vos argumentaires, au moment le plus stratégique. Ça passe, ou ça casse…

Un outil, des milliers de stratégies

Alors comment un site ecommerce ou un blog peuvent-il se servir au mieux de cette technologie, et faire en sorte que leurs visiteurs restent un peu plus longtemps sur leurs sites, pour finalement convertir ?

D’abord, cet outil offre une excellente opportunité de répéter son argumentaire, une répétition qui suffit parfois à convaincre ceux qui hésitent. L’argument de vente peut donc être redit, ou renforcé, afin d’atteindre son objectif.

Mais il peut s’avérer judicieux de choisir un autre type de message. Car il y a fort à parier que si l’internaute veut partir, c’est qu’il n’a justement pas été convaincu par les arguments qu’il a vu jusqu’à présent. Alors, c’est l’occasion de lui dire, que certes, votre produit est le meilleur du marché, mais c’est aussi le moins cher. Voici une série d’exemples, illustrés à partir de mQment.

Une utilisation qui a fait ses preuves est la mise en avant d’une offre spéciale. En effet, le prix reste l’un des critères d’abandon du panier les plus évidents. Dans ce cas, une promotion ou un code de réduction est probablement ce qui faut pour finaliser la vente.

<image gif abandon panier>

Une autre piste de réflexion pour les e-commerçants réside dans le fait que, si le visiteur souhaite partir, c’est peut-être parce qu’il n’a pas trouvé ce qu’il voulait. Et pourtant, le produit de ses rêves se trouve peut-être bien dans l’inventaire du site, mais bien caché dans son arborescence. L’idéal est donc de lui suggérer, à ce moment précis, un produit différent que celui mis au panier, mais plus en phase avec ses attentes.

Pour les blogueurs ou les sites medias, l’outil peut de la même manière valoriser les poursuites de visites, sous la forme « Vous avez lu cet article ? Eh bien, cet article-ci pourrait bien vous plaire. » Sur l’idée de produits connexes, une mise en avant bien sentie aura l’effet d’augmenter les pages vues.

Enfin, l’une des techniques les plus prisées est la récupération d’adresse email. Nous savons bien que les campagnes d’email marketing sont dans bien des cas très rentables. Elles apportent des visites de qualité à moindre frais, et convertissent généralement légèrement mieux que les autres sources. Alors pourquoi ne pas profiter de cette opportunité pour récupérer des adresses emails ? L’internaute est en effet dans une situation où psychologiquement, il est déjà impliqué dans votre marque (après tout, il s’est rendu sur votre site), mais ne veut plus aller plus loin (pour le moment). Alors plutôt que de le submerger avec des offres à gogo, une approche plus subtile consiste à lui demander simplement son adresse email, pour « rester en contact », et pouvoir en faire un client sur le long terme.

Cependant, un bémol : des études sur les techniques d’exit-intent ont montré qu’il vaut mieux ne pas être trop gourmand, et choisir un objectif principal : la collecte d’emails, ou la vente. Le fait de proposer les deux serait légèrement contre-productif. Car il faut garder à l’esprit qu’au moment de partir, l’internaute est déjà probablement saturé, et ne veut pas être trop sollicité.

La simplicité du message est donc de mise pour un maximum d’efficacité.

L’outil répond donc à une variété de besoins que tout gestionnaire de site ecommerce ou de blog rencontre un jour ou l’autre, s’il se pose un minimum de questions. Alors, quelle que soit la technique utilisée, à vous de trouver le bon dosage pour atteindre vos objectifs.

L’auteur : Samuel Roy

CEO et co-fondateur de mQment.com, il parle régulièrement de webmarketing et des usages de son service sur son blog ecommerce

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1855.com est en liquidation judiciaire son patron condamné à 150 000€ d’amende

J'en parlais ici le site Ecommerce 1855.com a été placé en liquidation judiciaire suite à de nombreuses plaintes de clients non livrés et qui n'avaient pas été remboursés. Certains affirment qu'il s'agissait d'une "pyramide de ponzi" ou encore d'une "escroquerie à la Madoff", des mots très durs envers ce site internet qui restais de part son activité dans la légalité la plus totale.

Là où il y a eu un vrai soucis c'est sur les chiffres, car son patron, vient d'être condamné à 150 000€ d'amende par l'autorité des marchés financiers (source: Capital Avril 2015). Un énorme revers pour ce patron de 40 ans qui comme tout le monde le sait en cas de liquidation n'a pas le droit à l'assurance chômage.

Comment rebondir pour lui après cela ? Plus de revenu et une énorme amende à payer.

