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[ECOMMERCE] : 3 bonnes raisons et 3 étapes pour se lancer !

[ECOMMERCE] : 3 bonnes raisons et 3 étapes pour se lancer !

Nombreux sont les entrepreneurs prêts à se lancer dans le e-commerce.

Ceux qui disposent déjà d’une boutique physique y voient l’opportunité de développer leur activité en proposant de nouveaux produits et services, ou simplement de relayer leur offre sur internet.

Les autres, les pure players, ont l’ambition dès le début d’exploiter exclusivement ce canal désormais incontournable.

Selon l’étude conjointe de l’Insee et de la Fevad, la Fédération du e-commerce et de la vente à distance, les ventes en ligne représentent 9,1 % du commerce de détail en France en 2019.

D’après le baromètre 2019, des nouvelles tendances de consommation du cabinet de conseil Wavestone, 61 % des consommateurs effectuent au moins un achat en ligne par mois, une augmentation de +3 % par rapport à l'année précédente qui concerne surtout les 18/44 ans, mais aussi les 60-75 ans. Les calculs sont bons !

Alors faut-il se lancer dans le Ecommerce ?

Oui ! Pourquoi et comment ? Ce sont les questions auxquelles appvizer, média B2B dédié aux logiciels et aux nouvelles tendances numériques, donne des éléments de réponse.

Pourquoi adopter le e-commerce ?

1) Parce que les commerces en ligne et “pignon sur rue” sont complémentaires

De plus en plus de commerçants proposent une expérience shopping multicanale. Les digital natives sont adeptes de l’achat en ligne, quand d’autres restent attachés à l’achat en boutique, pour pouvoir toucher, voir, essayer le produit.

Puis il y a ceux qui les combinent. Les enseignes l’ont compris et proposent des expériences hybrides, comme le click and collect, associant le choix et la réservation du produit en ligne, son envoi en boutique, puis son essai avant achat.

La tendance est au phygital, l’association du physique et du digital.

2) Parce que le mobile est un levier de croissance

Dans la famille du e-commerce, le m-commerce connaît aussi une progression fulgurante. Entre 2018 et 2020, des études estiment cette dernière à + 95 % en France.
Le cabinet eMarketer prévoit d’ailleurs que le commerce mobile (sur smartphone ou tablettes) dominera le secteur avec 54% des ventes d’ici 2021.

3) Parce que les réseaux sociaux le soutiennent

Les réseaux sociaux sont incontournables pour toucher votre cible.
En plus d’être des vitrines de votre image de marque, ils deviennent relais de votre stratégie commerciale. Ainsi de nombreuses plateformes Ecommerce proposent une interconnexion avec Facebook ©, Instagram ©, Pinterest © ou encore Snapchat ©, pour partager des fiches produits, mais aussi pour faire des ventes directement depuis ces supports. Bienvenue dans le social commerce !

Comment créer un site e-commerce ? 3 étapes

Maintenant que vous êtes convaincu de l’intérêt que présente le commerce en ligne, commençons par les bases…

1) Étudiez l’offre et la demande

●Les tendances du marché : progression des ventes, domaines qui ont le plus de succès (à ce jour, l’habillement), part des ventes sur mobiles, etc. ;

●La concurrence directe : quels sont les positionnements, politiques tarifaires, services additionnels proposés, etc., afin de vous démarquer ;

● La concurrence indirecte, les boutiques physiques notamment : qu’est-ce qui va pousser vos prospects à passer par vous et le canal digital plutôt que par elles ? Quelle est votre plus-value ?

●L’étude de votre persona marketing : quelles sont les attentes de vos cibles, leurs besoins, leurs comportements d’achat habituels ? Des sondages en ligne ou une enquête terrain peuvent s’avérer utiles.

Maintenant que vous savez ce que les concurrents font et ce que les clients attendent…

2) Choisissez une plateforme e-commerce adaptée

Selon votre entreprise et vos besoins (taille du catalogue produits envisagé, dimension internationale) et votre budget, votre plateforme e-commerce doit proposer :

● un back office et une interface ergonomique et intuitive, pour vous comme pour l’utilisateur,

● des templates et des thèmes personnalisables, intégrés ou via des plug-in,

● la prise en compte de plusieurs moyens de paiement et devises,

● l’intégration des réseaux sociaux,

● l’interopérabilité avec des logiciels de gestion tiers (par exemple avec votre ERP pour la gestion des stocks, des taxes et des factures),

● la dimension SEO (avec possibilité d’optimiser les métadonnées de vos pages),

● des options de marketing automation (comme l’envoi d’emailings ciblés en fonction des achats réalisés),

● une version mobile responsive,

● un tableau de bord analytique pour suivre vos indicateurs de performance.

