CatégorieAvis ClientsMédiocrité & ContentieuxMis En AvantRéférencement (SEO)

Comment supprimer un résultat de recherche sur Google ?

SEO : référencement naturel

Certains contenus ou sites internet peuvent être obsolètes ou inexacts à votre sujet ou concernant votre entreprise. Seulement, ces résultats de recherche peuvent continuer à apparaître sur Google durant des années.

Voyons comment procéder pour supprimer un résultat de recherche sur Google.

Procédure de suppression de contenu sur Google pour les particuliers

Il existe en effet une procédure de suppression pour les particuliers afin de supprimer les résultats de recherche vous concernant directement.

Pour les entreprises, c’est un peu plus compliqué, nous en parlons un peu plus loin dans cet article.

Pour les particuliers qui souhaitent supprimer un contenu les concernant, voici les différentes solutions :

Le contenu est illégal, il enfreint la Loi.

Dans ce cas, vous devez signaler le contenu concerné au travers de cette page sur le support Google :

Signaler du contenu pour des raisons juridiques

Le contenu est supprimé mais il apparaît toujours dans les résultats de recherche sur Google.

Dans ce cas, il convient de faire une demande de suppression auprès du moteur de recherche par cette page qui permet de supprimer du contenu obsolète de la recherche Google :

Supprimer du contenu obsolète de la recherche Google

Le site qui héberge le contenu à supprimer a des méthodes déloyales et refuse de donner suite à votre demande de suppression.

Lorsqu’on parle de méthodes déloyales, il s’agit par exemple de vous faire payer pour supprimer le contenu offensant. Ce n’est pas légal.

Google a donc une procédure dédiée pour cela, même si elle ne s’applique pas aux entreprises :

Supprimer des résultats de recherche Google des contenus me concernant et publiés sur des sites dont les pratiques en matière de suppression de contenu sont abusives

En cas de refus du moteur de recherche de supprimer le contenu souhaité, vous pouvez déposer une plainte directement auprès de la CNIL.

Bon à savoir :

  • Une demande de suppression de contenu sur Google concerne uniquement les résultats de recherche qui apparaissent à la saisie de votre nom et prénom dans le moteur de recherche.
  • Le droit au déréférencement ne signifie pas l’effacement de l’information sur le site internet d’origine : le contenu reste consultable en allant directement sur le site à l’origine de la diffusion.
  • Le résultat de recherche qui a fait l’objet d’une suppression reste tout de même accessible à partir de recherche effectuées sans votre nom et prénom.
  • Si le moteur de recherche démontre que cette information doit être portée à la connaissance du public, Google peut refuser d’y donner suite.

Procédure de suppression de contenu sur Google pour les entreprises

C’est déjà plus compliqué.

En effet, Google se refuse déjà à supprimer les résultats qui contiennent des avis clients, même si ceux-là ne sont pas vérifiés, authentifiés et leur collecte conforme à la réglementation.

Le site Web n'est pas un site regroupant des avis sur les entreprises.

Pire, Google peut les afficher dans le profil Google My Business de votre entreprise, sans votre consentement.

Le contenu est illégal :

Si le contenu concerné est illégal, vous devez signaler le contenu concerné au travers de cette page sur le support Google :

Signaler du contenu pour des raisons juridiques

Le site internet d’avis clients ne respecte par la Loi

Google précise explicitement qu’il ne donnera pas suite aux demandes de désindexation des contenus publiés sur les sites d’avis clients :

Le site Web n'est pas un site regroupant des avis sur les entreprises.

Or, de nombreux sites d’avis clients ne respectent aucunement la réglementation corrélative.

Par conséquent, il convient d’ester en justice à l’encontre du site d’avis clients qui ne respecte pas la réglementation.

Attention cependant aux sites d’avis client domiciliés à l’étranger. Par exemple, Trustpilot qui est basé au Danemark, oblige les plaignants à se pourvoir dans les juridictions de Londres ou de Copenhague. Le simple fait d’accepter leurs CGU vous oblige à vous pourvoir hors de france.

Le plus simple, est de déposer une plainte pénale à leur encontre directement auprès du Procureur de la République, notamment si une contrepartie financière vous est demandée pour la suppression des contenus.

Conditions de suppression Google

Le véritable problème se résume en 4 points :

  • Les délais de la justice sur ces sujets sont astronomiques, même en référé ;
  • Les magistrats ne sont pas formés sur ces sujets qu’ils jugent en outre subalternes ;
  • Le mal est fait. Du moment que le contenu est publié et accessible, la réputation de votre entreprise est directement entachée.
  • La perte de CA est quantifiable mais rarement indemnisée.

Quelles solutions existent pour passer outre la suppression des contenus ?

En effet, si vous ne souhaitez pas entrer dans des procédures judiciaires longues et coûteuses, il existe des alternatives, mais elles ne sont pas gratuites et nécessitent une certaine expertise SEO.