C'est dommage surtout très triste pour les 50 collaborateurs que comptait la société.

Le site internet n'est d'ailleurs plus en ligne ce qui laisse peu de chance à des repreneurs éventuels pour se positionner sur le dossier 1855.com

1855.com est en liquidation judiciaire son patron condamné à 150 000€ d'amende
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Joomladay 2015, un évènement à ne pas manquer dans le Ecommerce

Cette année le Joomladay se passe à Nice sur la côte d'azur les 9 et 10 Mai 2015, l'occasion d'échanger autour de ce logiciel et pour les responsables de sites Ecommerce de discuter de Virtuemart.

Une grande soirée est organisée le samedi soir pour que les utilisateurs de Joomla puissent échanger plus facilement ensemble. Le programme sera autant adapté aux débutants qu'aux utilisateurs avancés.

Joomladay 2015

Joomladay 2015

Alors foncez prendre vos places ici !

Pour ceux qui ne connaissent pas Joomla ou souhaitent tout simplement approfondir leurs connaissances, voici un bouquin consacré au sujet à acheter ici.

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Nouvelle pub Speedy… Avec un esprit décalé

J’adore les pubs qui ont un esprit un peu décalé, les pubs pour Sixt en sont un parfait exemple, souvenez-vous également de la pub pour 118 218 avant l’ouverture du marché des renseignements téléphoniques. Chacun se demandait ce que c’était que cette pub qui n’avait rien à vendre. C’est ça le marketing !

J’ai jeté mon dévolu sur la dernière pub Speedy que je trouve plutôt sympa.

Vidéo supprimée.

C’est clair que l’on ne va pas chez eux pour le café !

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Newsletter Ecommerce comment la tester efficacement afin d’améliorer sa délivrabilité ?

Un site Ecommerce qui ne fait pas de newsletter ce n'est pas un site Ecommerce !

En moyenne il est conseillé de router une newsletter 2 fois par semaine, 1 fois en début de semaine et l'autre le Vendredi pour le Week-End. Une opération sur des produits ou des familles de produits est plutôt recommandée pour la newsletter du début de la semaine et une opération de promotion sur l'ensemble du site pour le Week-End, il est même chaudement recommandé de faire un dernier rappel le Dimanche matin concernant l'opération du Week-End.

Seulement voilà, avec le temps les FAI ont durcis les conditions pour atterrir en boîte de réception et non en Spam à l'instar de Gmail qui propose par défaut ces fameux onglets : Promotions, réseaux sociaux… qui nuisent à la lecture de vos newsletters.

Dieu sait (ou pas ! S'il n'a pas internet là haut! 😉 que les newsletters amènent la rentabilité pour un site Ecommerce. Vous achetez un client, un lead avec Google Adwords, avec un concours, ou encore avec les comparateurs de prix, l'affiliation, tout cela a un coût, pour monétiser l'achat de ces clients, il convient de router une newsletter sur cette nouvelle base d'abonnés afin de rentabiliser votre base de données et vos achats marketing.

Un client qui vous a coûté 10€ à l'achat, verra son coût divisé par deux s'il recommande ensuite avec la newsletter, donc les newsletters sont essentielles pour rentabiliser vos investissements marketing.

Seulement, il ne faut pas router à la légère et avec n'importe quel logiciel de routage. Les boîtes comme Emailvision sont clairement là pour vous vendre de l'emailing au prix fort, certes, ils font très bien leur travail, mais pour les avoir utilisés pendant plusieurs années dans la boîte que j'avais créée il y a 8 ans, je m'étais rendu compte que c'était tout de même cher payé pour ce que cela était.

C'est ainsi que nous avions développé un module qui nous permettait de router en respectant les règles des FAI afin de ne pas arriver en Spam, même sur Gmail.

Au delà de cela, je vous ai trouvé un site qui vous permet de tester GRATUITEMENT et en amont la qualité de votre newsletter et donc par delà sa délivrabilité en boîte mail et non en Spam.

Alors Emailvision propose cela depuis des années mais c'est payant, là c'est gratuit.

Donc pour résumer, vous prenez un serveur dédié chez OVH à 5€HT/mois pour le routage, vous greenlisté l'adresse IP du serveur en question auprès des FAI, vous routez avec un nom de domaine neutre (différent du vôtre) et vous tester en amont votre newsletter, et là vous arrivez à arriver en boîte de réception. (Pour les règles des FAI notre module permet de router XX mails/ heures) ce qui permet de ne pas être considéré comme spammer.