Si vous n’êtes pas initié aux stratégies marketing, n’hésitez pas à vous faire accompagner par un expert, et pourquoi pas à vous former au webmarketing (tutos en ligne, Mooc, etc.). Certaines plateformes e-commerce proposent d’ailleurs un support et même du coaching.

3) En parallèle, définissez une stratégie marketing digital

Cela passe par la combinaison de plusieurs techniques permettant de vous faire connaître et de générer du trafic, par exemple :

● Améliorez le référencement naturel de votre site sur les moteurs de recherche, en publiant des articles sur un blog ou dans une rubrique dédiée. Vous pouvez aussi (faire) optimiser les mots clés sur vos fiches produits.

● Tirez profit des réseaux sociaux et des influenceurs (type blogueurs) pour améliorer la visibilité et l’image de marque de votre e-boutique.

● Allez vers le client, investissez dans l’achat de bandeaux publicitaires ou des campagnes de référencement payant (Adwords).

● Attirez le client à vous, adoptez le marketing de contenu et le lead nurturing : diffusez des newsletters, des livres blancs, des webinaires qualitatifs pour asseoir votre légitimité et inciter (subtilement) à l’achat.

● Demandez l’avis de votre clientèle et de vos visiteurs pour vous améliorer en continu, valorisez vos clients satisfaits et répondez aux frustrations des autres. Analysez, après quelques mois d’activité, les pages visitées, celles qui sont ignorées : en apprenant plus sur les comportements et les besoins de vos prospects, vous pouvez ajuster votre offre et fidéliser votre clientèle.

Vous êtes désormais prêt(e) à développer votre activité en ligne.

Vous avez toutes les raisons de vous lancer et les étapes à suivre.
N’en manquez aucune : un site e-commerce performant passe par une stratégie mûrement réfléchie et les bons outils !

Auteur : Axelle DRACK
Content Manager
appvizer

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[FrenchTech 120] 83 « StartUp » feront parties de ce nouvel indice, parfois critiqué, car il élude totalement le critère de rentabilité. Découvrez les entreprises sélectionnées avec leurs données chiffrées

Ce blog évoquait déjà le sujet des entreprises présentes au travers de l'indice NEXT40 et dont nous avions présenté les chiffres que ces sociétés communiquent.

Aujourd'hui c'est au tour du FT120 (FrenchTech 120) de "révéler" 83 entreprises faisant dès à présent partie de ce nouvel indice parfois critiqué dans ses critères de sélection car aucune notion de rentabilité n'est prise en compte.