Le flooding

Cette méthode consiste à inonder véritablement le web avec des contenus positifs sur votre entreprise. Cela s’effectue au travers d’articles, de post de blog, de partenariat avec des médias.

Le SERP Sculpting

Cela consiste à faire descendre dans les profondeurs de Google les pages qui posent souci.

Les deux méthodes sont efficaces, mais le SERP sculpting est davantage pérenne que le flooding (comparable à un « buzz » éphémère).

Nous détaillerons ces solutions individuellement dans un prochain article.

 

 

 

CatégorieEntrepreneuriatJustice et réglementationMédiocrité & Contentieux

SSTRN à Nantes : Le business des visites médicales au détriment des entreprises et de leurs salariés

La visite médicale d’embauche est obligatoire pour tout nouveau salarié d’une entreprise.

Les employeurs s’y soumettent légitimement ou prennent le risque de sanctions de la part de l’inspection du travail.

Seulement, dans les territoires, certaines organisations profitent d’une situation monopolistique pour revoir à la hausse leurs tarifs de visite médicale.

visite_medicale

Le SSTRN augmente ses tarifs de +65% !

Exemple sur Nantes avec le SSTRN (Service de Santé au Travail de la Région Nantaise) qui a augmenté considérablement ses tarifs SANS AUCUN JUSTIFICATIF :

En 2022, une visite médicale au SSTRN était facturée 70€ HT :

SSTRN visite médicale

 

En 2023, la même visite médicale est dorénavant facturée 115,50€ HT :

SSTRN visite médicale d'embauche

 

Soit une hausse de +65% !

On est loin des +5,2% d’inflation constaté par l’INSEE en 2022.

Contacté à de nombreuses reprises, le SSTRN de Nantes ne réagit pas et s’offusque presque que les adhérents de leur association se plaignent de leurs tarifs devenus inabordables pour la plupart des TPE.

Seulement, il n’est pas possible d’aller voir la concurrence, car le SSTRN a un monopole sur toute la région Nantaise (selon les branches sectorielles), rendant impossible pour les entreprises de trouver une autre alternative.

Ainsi, ce qui ressemble à un racket bien organisé de la part du SSTRN, met en difficulté les entreprises qui ne peuvent faire face à cette augmentation injustifiée.

Pire, les salariés qui devaient se rendre aux visites médicales, voient leurs rendez-vous annulés par leurs employeurs lorsqu’ils s’aperçoivent des tarifs prohibitifs dorénavant pratiqués par le SSTRN.

En outre, la cotisation annuelle par salarié est passée de 70€HT à 86,63€HT, soit une autre augmentation de +23,75% en plus de la hausse de +65% !

Aucune solution n’est proposé par le SSTRN
Aucune réponse n’est apportée par leurs services aux sollicitations des employeurs sur le sujet.

La direction du SSTRN oublie visiblement qu’il s’agit d’une association qui existe grâce aux chefs d’entreprises qui l’ont créée.

De surcroît, les rémunérations des personnels du SSTRN sont payées par les adhérents. Il serait tout de même légitime que le SSTRN sorte du mépris à leur égard et réponde favorablement aux demandes qui lui sont faites.

Ce dossier ne fait que commencer, car il n’est pas question de se laisser racketer ainsi sans réagir vigoureusement.

S’agit-il d’un racket organisé sciemment par le SSTRN ?

S’agit-il d’un abus de position dominante ?

Sans réponse de leur part aux questions légitimes qui leurs sont posées, c’est la justice qui devra trancher.

Un recours collectif mené par FIDAL Avocats est en cours d’examen afin d’organiser la défense des TPE et PME Nantaises qui subissent ces hausses tarifaires injustifiées.

On est très loin de l’esprit associatif des débuts !

En outre, les services du SSTRN sont dégradés depuis plusieurs mois. Les planifications de rendez-vous médicaux nécessitent des délais astronomiques mettant les entreprises en difficulté face à l’administration et aux salariés.

Le SSTRN ne peut pas à la fois fournir un service dégradé, et dans le même temps augmenter ses tarifs unilatéralement, sans explication.

Certaines choses interpellent…

SSTRN Nantes

 

 

 

CatégorieEntrepreneuriat

Investissements étrangers : La France 🇫🇷 cartonne !

L’agence nationale Business France, chargée notamment de l’accueil des investissements internationaux en France a rendu publique son bilan 2022 des investissements internationaux en France. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce bilan est extrêmement encourageant ! 

investissements_france

En effet, en dépit d’un environnement international complexe, 2022 signe une année record en matière d’investissements étrangers sur le territoire hexagonal.

Après une déjà très bonne année 2021, 2022 marque encore une nouvelle progression avec 1725 décisions d’investissements, soit une hausse de +7% par rapport à 2021.

D‘où viennent les projets étrangers ?  Comment s’explique l’attractivité de la France pour les investissements internationaux ? Quels sont les critères d’investissement  des entreprises étrangères ?