Alors pour mon bon plan, voici : https://www.mail-tester.com/

Newsletter Ecommerce comment la tester efficacement afin d'améliorer sa délivrabilité ?

Ajoutez simplement l'adresse Email générée par Mail Tester à votre liste d'adresses de test et routez en test. Vous aurez aussitôt accès aux statistiques de votre Newsletter avec une notation sur 10. C'est simple et rapide et cela vous évitera de tomber en Spam.

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Ecommerce : l’affiliation, tout ce qu’il faut savoir…

Un levier marketing important en Ecommerce c'est l'affiliation, une régie que je plébiscite depuis longtemps c'est NetAffilation. D'une part ils sont les seuls à vous permettre de faire du VRAI retargeting avec Critéo au CPA, d'autre part NetAffilation c'est la plus grosse régie d'Europe en matière d'affiliation.

Alors pour ceux qui ne savent pas ce qu'est l'affiliation, c'est très simple et cela fonctionne majoritairement au CPA ( 1vente = 1 commission ). Il faut également comprendre la notion d'annonceur (site Ecommerce) et celle de diffuseur ( Blog, sites de contenus éditoriaux….).

Bref afin d'avoir du trafic sur votre site Ecommerce et des ventes, il convient de passer par une agence d'affiliation digne de ce nom.

Cela vous amènera mathématiquement des ventes, des abonnés et donc du business. Reste à choisir la bonne et à opter pour les bons leviers qu'ils proposent.

Ecommerce : l'affiliation, tout ce qu'il faut savoir...

Ces leviers sont les suivants :

– Comparateurs de prix à la performance
– Site éditoriaux ou blog à fort contenus
– Codes de réduction ( voir Radins.com)
– Backlinks sponsorisés (Attention au SEO)
– Emailing sur les bases des diffuseurs
– Affichage de bannières sur des milliers de sites en rapport avec votre secteur d'activité
– Retargeting ( Avec Critéo, notamment au CPA chez NetAffiliation)

Tout cela pour dire que l'affiliation est indispensable pour développer votre Ecommerce et son C.A.

Au départ, il vous appartient de fixer un pourcentage de commission reversé aux diffuseurs pour chaque vente effectuée. Sur le marché, en général c'est entre 2 et 25% du montant de la vente en fonction du diffuseur, de sa qualité et de VOTRE secteur d'activité (marge).

Ensuite il convient d'animer votre réseau de diffuseurs avec des commissions variables en fonction du C.A qu'il vous rapporte et d'apporter des offres promotionnelles en corrélation avec la demande des consommateurs.

Enfin en Ecommerce, notamment sur le marché des pieces moto, il convient de choisir attentivement votre régie d'affiliation.

Bonne soirée @ vous !

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Zoom sur Shopzilla – Comparateur de prix – Site Ecommerce



Zoom sur Shopzilla - Comparateur de prix - Site Ecommerce

Non les mecs arrêtez deux minutes chez Shopzilla de boire ou de fumer. Vous demandez une enchère minimum de 0,55€/clic, c'est une blague ? Certainement une plaisanterie ? Ah Non c'est sérieux ? Là où le CPC est de 0,15€/clic sur la majorité des comparateurs de prix.

Décidément il existe des comparateurs de prix qui ne sont PAS su tout en phase avec la réalité du marché des comparateurs de prix et du secteur d'activité.

Shopzilla est déphasé, en dehors des clous par rapport à la réalité du marché. Nous refusons catégoriquement de bosser avec eux.

C'est pas sérieux, et le support est juste déplorable, pas pro, ils rappellent pas et leur interface est juste à vomir avec des bugs dans tous les sens, suivez mon conseil : FUYEZ !

A bon entendeur ! 

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Livraison de produits en Ecommerce : cadre législatif et bonnes pratiques

E-commerçants, une grosse partie de votre travail consiste à optimiser la logistique et l’envoi des colis à vos clients. Ces livraisons impliquent des enjeux de délais, de politique de retours et de disponibilité des stocks. Nous revenons ici pour vous sur les enjeux réglementaires de ce sujet, et partageons des bonnes pratiques.