EnseigneC.A

(derniers comptes publiés)
Résultat net

(derniers comptes publiés)
360LEARNING0-85 300 €
AB TASTY9 470 800 €– 5 489 700 €
ACTICOR BIOTECH0– 5 681 700 €
ADYOULIKENCNC
A.F.Y.R.E.N27 400 €-7 700€
AGRICONOMIE4 776 400 €– 762 200 €
AIRCALLNCNC
AkeneoNCNC
Aledia456 400 €– 14 238 800 €
ALIZE PHARMA III0 €– 886 800 €
ALL MOL TECHNOLOGYNCNC
AmarisoftNCNC
AnotherbrainNCNC
Biolog-id3 580 400 €– 514 600 €
BOTIFY177 800 €– 17 000 €
BRUTNCNC
VC TECHNOLOGY (Certideal)NCNC
BIAGRI (Comparateuragricole.com)9 624 300 €– 335 700 €
Cooptalis18 990 000 €– 2 251 300 €
Crosscall70 062 500 €1 377 400 €
Cubyn1 576 600 €– 941 200 €
CybelAngel662 900 €– 43 700 €
Diabeloop0 €+ 137 700 €
Digital InsureNCNC
DNA Script9 800 €– 3 770 700 €
DREEMNCNC
Dynacure0 €– 7 420 100 €
EasyMile14 398 800 €– 4 612 300 €
EcoVadisNCNC
JOUL (ekWateur)35 786 700 €– 4 700 800 €
ENYO PHARMA0 €– 1 919 700€
CHR NUMERIQUE (ePack hygiène)9 636 600 €+ 1 125 700 €
Exotec Solutions7 442 700 €– 913 900 €
FEEDNCNC
Flex Fuel Energy Development9 478 500 €+ 1 256 000 €
Fortia Financial SolutionsNCNC
Fretlink12 017 400 €– 4 056 900 €
Happytal11 052 700 €– 3 842 500 €
Heetch6 294 100 €– 2 999 000 €
HIGHLIFE0 €+ 1 544 500 €
Igyxos0 €– 364 600 €
Ilek5200 €+ 200 €
ImCheck TherapeuticsNCNC
Inotrem0 €– 5 497 300€
IPM France5 510 700 €+ 373 200 €
KayrrosNCNC
KeranovaNCNC
Le Slip Français20 760 200 €– 1 107 800 €
Lemon Way5 500 400 €– 6 883 800 €
LGO EUROPE SASNCNC
HONESTICA (Lifen)13 000 €– 1 657 900 €
LimFlow232 500 €– 8 367 100 €
LOISIRS ENCHERESNCNC
Lumapps8 387 500 €– 1 780 500 €
LunchrNCNC
LYDIA SOLUTIONSNCNC
Microphyt245 200 €+ 46 700 €
MISTER FLYNCNC
MISTERTEMPNCNC
MolotovNCNC
MARIANNE FORMATION (Ornikar)39 300 €– 454 000 €
PapernestNCNC
PERFECTSTAY.COM13 464 200 €– 870 300 €
PHENIX SAS7 707 400 €+ 775 000 €
Platform.sh1 534 100 €– 959 000 €
QAPA INTERIMNCNC
QareNCNC
QontoNCNC
REUNIWATTNCNC
SUCCESS 4 MOBILE (S4M)5 555 000 €– 1 556 100 €
Scality14 396 800 €– 6 714 800 €
CREATIVE DATA (Saagie)1 460 600 €– 1 495 800 €
SpendeskNCNC
TabmoNCNC
TALENT CLUB (Talent.io)NCNC
Tissium0 €– 8 382 600 €
Tree Frog TherapeuticsNCNC
TruskNCNC
UBI TRANSPORTS1 460 900 €+ 606 500€
VisiperfNCNC
Wooxo2 644 900 €– 489 000 €
Yespark12 700 €+ 7 500 €

Et vous qu'en pensez-vous ?

Source ici et
 

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[ECOMMERCE] Les chiffres clés de cette année

[ECOMMERCE] Les chiffres clés de cette année

L’édition 2019 des Chiffres Clés de la Fevad (Fédération e-commerce et vente à distance) dresse le bilan de l’activité des ventes en ligne afin de mesurer les évolutions du secteur e-commerce.

Le chiffre d’affaires du e-commerce en 2019 : Une croissance non démentie

En France, le e-commerce poursuit sa croissance à deux chiffres pour atteindre les 100 milliards d’euros de C.A au cours de l’année 2019 contre 92,6 milliards en 2018.

La vente en ligne représente 9,1% du commerce de détail en France. Le m-mobile a aussi le vent en poupe puisque 35% des achats en ligne ont été effectués à partir d’un terminal mobile (smartphone et tablette).

Près de 9 personnes sur 10 achètent sur internet, soit près d’1 million d’internautes par an. Même les plus de 65 ans, réticents par le passé, sont de plus en plus nombreux à passer le cap puisqu’ils sont 8 sur 10 à effectuer des achats en ligne.

Le C.A du e-commerce en Europe : la France dans le peloton de tête

En Europe, le Chiffre d’Affaires du Ecommerce connait là encore une croissance à deux chiffres pour atteindre les 621 milliards d’euros au cours de l’année 2019 contre 547 milliards vs N-1, soit une augmentation de +13,6% par rapport à 2018.