Les principaux investisseurs étrangers en France en 2022

Augmentation des investissements étrangers

En 2022, ce sont 1 725 projets d’investissement qui ont été recensés en France, soit en moyenne, 33 décisions d’investissement prises par semaine. Ce nombre est en hausse de 7% par rapport à 2021.

Côté emploi, ces projets permettraient de créer ou de maintenir 58 810 emplois, dont 20,5% de CDI intérimaires. Il s’agit d’un CDI conclu entre l’entreprise de travail temporaire (ETT) avec un salarié pour l’exécution de missions successives. Le nombre d’emplois maintenus ou créés progresserait ainsi de 31% par rapport à 2021. 

Origine des sociétés étrangères investissant en France

D‘où viennent les principaux investissements étrangers ? Si les projets proviennent d’une soixantaine de pays différents, si la plupart sont d’origine Européenne, les États-Unis redeviennent  le premier investisseur étranger en France.

En effet, les USA représentent 280 projets, soit 16 % du total. Pour mémoire, en 2021, la première place du podium revenait à l’Allemagne. Le classement est ainsi le suivant :

1- Les États-Unis :  280 projets (16 % du total)

2- L’Allemagne : 256 projets (15 %)

3- Le Royaume-Uni : 176 projets (10 %)

4- Les Pays-Bas : 142 projets (8 %).

Les projets de nouvelles implantations d‘entreprises étrangères en France représentent 50% du total des projets en 2022, ce qui manifeste très clairement l’intérêt accordé par les investisseurs internationaux au territoire de l’hexagone et à ses perspectives économiques. Les nouveaux investisseurs étrangers ont confiance en l’environnement des affaires Français.

De plus, les projets d’extension de site existant représentent 46 % des décisions d’investissement. Les entreprises étrangères ayant déjà investi en France continuent à le faire, montrant ainsi une confiance renouvelée.

En 2022, la France a atteint son plus haut niveau d’attractivité historique. Quelles sont les activités bénéficiaires ?

Les activités attractives pour les investisseurs étrangers

Ce sont principalement trois activités qui tirent leur épingle du jeu ;

  • les activités de production
  • les activités de centres de décision
  • les activités de R&D

Les activités de production étaient déjà les plus attractives pour les entreprises étrangères en 2021 et restent les premières en terme d’attractivité avec 457 projets, soit 26% des décisions d’investissements internationaux. Ce secteur représente ainsi 30 % d’emplois créés ou maintenus, soit 17 487 emplois industriels, enregistrant ainsi une augmentation de 13 % du nombre d’emplois par rapport à 2021. Le nombre de projets industriels restant stable, les projets industriels d’entreprise étrangères représentent un plus fort taux d’embauche en 2022 (38 nouveaux emplois par projet industriel) qu’en 2021 (34 nouveaux emplois par projet industriel).

Les activités de centres de décision représentent 23 % des décisions d’investissements étrangers. Un centre de décision est défini par France Business comme une «  structure interne à l’entreprise dont le dirigeant et les équipes participent aux prises de décisions stratégiques, engageant l’avenir de toute ou d’une partie de l’entreprise, notamment en matière d’investissement et d’emploi ».

Viennent ensuite les activités de R&D qui enregistrent 191 projets, 11 % des décisions d’investissement étrangers, soit une augmentation de 23% du nombre de projets de R&D par rapport à 2021. Avec 4789 emplois, on observe une hausse de 53% d’emplois créés ou maintenus dans ce secteur.

Les territoires attractifs pour les sociétés étrangères

La France est perçue comme un territoire propice à l’investissement industriel ainsi que comme une terre d’innovation par les investisseurs étrangers. Mais quels sont les territoires Français les plus attractifs ? Les grandes villes sont-elles privilégiées par les sociétés étrangères ?

Très bonne nouvelle : ces projets d’investissement profitent à l’ensemble du territoire. Ce sont mêmes les communes de moins de 20 000 habitants qui attirent le plus les investisseurs étrangers. En effet :

  • 43 % des décisions d‘investissements internationaux concernent ces territoires, représentant 39 % des emplois,
  • dont 74 % des projets industriels, représentants 71 % des emplois industriels.

Les entreprises étrangères s’implantent dans toute la France, créant des emplois et participant à la revitalisation des territoires Français.

Attractivité de la France : une volonté gouvernementale

Si la France revêt un haut niveau d’attractivité pour les investissements internationaux, ce n’est pas un hasard. Il existe une vraie volonté gouvernementale sur ce sujet. Cette année encore, la France pourrait se maintenir à la première place des pays d’accueil de projets d’investissement étrangers en Europe, notamment grâce aux mesures de l’exécutif visant à favoriser l’implantation de ces entreprises étrangères.