De manière générale, si vous voulez assurer une satisfaction client élevée et créer de la fidélité (nouvelles commandes), votre gestion des colis doit être impeccable. Amazon par exemple a beaucoup investi dans ce domaine, pour réduire le délai de livraison, optimiser la valeur de ses stocks, créer des formats d’emballages produits le plus légers (mais résistants) possible, gérer les retours dans le cadre du délai de rétractation, optimiser les coût d’envoi

Délais de livraison

L’article L121-19 du Code de la consommation demande au e-commerçant de préciser la date de livraison d’une commande, avant sa validation, ou au mieux une fourchette avec une date limite. Et la loi impose au vendeur de respecter cette date. Celle-ci est à préciser dans le tunnel d’achat, c'est-à-dire au cours du processus de commande. Cette date doit être inférieure à 30 jours à partir du jour d’achat. Si le délai est supérieur, le client peut demander le remboursement de sa commande librement, et sans garanties.

Prenez garde, car il n’est pas facile de s’engager sur les délais de livraison. Lorsque vous travaillez en drop shipping, ou que vous attendez une livraison pour commander, il n’est pas facile de maitriser les délais. Prenez de la marge.

Retours de produits

Avec la loi Hamon (entrée en vigueur le 13 juin 2014), les clients ont désormais légalement 14 jours pour exercer leur droit de rétractation, quelque soit la raison, sur les produits achetés. Contre 7 auparavant. Tout e-commerçant doit donc rembourser le client s’il souhaite se rétracter dans ces 14 jours. Cet élément est à inscrire dans les conditions générales de vente de votre site.

Cas de force majeur

La force majeure est un évènement extérieur (c'est-à-dire indépendant du commerçant), « imprévisible et irrésistible », qui ne peut être évité. Cela peut expliquer certains retard de livraison auprès de vos clients. Mais ne vous reposez pas trop dessus. Si les conditions climatiques en sont, la classique grève de la poste n’en est pas une. En 2008, un client a gagné son procès face à un site qui n’avait pas pu livrer pendant une grève. En effet, le tribunal a considéré qu’il existe suffisamment d’autres transporteurs pour trouver une solution de repli. Le tribunal a donné raison au client.

Il est donc recommandé de prévoir des délais de livraison raisonnables et de ne pas trop vous engager.

Optimiser ses stocks

Au delà des contraintes réglementaires, il est recommandé de savoir optimiser ses stocks. Quelques semaines d’activité vous permettront de connaître les produits les plus commandés, pour les avoirs en stock de manière prévisionnelle. Organisez votre pièce de stock ou votre entrepôt de façon à pouvoir retrouver rapidement un produit, n’avoir plus qu’à le placer dans le carton à la bonne taille, et à coller l’étiquette de l’adresse. Une imprimante à étiquettes est très utile pour gagner du temps. Des étagères espacées et sur lesquelles les produits sont déjà dans leurs cartons permettent de gagner du temps. Songer qu’Amazon se paye le luxe d’envoyer le colis que vous commandez vers votre ville, avant même que vous l’ayez commandé, puisque l’entreprise sait que statistiquement que dans votre ville ces produits là sont commandés régulièrement.

Drop shipping

Si la gestion des stocks n’est pas votre fort, vous pouvez fonctionner en drop shipping. C'est-à-dire que votre fournisseur ou un partenaire envoi les stocks pour vous, immédiatement après réception de la commande. Ces entreprises font de leur métier l’envoi de colis, et prélèvent une petite commission pour chaque envoi. Si vous manquez de temps, et que vos marges sont satisfaisantes, cette option peut s’avérer très opportune pour votre business. Attention cependant aux termes lors de la rédaction du contrat de partenariat, les actions précises que vous demanderez à votre partenaire devront être ancrées par écrit : impression des étiquettes, emballage, envoi des colis, gestion de retours. Le contrat que vous signerez sera le fondement de cette relation.

Cet article a été rédigé par Editioneo.com :

Editioneo.com édite un outil destiné aux e-commerçants qui leur permet de générer facilement et rapidement des conditions générales de vente (CGV) et des mentions légales adaptées à leur activité, à partir de modèles fiables. Si ceux-ci ont besoin de conseils personnalisés ou de rédactions juridiques, Editioneo.com met en relation avec ses avocats partenaires.

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6 erreurs à ne pas faire dans ses CGV d’un site Ecommerce

6 erreurs à ne pas faire dans ses CGV

Insérer des clauses abusives

Les conditions générales de vente comportent leur cadre et vous ne pouvez pas y insérer tout et n’importe quoi. Des clauses réduisant par exemple la politique de retour, dégageant votre responsabilité dans des cas de responsabilité évidente, ou des clauses cachées ne sont pas légales. Le législateur a publié sur son site la liste précise de ces clauses abusives. Consultez-les, et tenez-vous y.