L’Europe représente 30% du chiffre d’affaires e-commerce mondial. Le Royaume Uni est le 1er marché de e-commerce d’Europe avec un C.A de 174,9 milliards d’euros, suivi de la France qui se positionne à la 2ème place. L’Espagne et l’Italie se placent en 3ème et 4ème position avec un C.A bien plus faible (respectivement 28 et 27,4 milliards d’euros).

La plus grande partie du Chiffre d’Affaires du e-commerce se concentre sur l’Europe de l’Ouest (66%). Le C.A du Ecommerce de l’Europe de l’Est s’élève à 23 milliards d’euros.

C’est au nord de l’Europe que les acheteurs en ligne dépensent le plus, avec une moyenne de 2046€ par an pour une moyenne Européenne de 1465€.

Le C.A du Ecommerce au niveau mondial

Au niveau monde, le chiffre d’affaire atteint les 2131 milliards d’euros au cours de l’année 2019 soit une croissance de +14,3% vs N-1.

La Chine et les Etats Unis monopolisent la tête de ce classement avec un Chiffre d’Affaires respectif de 600 et 522 Milliards d’euros. En troisième position vient à nouveau la Grande Bretagne. Compte tenu de la taille du pays et de son nombre d’habitants, la Grande Bretagne est en réalité le premier marché e-commerce du monde.

Les Européens achètent toujours plus à l’international, en Europe et au-delà des frontières. Ces e-acheteurs, que l’on appelle cross-border, sont les plus nombreux en France.

En 2019, 57% des e-commerçants TPE/PME vendent à l’international.

Quels sont les achats effectués en ligne ?

On observe une tendance de plus en plus marquée : la fréquence et le nombre d’achats augmentent chaque année alors que le panier moyen diminue. En effet, le montant moyen d’une transaction s’élève à 61,5€, soit une baisse de -6% par rapport à 2017. En revanche, 55% des utilisateurs ont acheté en ligne au cours du dernier mois du premier trimestre 2019, soit +1,3% de plus qu’au premier de l’année précédente.

Cette statistique montre que les utilisateurs passent de plus en plus par internet pour leurs achats de produits du quotidien.

Les trois types de produits les plus achetés en ligne sont : l’habillement (58 % des ventes e-commerce), les produits culturels et les services liés au voyage et au tourisme.

Pour autant, le commerce physique n’est PAS le grand perdant de la croissance du e-commerce. En effet, les consommateurs associent de plus en plus achat en ligne, distribution physique et écrans mobiles au long de leur expérience d’achat. Un produit pourra être repéré en ligne, l’acheteur aura consulté les avis sur internet, avant de se rendre en magasin afin de bénéficier des conseils d’un vendeur.

Disposer d’un site web pour présenter ses produits a un impact non négligeable sur la fréquentation des magasins d’après la constatation de 80% des professionnels.

La vente en ligne peut être réalisée sur des sites en propre mais également sur ce que l’on appelle les Marketplaces. Parmi les entreprises de 10 à 19 salariés, 47% vendent sur ces places de marchés. 45% des TPE/PME ont indiqué que celles-ci représentent une grande part de leur Chiffre d’Affaires, jusqu’à 100% pour certaines !

Les champions du e-commerce en 2019

Cette année, en France, 180 000 sites de e-commerce étaient actifs. Les 5 sites marchands qui ont connu le plus d’afflux de visiteurs internet en 2019 sont :

1. Amazon

Le géant de Seattle a battu des records augmentant son chiffre d’affaires de +20% par rapport à l’année précédente.

[ECOMMERCE] Les chiffres clés de cette année

Les prévisions sont plus timides à cause, notamment, de l’obligation de retirer certains produits du marché Indien pour se plier à la réglementation.

2. Cdiscount

En 2011 le vendeur en ligne Bordelais lançait sa Marketplace, ce qui a eu un impact considérable sur son chiffre d’affaires (3,6 milliards d’Euros en 2018).

[ECOMMERCE] Les chiffres clés de cette année

Cette marketplace a fait exploser le nombre de références disponibles et les ventes effectuées sur celle-ci représentent près de 35% du volume d’affaire global.

3. Fnac

Avec 3,284 milliards d’euros de Chiffre d’Affaires au premier semestre 2019 la FNAC réalise une croissance de 2,6%.