En effet, la France se réforme : réformes du marché du travail, réformes fiscales, réformes sociales … L’hexagone résiste mieux aux différentes crises (Covid, Ukraine, crise de l’énergie) que la plupart de ses voisins Européens. De plus, de nombreuses mesures sont prises en faveur de l’investissement dans la transition énergétique et les défis environnementaux auxquels nous faisons face.  

De gros efforts sont également consentis pour la simplification administrative tout au long de la vie des entreprises. C’est notamment le but du guichet unique de l’INPI qui centralise toutes les démarches de création, modification et de cessation d’activité, auprès de tous les organismes concernés au sein du même portail.   

Enfin, des programmes d’investissements comme le « programme France 2030 » a montré son intérêt pour les investisseurs étrangers puisque près de 25 % des décisions d‘investissements internationaux concernent des secteurs ciblés et financés par ce programme. Par ailleurs, les dispositifs « sites industriels clés en main » permettent aux entrepreneurs de gagner du temps sur la construction d’une usine industrielle via un allégement significatif des autorisations administratives.

La France présente une véritable compétitivité à l’échelle internationale grâce à la qualité des infrastructures, à la qualification de la main d’œuvre ainsi qu’à une politique d‘attractivité volontariste.

Sources ici et , et encore .

CatégorieDroit de voteEntrepreneuriat

La justice sociale passe par l’équité entre les individus.

On a quand même du mal à trouver intelligent celui qui prétend révolutionner l’agriculture avec 2 ou 3 pieds de tomates sur son balcon, alors que le paysan cultive des dizaines d’hectares afin de nourrir la population.

Sans croissance, point d’investissement dans la recherche et l’innovation.

Avec la décroissance qui ne mangera pas ?

Né en France, l’individu bénéficie dès l’origine de droits, d’acquis sociaux, et d’un environnement davantage propice à son épanouissement que dans la plupart des pays.

De surcroît,  il bénéficie immédiatement des infrastructures de santé et d’instruction favorisant son apprentissage, son bien-être et son espérance de vie.

En effet, on constate que la longévité humaine s’est accrue :

Espérance de vie humaineTout comme la durée de l’existence humaine en bonne santé a augmenté :

Espérance de vie en bonne santé

L’individu ne peut pas demander à la communauté de travailler moins, alors que dans le même temps sa longévité s’est accrue, faisant supporter à l’ensemble de la collectivité cet allongement de l’espérance de vie.

Puis, il y a les magiciens, ceux qui veulent faire payer les riches entrepreneurs au centuple de ce qu’ils versent déjà.

Aucun être humain ne reste dans un environnement qui lui est hostile, entouré de charognards, prêts à spolier l’ensemble de son travail.

En outre, une entreprise n’a pas vocation à perdre de l’argent. Il ne s’agit pas d’une association à but non lucratif, mais d’une organisation créée pour croître et être profitable.

La France est le pays le plus généreux avec les pauvres, c’est aussi le plus redistributif :

La france pays le + redistributif au monde

Seulement l’argent n’est pas magique, il faut le gagner pour le donner.

L’entreprise et ses salariés créent la valeur, ils gagnent de l’argent, leur argent.

L’imposition corrélative (IS et IR) permet ensuite de donner de l’argent à ceux qui n’en gagnent pas ou insuffisamment.

Le plus efficient pour la communauté, reste d’apprendre comment gagner de l’argent à ceux qui bénéficient de la solidarité collective, afin qu’ils puissent s’émanciper de leur situation d’assisté.

Le pire de l’ingratitude consiste à honnir ceux qui créent des emplois dans le pays, tout en étant incapable de créer le sien.

Des pleurnichards victimaires, de surcroît donneurs de leçons, incapables de raisonner, de poser les choses, pour parvenir à un consensus dans l’intérêt général.

L’ignorance et le mépris :

Guillaume Sonnet

La bêtise et l’inculture :

Isabelle d'artagnan

Ces individus ne sont même pas parvenus à créer leur propre emploi, à subvenir à leurs besoins les plus essentiels (voir primaires) sans quémander l’assistance publique, mais ils viennent donner des leçons d’entrepreneuriat ?

Les dirigeants d’entreprises ne naissent pas « riches » ils le deviennent (éventuellement) par leur travail acharné (jusqu’à 80h/sem) et par leurs capacités à fédérer autour de leurs idées. Ils créent d’abord leur propre emploi avant de créer celui des autres.

La justice sociale passe par l’équité entre les individus.

Cependant, il ne peut y avoir de sous-citoyens, tout comme il ne peut y avoir de partage sans considération du travail de celui qui donne à l’autre.

Sources : ici, et .

CatégorieEntrepreneuriat

Paie & SaaS : Payfit licencie 20% de ses salariés

« Au total, Payfit a levé 433 millions d’euros depuis sa création. »

Les Echos

Après avoir levé plus de 450 millions d’euros au total, dont 254 millions d’euros en 2022, Payfit licencie 20% de ses salariés sous forme d’une rupture conventionnelle collective.

payfit_licenciements

Des licenciements ont déjà eu lieu en Espagne pour près de 30 salariés, et en Allemagne où l’entreprise Payfit a fermé sa filiale, elle laisse une cinquantaine de collaborateurs sur le carreau.