Oublier les mentions obligatoires

Les conditions générales de ventes que vous présentez sur votre site sont régies par le code de la consommation, les lois Châtel et Hamon. La direction des fraude réalise régulièrement des contrôles sur la qualité de vos CGV. Elles doivent donc comporter ces éléments de manière obligatoire. Parmi ceux-ci :

Les mentions légales (qui présentent l’identité de votre site : nom, adresse, directeur de publication, forme juridique, hébergeur, moyen de contact).

Les règles spécifiques des lois Châtel et Hamon (Délai de rétractation de 14 jours, obligation d’information sur la livraison, la présence des tarifs, la description du processus d’achat

Les modalités de paiement doivent également être présentées de manière claire et disponible. Voici un lien pour lire plus de détails sur les éléments obligatoires à la rédaction de CGV.

Ne pas parler des cookies

Depuis début 2014, la CNIL a publié des recommandations relativement à la gestion du dépôt des cookies par les sites web. C’est un pas de plus dans la réglementation de la gestion des données à caractères personnelles. A minima, les sites doivent informer leurs visiteurs de l’utilisation qu’ils peuvent faire de ces cookies. Ces clauses sont nouvelles dans les CGV, et elles ne doivent pas être oubliées. Tous les sites d’informations sur les conditions générales de vente n’en parlent pas. Consultez des ressources récentes.

Ne pas se protéger grâce aux CGV

Beaucoup de e-commerçants et d’éditeurs de sites web pensent que les CGV sont une contraintes dans laquelle rentrer qui protègent d’abord le consommateur. Cela est faux. Les conditions générales sont aussi un outil de protection pour vous. Protégez vous des clients qui voudraient se faire rembourser abusivement avec une clause de garantie précise sur vos produits. Protégez vous de parasitisme économique en insérant une clause de propriété intellectuelle sur vos contenus dans vos CGV. Les CGV sont un contrat, le e-commerçant y a aussi ses droits.

Copier coller les CGV de ses concurrents

Ce qui peut consister en un réflexe immédiat et efficace est en fait une grossière erreur. D’une part il est illégal de copier des éléments sous propriété intellectuelle, mais d’autre part ces textes ne sont pas adaptés à votre site. Vous avez beaux êtres concurrents, vous avez vos activité propres, et votre fonctionnement propre. Faites les vous-mêmes. Il existe de bons modèles génériques et de bonnes informations.

Ne pas les faire valider par vos clients

Les CGV sont un contrat, si vous ne les faites pas valider par vos clients (par l’intermédiaire d’une case à cocher) au moment de la commande, c’est comme si le client n’avait pas signé de contrat. Sans contrat, il peut se retourner à tout moment et librement contre vous. Il n’y a plus de règles. Ne commettez pas cette dernière petite erreur qui peut tout gâcher les belles CGV que vous aurez éditez.

Article rédigé par Editioneo.com. A propos :

Editioneo.com édite un outil destiné aux e-commerçants et éditeurs de sites web, qui leur permet de générer facilement et rapidement des conditions générales de vente (CGV) et des mentions légales adaptées à leur activité, à partir de modèles fiables. Si ceux-ci ont besoin de conseils personnalisés ou de rédactions juridiques, Editioneo.com met en relation avec ses avocats partenaires.

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Nouveau contributeur sur le blog ecommerce : Editioneo.com et… Bonne Année !

Tout d’abord je tiens à vous présenter mes meilleurs voeux pour cette année 2015 : La santé AVANT tout, du plaisir dans votre quotidien, l’amour, et bien entendu, du business, un max de business et toujours du business !

En ce moment je suis débordé par mes projets (et c’est tant mieux !), je n’ai donc pas hésité une seule seconde à accepter de publier des articles non sponsorisés sur ce blog (qui reste toujours sans publicité et sachez que je paie pour ne pas avoir de pub sur le blog, un comble !) Cela permet de conserver un blog qualitatif et agréable à lire régulièrement.

C’est donc avec un immense plaisir que le site Editioneo.com et notamment leur équipe ont désormais leur tribune sur ce blog et cela quant-ils le veulent.

Ma vision du blogging est avant tout de fournir du contenu de qualité et de façon régulière or je n’ai pas posté depuis fin Octobre ! Je suis très pris actuellement et l’élément essentiel est que ce blog vive quotidiennement avec du contenu qui répond à vos problématiques, à votre marché, au ecommerce et à la Vie de l’entrepreneur en général.

J’espère que vous trouverez cette année sur ce blog dédié au Ecommerce les informations dont vous aurez besoin dans votre quotidien de chef d’entreprise, d’Ecommerçant, de passionné de Ecommerce

Bonne Année 2015 !

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