[ECOMMERCE] Les chiffres clés de cette année

Le groupe vend en direct dans ses magasins physiques, mais le C.A réalisé en ligne représente tout de même 19% du C.A global.

4. Veepee

D’origine Française, l’ex site Vente-Privee.com est devenu un groupe Européen et devrait atteindre les 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2019.

[ECOMMERCE] Les chiffres clés de cette année

Veepee est actuellement présent dans 14 pays et réalise plus de la moitié de son chiffre d’affaire en dehors de l’hexagone.

5. Booking

Le site est devenu le numéro 1 mondial des réservations d’hôtels en ligne.  Avec 12 210 000 visiteurs uniques, il s’impose comme le site de voyage le plus visité.

[ECOMMERCE] Les chiffres clés de cette année

En réalisant un chiffre d’affaire de 12.68 milliards d’euros en 2017, le groupe a multiplié son C.A par 10 en 11 ans !

Si le e-commerce se porte mieux que jamais en 2019, il s’agit de noter que 90% du C.A est réalisé par seulement 5,5% des sites marchands (10 000 sites).

Par ailleurs, 75% des sites e-commerce réalisent un C.A annuel inférieur à >100 000 €.

Rédigé par Aurore
Sources ici et

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ECOMMERCE & Black Friday : les nouvelles cibles des parlementaires

ECOMMERCE & Black Friday : les nouvelles cibles des parlementaires

C’est avec des calculs certainement effectués sur le coin de table d’un resto ouvrier que l’ancien secrétaire d’état chargé du numérique, Mounir MAHJOUBI charge le E-commerce et notamment Amazon. Rien de factuel, rien de vérifié, rien de sérieux, bien au contraire. Pourtant voici que des parlementaires souhaitent interdire le Black Friday.

C’est Elisabeth BORNE, vraisemblablement ignorante du sujet qui porte en étendard le souhait d’interdire le Black Friday.

Soyons simples, soyons clairs.

Si la défense de l’environnement est au coeur des préoccupations de chacun, c’est déjà suffisamment anxiogène comme cela. Nous sommes informés ! Certains en sont tout de même rendu à savoir s’il faut envoyer un mail lorsque d’autres affirment que l’envoyer tuerai dix pigeons…

Au travers de l’ambition de vouloir interdire le Black Friday c’est une attaque contre le Ecommerce qui se cache derrière cela. En effet les opérations promotionnelles au bénéfice des clients sont présentes tout au long de l’année. Rien d’extraordinaire.

L’argument avancé est que le Ecommerce ne serait pas eco-responsable. Les clients consommeraient également frénétiquement pendant cette période promotionnelle…. rappelons que les Français ont 5000 Milliards d’euros sur leurs comptes à fin 2018 et que nous sortons à peine de la crise de 2008…

Les consommateurs savent heureusement s’ils ont besoin d’un produit ou non.

Le Black Friday permet aux plus modestes de bénéficier de réductions importantes et d’étaler leurs achats de Noël sur Novembre et Décembre.

Le pays ne se relève pas des mouvements sociaux de l’année écoulée et nos dirigeants politiques reprennent la même voie que l’année dernière en prenant le prétexte de l’environnement pour inventer une nouvelle taxe.

Lunaire.

D’une part si les camions de livraison pullulent c’est aussi autant de voitures en moins dans les villes que de colis dans le camion.

D’autre part, le E-commerce n’est qu’un canal de vente d’aujourd’hui, empêcher le consommateur d’acheter en ligne au prétexte de l’environnement est parfaitement archaïque. Le consommateur est tout de même libre de ses choix éthiques !

Il s’agit d’une dictature de la consommation où l’on piétine les libertés individuelles, cela ne va assurément pas dans le sens de l’Histoire.

Chacun a le droit d’acheter ce qu’il veut dans l’enseigne de son choix.

D’autres encore mettent en avant la désertification des centres villes…

Que les politiques regardent leurs pitoyables bilans en matière d’aménagement du territoire avant de vouloir taxer encore et encore le secteur du E-commerce à l’instar du député LISNARD.

L’égarement est collégial.

En effet le E-commerce dynamise les magasins du centre ville car se faire livrer sa commande chez le petit commerçant du coin permet du passage qualifié dans ces points de vente habituellement désertés. Ce ne sont pas nos dirigeants qui proposèrent cela, mais bien les acteurs du E-commerce, Coliposte en tête avec So Colissimo.