Déjà en 2021 la filiale italienne fermait ses portes.

Il s’agit principalement de commerciaux de Payfit, ce qui peut paraître étonnant au regard des ambitions de l’entreprise depuis ses débuts.

La direction de Payfit indique proposer un Package complet pour que les salariés licenciés puisse retrouver un autre emploi sans trop de difficulté.

IMPORTANT : La direction ajoute en sus que ces licenciements ne sont pas motivés par un environnement économique défavorable pour l’entreprise.

Son directeur espère revenir à une croissance à deux chiffres pour l’année 2023.

Source : .

CatégorieE-commerce

Les 5 chiffres clés du E-commerce 🇫🇷

Après deux années de crise sanitaire en 2020/2021 qui ont vu le chiffre d’affaires du e-commerce augmenter très fortement, qu’en a-t-il été en 2022 ?

2022 a été marquée par l’arrivée d’une crise géopolitique majeure (la guerre en Ukraine) et une très forte de hausse des prix due à plusieurs facteurs combinés, qui continuent de faire sentir leurs effets.

D’après le rapport de la FEVAD, en 2022, les Français ont toutefois dépensé près de 147 milliards d’euros pour leurs achats en ligne contre 129 milliards d’euros en 2021.

Une partie de l’augmentation de ce Chiffre d’Affaires s’explique par l’inflation, mais pas seulement.

E-commerce : 5 chiffres clés

  • Quels sont les secteurs gagnants ?
  • Comment a progressé le CA du E-commerce en 2022 par rapport à 2021 mais aussi à l’avant crise Covid-19 (2019) ?
  • Quels ont été les temps forts de la vente en ligne en 2022 ?

Faisons le tour des chiffres du E-commerce Français 🇫🇷 !   

1- Le chiffre d’affaires du e-commerce Français en croissance en 2022

En France, le e-commerce poursuit sa croissance à deux chiffres pour atteindre les 146,9 milliards d’euros au cours de l’année 2022 contre 129 milliards en 2021, soit une hausse de 13,8% sur l’année.

2,3 milliards de transactions

2,3 milliards de transactions ont été réalisées sur internet en 2022 , soit une augmentation de +6,5%. En 2022, la vente en ligne a représenté 12,5% du commerce de détail en France, contre 14,1% en 2021, soit un recul de -1,6%.

Après une légère baisse en 2021, le panier moyen a significativement augmenté en passant de 60 à 65 euros,  soit une augmentation de 6,5% par rapport à 2021.

65 euros de panier moyen

Cependant, l’augmentation du panier moyen est certes dû à la reprise des services dont les prix de vente sont plus élevés, mais aussi à l’inflation qui a atteint 5,2% en moyenne annuelle sur 2022.

Le nombre de sites e-commerce augmenté de +5% en 2022 avec la création de plus de 10 000 nouveaux sites en un an (contre 11% d’augmentation en 2021 et 14 000 sites web ouverts).

2- Quel secteur du e-commerce a progressé le plus ?

La performance du e-commerce, boosté par la crise sanitaire en 2020-2021, maintient en 2022 un niveau plus élevé qu’avant crise (2019).

Vente en ligne de services

La vente des services est en forte croissance en 2022 : + 36% par rapport à 2021 et même +50% par rapport à 2019. 

Après une année très difficile en 2020 pour les ventes en ligne dans le secteur du transport, du tourisme et des loisirs, ce secteur connaît une progression fulgurante en 2022.

Ces ventes portent en grande partie la croissance du secteur des services . En effet, le secteur voyage-tourisme, profitant de la réouverture des frontières, a progressé de 55% par rapport à 2021 et s’avère même supérieur de 16% à l’année 2019, soit avant crise sanitaire.

Vente en ligne de produits

En revanche, la vente des produits sur internet marque un recul de -7% par rapport de 2021.

Cependant, pour relativiser, il convient d’indiquer que les années 2020 et 2021 ont été exceptionnelles pour la vente en ligne de produits du fait des restrictions sanitaires.

Mais, l’année 2022 n’a pas à rougir ! En effet le Chiffre d’Affaires de la vente de produits sur internet se stabilise à un niveau élevé en restant supérieur de +33% à 2019.

Plus précisément : 

  • Les ventes en ligne des enseignes magasins ont augmenté de +35% en 2022 par rapport la situation d’avant crise Covid-19 (2019),
  • Le secteur beauté-santé progresse de +29% par rapport à 2019,
  • Le secteur décoration progresse de +19% par rapport à 2019.

B2B, m-mobile, marketplace : les autres chiffres-clés du E-commerce

Les ventes en ligne en B2B continuent de progresser avec une croissance de +9,9% en 2022 et de 41% par rapport à 2019 !