Globalement la politique d’aménagement des villes est nuisible au commerce. La circulation volontairement difficile pour se rendre en magasin est accentuée par des terre-pleins centraux accolés sciemment aux arrêts de bus afin d’empêcher les usagers de dépasser le bus arrêté.

D’autant plus que les véhicules de secours sont bloqués de la même manière. La mise en danger de la vie des patients à l’intérieur d’une ambulance est évidente en pareilles circonstances.

De quoi décourager les consommateurs de se rendre dans les commerces de proximité qui n’en n’ont plus que le nom compte tenu du temps à passer pour s’y rendre.

Evidemment les détracteurs de mon propos mettront en avant les nombreux transports en commun à disposition.

S’il est évident qu’ils sont à privilégier pour nos déplacements en agglomération, il est totalement en dehors de la réalité de croire que le consommateur pourra remplir son chariot de courses, effectuer ces achats de chaussures ou de vêtements puis tout rapporter chez lui en bus !

Ce n’est pas sérieux une seule seconde !

Puis interdire le Black Friday, vecteur de pouvoir d’achat, c’est revenir sur tout ce qui a été fait au préalable, par le gouvernement en place, justement pour l’améliorer alors même que les gains sont réels et visibles simplement sur la fiche de paie de chaque salarié.

Les acteurs du E-commerce travaillent évidemment sur de nouvelles solutions de livraison moins polluantes.

Livraison en véhicule électrique ou à vélo, mise en place de hub à l’extérieur des agglomérations, stations de retrait près des points de convergence de la population, colis en pvc réutilisable..etc… les idées déjà en place ne manquent pas.

Nul besoin de légiférer encore et encore !

Puis finalement un camion de livraison n’est ni plus, ni moins qu’un transport en commun…. Pour colis.

Sources ici et

CatégorieAvis Clients

AVIS VÉRIFIÉS lève 32 Millions d’euros, pour contrer Trustpilot ?

Vue du site internet Avis-Verifies.com

Vue du site internet Avis-Verifies.com

L’entreprise Française Avis Vérifiés vient de lever 32 Millions d’euros pour continuer son développement en Europe et aux USA.

Souhaitons que le management d’Avis Vérifiés n’affiche pas un mépris similaire à Trustpilot envers les enseignes de Ecommerce qui ne travaillent pas avec eux… 😉

Il reste tant de choses à faire pour avoir des avis clients réels, fiables et VÉRIFIÉS de la part des customers… mais certainement pas en usant de manoeuvres frauduleuses à l’instar de Trustpilot.

Depuis la mise en place de l’adresse mail dédié à la procédure judiciaire envers Trustpilot, nous recevons chaque jour de nouvelles plaintes leur encontre, à un moment il faut se poser des questions…

La levée de fonds d’Avis Vérifiés devrait leur permettre de consolider leurs parts de marché existantes et d’aller chercher de la croissance à l’international.

Source : ici et là

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[SaaS] Communiqué de DOTNET : évolutions logicielles, RSE et quelques chiffres…

[SaaS] Communiqué de DOTNET : évolutions logicielles, RSE et quelques chiffres...

Communiqué

 

Nantes, le 13 Novembre.

 

 

La société DOTNET, éditrice de solutions logicielles SaaS depuis 2015, annonce le lancement de la nouvelle version (V6.00) du logiciel de paie : Fiche-Paie.Net.

 

DSN, Journal de paie, fiche de paie en ligne, 1000 conventions collectives, Mises à jour automatiques, assistance tous supports, veille sociale et juridique, ce logiciel de paie complet, plébiscité pour sa simplicité, est déjà utilisé par plus de 30 000 professionnels en France et dans les DOM TOM.

 

Cette version 6, propose aujourd’hui une mise à jour majeure, de nouvelles fonctionnalités dans le seul but de rationaliser encore davantage la paie pour l’utilisateur notamment à travers la simplification d’options avancées, notamment à destination des mandataires sociaux.

 

Pour aller plus loin, la plateforme propose entre autre un nouveau journal de paie détaillé, de nouveaux packs économiques et abonnements illimités, une nouvelle gestion optimisée des salariés afin de répondre aux demandes des utilisateurs.

Le lancement de la nouvelle version du logiciel SaaS Fiche-Paie.net coïncide également avec les résultats de l’entreprise arrêtés au 30 Septembre 2019.

 

Pour son quatrième exercice consécutif (12 mois) la société DOTNET affiche un Chiffre d’Affaires en hausse, avec une croissance de +85% vs N-1.

 

Sur la même période, les primes, avantages, et rémunérations variables versés aux collaborateurs ont augmentés de +113%.

 

Le budget de l’entreprise consacré aux actions de reforestation, et au maintien de la biodiversité a augmenté de +100%.

 

Le résultat de l’entreprise, rentable depuis sa création, progresse de +157% par rapport au précédent exercice.

 

Informations générales :

 

Société : DOTNET  – www.dotnet-sas.net

Editeur du logiciel de paie en mode SaaS : Fiche-Paie.net

30 000 utilisateurs professionnels en France et dans les DOM TOM

Contact : [email protected]

DOTNET – 26 bis rue du Marché Commun – CS73204 – 44332 Nantes cedex 03

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[ECOMMERCE] ASOS trébuche et voit son bénéfice plonger de presque -70%

Cours de l'action de l'entreprise ASOS, enseigne E-commerce Londonienne

Cours de l'action de l'entreprise ASOS, enseigne E-commerce Londonienne

Si le BREXIT pourrait être la raison toute trouvée pour expliquer une baisse du bénéfice d'ASOS, ce n'est celle invoquée par Nick Beighton le Directeur Général de l'enseigne de Ecommerce Londonienne.

En effet un article du Guardian explique que l'entreprise de E-commerce spécialisée dans le prêt-à-porter à destination des jeunes a rencontrée de grandes difficultés en matière logistique.

Si le C.A a augmenté de +13%, c'est en deçà de concurrents comme Boohoo.com dont les ventes ont progressé de +40% sur la même période. La cause à des problématiques informatiques et d'approvisionnement d'après la direction d'ASOS.

Le distributeur Britannique précise également avoir subit les remises importantes effectuées par ses confrères. Mis à mal par ses rabais, il n'a pas su se positionner efficacement et apporter les réponses nécessaires aux attentes des consommateurs.

Source ici et

 

 

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[SOFTWARE] Choisir son logiciel de paie : les critères de choix essentiels pour allier économie et conformité

[SOFTWARE] Choisir son logiciel de paie : les critères de choix essentiels pour allier économie et conformité

Aujourd’hui, compte-tenu de la complexité de la paie, de la somme d’informations à saisir pour obtenir un bulletin de paie conforme, et de l’obligation de transmettre les déclarations sociales directement en ligne via la DSN, il est impossible de ne pas s’équiper d’un outil de gestion de la paie. Avant de choisir un logiciel de paie, ou en prévision d’en changer, il est nécessaire d’identifier le besoin et les attentes en la matière.

Quelle est la solution la plus en adéquation avec la taille de l’entreprise et la capacité des équipes à gérer la paie ? A l’heure actuelle, 80% des entreprises sont équipées d’un logiciel de paie, les entreprises optent volontiers pour une solution de paie qui simplifie et sécurise la collecte et le traitement des données par une automatisation des processus. Les principaux avantages d’un logiciel de paie doivent être de :

  • Faire gagner du temps aux collaborateurs en charge de la paie par la mécanisation de  certaines tâches chronophages,
  • Centraliser les données pour les rendre plus accessibles et mieux historisées,
  • Fiabiliser les paies et les déclaratifs.

Afin d’atteindre ces objectifs, lors de votre benchmark des solutions du marché, vous devez prendre en compte plusieurs critères essentiels. 

Quels critères identifier pour bien choisir son logiciel de paie ?

Dans un premier temps, il est nécessaire d’identifier les fonctionnalités attendues, le nombre d’utilisateurs, le nombre de fiches de paie à produire chaque mois, le volume de données à traiter, ainsi que le budget alloué.