Le M-commerce, c’est-à-dire toutes les transactions effectuées via un mobile (smartphone, tablette …) continue de progresser en 2022. Les ventes de services ont augmenté de +8%, particulièrement portées par les achats de voyages. En revanche, les ventes de produits sur mobile connaissent un recul de -6%.

Enfin, les marketplaces enregistrent un léger recul des ventes de -1,6 % par rapport en 2021, qui  restent cependant supérieur de +30% à 2019.

3- Les temps forts du E-commerce 2022

L’année est marquée par des temps forts pour le secteur du E-commerce, des périodes durant lesquels le secteur enregistre des pics d’activité. Avec la situation géopolitique, l’inflation et donc la baisse du pouvoir d’achat des ménages, qu’en a t-il été en 2022? Les consommateurs ont-ils été au rendez-vous ?

Les principaux temps fort 2022 :

  • La journée du Black Friday (le 25 novembre) a été la plus dynamique de l’année 2022 tout en enregistrant un recul de 7% des transactions ce jour là par rapport à 2021.

  • 34% de l’ensemble des achats en ligne ont été réalisés pendant la période de Noël ainsi qu’au moment des soldes (été et hiver), et précisément :

    • 8% du volume total des ventes en ligne ont été réalisées durant la période des soldes d’été,
    • 19% du volume total des ventes en ligne ont été réalisées durant la période des fêtes de Noël (soit 2 points de plus qu’en 2021),
    • 7% du volume total des ventes en ligne ont été réalisées durant la période des soldes d’hiver.

  • L’édition 2022 des French Days Printemps, qui a eu lieu entre le 4 et le 9 mai, a été un succès avec une hausse des ventes de 6% par rapport à l’édition 2021;

  • En revanche l’édition 2022 des Frenchs Days de l’automne, qui a eu lieu entre le 29 septembre et le 2 octobre, a connu un recul des ventes de 12% par rapport à l’édition 2021.

Le lundi enregistre le plus grand nombre de transactions

Outre ces temps fort, certains jours de la semaine ont été plus propices à l’achat en ligne que d’autres.

En effet, le lundi enregistre le plus grand nombre de transactions E-commerce, suivi du mercredi et du dimanche. 

Pour résumer :

Les principaux chiffres clés à retenir concernant le e-commerce 2022 :

  1. En France, le e-commerce a atteint les 147 milliards d’euros de chiffre d’affaires au cours de l’année 2022, soit une hausse de 13,8% par rapport à 2021,

  2. Le panier moyen a augmenté en passant de 60 à 65 euros, soit une augmentation de 6,5% par rapport à 2021, en partie sous la poussée de l’inflation,

  3. La vente en ligne dans le secteur des services a augmenté de 36% par rapport à 2021 et même 50% par rapport à 2019,

  4. La vente en ligne de produits marque un recul de 7% par rapport de 2021 mais reste toutefois supérieur de 33% à 2019,

  5. La journée du Black Friday a été la plus dynamique de l’année pour le e-commerce en dépit d’un recul des ventes de 7% par rapport à 2021.

Sources : ici et et encore .

CatégorieDroit de voteMis En Avant

Taxation du numérique : Google re-facture la taxe à ses clients Français

taxation_numerique

Nous pourrions nous réjouir de disposer d’une taxe 100% FRANÇAISE 🇫🇷 qui permet de ré-équilibrer des disparités entre les acteurs du numérique.

Bruno Le Maire indique notamment au Figaro : 

Sauf que ce sont les entreprises FRANÇAISES 🇫🇷 qui paient indirectement cette taxe.

En effet, des entreprises comme Google répercutent systématiquement à leurs clients Français ladite taxe numérique sur TOUTES ses factures :

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Nous avons inventé la seule taxe à destination des entreprises étrangères payée par des sociétés Françaises 🇫🇷 ! Chapeau 🎩 !

En réponse à l’article du Figaro.

 

 

 

CatégorieDroit de vote

Lorsque les riches s’appauvrissent, les pauvres périssent

Ceux qui paient l’impôt ont, semble t-il, moins de droits que ceux qui perçoivent les aides issues de ces mêmes prélèvements fiscaux.

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La société est devenue malhonnête, vicieuse ; si bien que la justice ne juge plus, elle condamne les victimes sans distinction des coupables ; elle se venge et ne cherche plus la vérité dans ses décisions.

Il est facile de se soustraire à ses propres manquements au prétexte d’un budget insuffisant, alors même qu’il s’agit principalement de facteurs humains, de personnels dépourvus d’éthique, d’honnêteté, et de conscience professionnelle.

En matière éducative, la démission des parents qui laissent leur progéniture prendre des libertés auxquelles elle ne peut prétendre, montre leur abandon de l’éducation au préjudice de ceux qui seront confrontés plus tard à ces adultes.

En outre, la victimisation perpétuelle de cette jeunesse qui n’assume plus ses erreurs, mais veut faire payer au centuple les autres lorsqu’ils fautent ou agissent maladroitement, montre un délitement évident de notre société.

Ces jeunes n’ont pas de repères, ni de valeurs.

Eux, se prétendent responsables, mais n’agissent pas comme tel, se dédouanant de leurs obligations dès que cela leur est possible.

Le statut de victime est davantage attribué à celui qui crie le plus fort qu’à celui qui souffre silencieusement mais véritablement.

Mieux, des bénéficiaires d’aides publiques, de la générosité collective, et du partage de valeur, viennent “se plaindre” de l’insuffisance de ces aides.

N’ont-ils jamais envisagé de travailler davantage pour gagner un peu mieux leur vie ?

Non, car pour eux, il est tout à fait normal d’être payé sans travailler, de se faire soigner sans rien débourser, et de manifester pour obtenir encore davantage au détriment du moindre effort.

Pire, ceux qui paient l’impôt ont, semble t-il, moins de droits que ceux qui perçoivent les aides issues de ces mêmes prélèvements fiscaux.

Conspués, traités de sales riches, ou encore de “profiteurs”, ce sont pourtant bien eux qui créent les emplois des autres, qui développent la richesse du pays par leurs idées, qui font rayonner la France dans le monde par leurs innovations, qui apportent des solutions aux populations par leurs ambitieux projets.

Leurs détracteurs ne sont même pas parvenus à créer leur propre emploi, qu’ils prétendent être en capacité d’expliquer l’économie au plus grand nombre sans qu’ils n’en aient véritablement compris le sens et l’utilité.

Le journaliste, qui autrefois investiguait, apportait la contradiction, argumentait avec des faits, se contente aujourd’hui de laisser n’importe qui s’exprimer sur n’importe quoisans aucune légitimité, ni compétence avérée.

A mesure que les mensonges sont répétés, ils deviennent des vérités dévastatrices pour les démocraties. Les plus crédules s’y engouffrent, croyant trouver là une planche de salut à leur désarroi d’enfant gâté, inculte, qui grandit dans un pays où la redistribution est la plus généreuse envers les plus démunis.

Quant à spolier la fortune des entrepreneurs pour la donner ensuite à la population, c’est oublier qu’un dirigeant a investi dans son entreprise son argent personnel, ses économies, qu’il a mis toutes ses idées, tout son talent, qu’il travaille jusqu’à 80 heures par semaine, là où d’autres, épuisés par 32 heures hebdomadaires sur 4 jours, viennent ensuite sur leur temps libre manifester contre ceux qui pourtant leur donne du travail, un salaire, des congés payés, une protection sociale, une assurance chômage…etc.

L’ingratitude à son paroxysme.

Les mêmes applaudissent à télé des joueurs de foot millionnaires, mais crachent sur le commerçant à côté de chez eux qu’ils considèrent comme un nanti, brisent sa vitrine lors des manifestations, agressent son personnel, et fustigent une hypothétique et indécente rémunération.

Seulement, il est toujours plus simple et démagogique de descendre dans la rue pour hurler sur les pseudo-riches, que de se mettre sérieusement au travail. Personne n’est empêché de travailler moins, il ne devrait pas être exclu de travailler davantage pour améliorer son existence.

D’autres, traitent les pseudo “riches” de parasites ou encore de vampires, matérialisant ainsi leur jalousie sociale de l’autre qui réussit là où ils ont lamentablement échoué.

Or, voler l’argent des riches pour donner aux pauvres, tel Robin des bois en son temps imaginaire, reviendrait à les chasser définitivement du territoire.

Aucun être humain n’est assez stupide pour subir la confiscation de ses biens, tout en restant au même endroit continuer à créer des emplois, et de la richesse dans un pays où une part de la population lui serait hostile.

La réalité est bien plus factuelle.

Ainsi, lorsque le riche s’en va, chassé par une classe qui s’estime lésée, il laisse derrière lui des bureaux vidés de ses employés dorénavant abonnés aux allocations chômage ;
Un centre des finances publiques exsangue, car il ne paie plus d’impôts ni de cotisations depuis qu’il est définitivement parti ailleurs ;
Il ne crée évidemment plus de richesses, d’entreprises, ni d’emplois dans le pays concerné ;
Et il ne met plus ses actifs intellectuels et culturels au service du bien commun et de l’intérêt général.

En résumé, ils produisent moins dans les pays qui les taxent le plus !

Taxez-les encore + et ils partiront ! CQFD.

Les inconvénients sont plus importants que les bénéfices attendus.

Seulement, il convient d’être de bonne foi pour s’en apercevoir.

Or, le déni, la malhonnêteté, et la duplicité des uns, ancrés dans un dogme clientéliste, conduisent inévitablement à passer à côté du sujet qu’ils prétendent pouvoir traiter.

En réaction à l’article de l’Express.