Pour que le logiciel soit efficace, dans tous les cas, il devra répondre positivement aux 5 critères suivants :

1-La mise à jour régulière des informations légales et conventionnelles 

C’est sans doute l’un des points essentiels à vérifier lors du choix du logiciel. Il s’agit de s’assurer de la capacité de l’éditeur à anticiper l’intégration des évolutions légales afin de garantir une parfaite conformité de la paie. Une équipe d’experts en paie est chargée de la veille sociale et l’équipe technique, de l’évolution de l’outil. Faites également le point sur les conventions collectives prises en charge et sur leurs mises à jour dans le logiciel.

2- Les fonctionnalités du logiciel

L’application sélectionnée doit correspondre aux besoins identifiés. En matière de paie ils sont nombreux : gestion des déclarations, du prélèvement à la source, gestion de la mutuelle et de la prévoyance, des absences et congés, des avantages et des primes, des embauches et des départs, gestion des régimes spécifiques etc. Le logiciel retenu doit nécessairement proposer toutes les fonctions indispensables à une production de la paie conforme, même dans les cas de gestion les plus complexes.

3- Une solution simple d’utilisation

Pour éviter les erreurs de saisie, l’ergonomie de l’application et les workflows doivent être simples, intuitifs, et réduire au maximum le clic bouton. Outre conserver la bonne humeur des collaborateurs en charge de la paie, une interface ergonomique leur fera gagner du temps et leur permettra de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée, ou sur le cœur de métier de la société. Un gain de productivité non négligeable.

4- Un support accessible facilement à chaque instant

Avec toutes ces évolutions réglementaires, pas facile de s’y retrouver. Il est important de se faire confirmer qu’une assistance est prévue en cas de problème, qu’il s’agisse de question juridique, fonctionnelle ou technique. Une assistance au paramétrage, une formation au logiciel, ainsi qu’une base de documentation immédiatement accessible sera un plus non négligeable pour prendre confiance en l’outil et assurer une saisie de paie sans fausse note.

5- Protection et sécurisation des données

Les données de paie sont hautement confidentielles. Les divulguer, ne serait-ce que par accident, peut entrainer des sanctions. Aussi, un logiciel de paie doit impérativement assurer la confidentialité des informations des salariés. Cet impératif entraine une double nécessité. La première : protéger l’accès à l’outil lui-même et instaurer des périmètres de confidentialité pour que les utilisateurs n’aient accès qu’aux informations de leur périmètre de gestion. Mais aussi s’assurer de la sécurisation du stockage des données, notamment si la solution choisie est en mode Saas. Il s’agit de se renseigner sur la politique de sécurité et de confidentialité de l’éditeur.

Un logiciel SaaS ou avec licence ?

Un logiciel monoposte ou multiposte est installé sur un ou plusieurs ordinateurs, ou encore sur le réseau de l’entreprise. Non seulement il nécessite une installation locale mais il génère des coûts de licence. Son installation et sa maintenance sont plus lourdes que pour un logiciel en mode SaaS. De plus les protocoles de sécurité instaurés en SaaS ne sont pas appliqués lorsqu’il s’agit de logiciel installés physiquement sur des ordinateurs.

En mode SaaS, aucune installation du logiciel de paie n’est à réaliser sur les réseaux de l’entreprise. L’utilisateur se connecte directement en ligne. Le paiement du service s’effectue en fonction de son utilisation ou en s’abonnant. Certains éditeurs proposent des formules illimitées, sans frais cachés et sans engagement.

Les avantages du mode SaaS sont nombreux. Les applications étant mises à disposition via internet, elles sont accessibles depuis n’importe où et à chaque instant. Ceci permet également de libérer de l’espace de stockage, non négligeable compte-tenu du nombre de données nécessaires à l’établissement d’une paie. Les mises à jour sont effectuées automatiquement par l’éditeur, ce qui évite d’avoir à réaliser des mises en production régulières en interne.

Economiquement le mode SaaS est intéressant, notamment pour les TPE et PME. En effet, l’utilisation de la solution de paie en ligne ne nécessite pas d’investissement en matériel informatique, notamment pour l’achat du logiciel en lui-même. Par ailleurs, en terme de fiscalité Le logiciel de paie en mode SaaS constitue une charge immédiatement déductible du résultat de l’entreprise.

Un comparatif des différents logiciels de paie a été réalisée cette année pour vous permettre de faire plus facilement votre choix parmi toutes les solutions du marché et choisir la plus adaptée à votre entreprise.

Aurore

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