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Marc Ménasé rachète le média Maddyness

Page d'accueil Maddynesse

C’est au travers d’un article dans les Echos et suite à un post d’un des deux fondateurs sur Linkedin que l’annonce a été faite hier :

post de Etienne PORTAIS de Maddyness sur Linkedin

Marc Ménasé a acquis la majorité du capital de la société MADDY actionnaire principal de NOVADOXE qui exploite le site Maddyness.

Actionnariat de la société MADDY

Les objectifs de cette prise de participation majoritaire concernent le déploiement des activités de Madyness à l’international, notamment après la réussite de la version Anglaise de Maddyness.

Source : Tout est dans le présent post.

 

 

 

 

CatégorieE-commerceJustice et réglementationMédiocrité & Contentieux

Faillite du site Made.com, vente du stock par NOZ : Quels recours pour les clients ?

Contexte de Made.com

Le site Internet de décoration Made.com a été fondée en 2010 par quatre associés.

Made.com possède des bureaux dans toute l’Europe et en Asie. L’entreprise s’est notamment  implantée au Royaume-Uni, en Irlande, en France, en Belgique, en Allemagne, en Autriche, aux Pays-Bas, en Suisse, et en Espagne.
 
 
Avec une croissance très soutenue durant 10 ans l’enseigne de décoration a subi de plein fouet le contrecoup de la pandémie.

La mise à l’arrêt des chaînes de production à l’origine de graves problèmes d’approvisionnement de la chaîne logistique, associée à la crise du coût de la vie, ont eu raison de la bonne santé de l’entreprise.
 

Dépôt de bilan de Made.com

 
Le 9 novembre 2022, la société dépose le bilan après avoir cessé de prendre des commandes dès octobre 2022.

La cotation boursière est suspendue et l’entreprise se cherche un repreneur.
 

Rachat des actifs de l’entreprise

 
Les actifs seront finalement repris et rachetés à la barre du tribunal comme cela est effectué habituellement.
 
C’est ainsi que le site Internet est repris par la société Next un détaillant de mode et de meubles britannique.
 
Made.com
 
 
Le stock est en partie racheté auprès de l’administrateur judiciaire par l’enseigne de hard discount NOZ.
 

Un stock déjà vendu, qui fait polémique

 
Seulement, il s’agit là d’un stock déjà vendu à des clients qui avaient passé précédemment commande auprès de l’enseigne.
 
Les clients lésés, c’est-à-dire qu’ils n’ont pas réceptionné leur commande bien qu’ils aient réglé celle-ci, se retrouvent sans argent et sans le mobilier commandé.
 
Inacceptable, pour ces plaignants qui entendent bien récupérer leur argent, ou bien se faire livrer la marchandise commandée.
 

Quels recours contre Made.com pour récupérer son argent ?

 
Ce ne sera pas si simple car une procédure collective telle qu’une liquidation judiciaire ou un redressement judiciaire implique des créanciers prioritaires par rapport aux autres.
 
Très concrètement, les clients ne sont nullement prioritaires par rapport aux créanciers chirographaires.
 
Il existe cependant plusieurs solutions afin de faire valoir ses droits et éventuellement récupérer son argent.
 

Quelles solutions ?

1. Contester l’achat auprès de sa banque

Tout d’abord il convient de se rapprocher de votre banque lorsque votre commande sur le site a été réglée par carte bancaire.
Vous pouvez contester pendant 13 mois auprès de votre banque les paiements effectués à l’aide de votre carte bancaire.
 
 

2. Déclarer un sinistre auprès de l’assurance de la CB

 
Toujours auprès de votre banque, vous pouvez également utiliser l’assurance de la carte bancaire utilisé pour le paiement afin d’ obtenir le remboursement intégral des sommes versées.
 

3. Transmettre la créance à l’administrateur judiciaire de Made.com

 
La voie judiciaire est la voie la plus longue et fastidieuse, mais il est tout à fait possible d’écrire à l’administrateur judiciaire afin de tenter d’obtenir un remboursement tout ou partiel des sommes versées.
 
Une avocate s’est saisie du dossier et représente une trentaine de plaignants.
 
Maître EMMA LEOTY envisage un dépôt de plainte contre l’administrateur de l’entreprise (PWC) pour publicité mensongère.

Made.com avait notamment mis en place une période promotionnelle précédant sa fermeture.
Les consommateurs s’estiment dès lors trompés, escroqués.
 
En outre, d’après Maître LEOTY, le transporteur VIR semble disposer de produits commandés par différents clients.

Maître LEOTY a mis en demeure le transporteur VIR de confirmer les stocks présents et de livrer les clients finaux.
 
Enfin, elle indique que la banque populaire Grand Ouest a rejeté l’ensemble de ses recours pour différentes raisons.
 
Il reste encore la possibilité pour les clients de contacter directement le médiateur de la banque.
 
Sources : ici et .
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